2009-09-25, 06:15 AM
[Baston :devil: ]
S'il voulut vérifier quelques chose de particulier, il fut servi.
Le Prêtre arma son bras de façon à frapper rapidement. C'était un geste simple, instinctif, que l'on décidait et qu'on faisait sans plus y penser. Pourtant, là, ce fut différent. Le Prêtre sentit son geste, de plus en plus précisément. Le mouvement des tendons, les doigts se refermant , le pouce les emprisonnant. Il vit, comme de l'extérieur, son bras venir en arrière, mais pas trop, puis se lancer en avant, tout doucement, de plus en plus doucement, jusqu'à être quasiment immobile. Quasiment, mais pas totalement.
En même temps, les sons extérieurs s'étaient décalés vers le grave. Les trilles des insectes faisaient maintenant le bruit d'une longue branche d'arbre que l'on aurait doucement mais régulièrement tirée sur une tôle. On n'entendait plus aucune conversation. A moins que... ce brouhaha lointain ?
L'air, déjà lourd à l'état naturel, s'était figé une purée transparente, bouillante et glacée tout à la fois.
Il vit enfin le sieur Merstène qui le regardait sans crainte, sans joie, sans haine, simplement d'un air sombre. Son visage était immobile, ses yeux énormes.
Monsieur Epstar Jdryk'll, prêtre de l'Eglise de la Liberté Cosmique tomba lourdement au sol. Il respirait par saccades. Il perdit un instant conscience. Il reprit ses esprits tout d'abord par le toucher : de violentes gifles arrivaient sur son visage :o . Puis par les odeurs, le parfum âcre des tiges coupées qu'il avait écrasé sous sous lui en tombant. Les sons ensuite : "Mais vous allez vous réveiller, oui ?" - la voix de mademoiselle Chalmak. La vue, enfin, par les visages de la Navybord et de la sociologue, penchés sur lui. Sémirande lui filait des gifles, finalement pas si violentes, mais sur le moment il avait cru... "Arrêtez, il ouvre les yeux. Vous n'auriez pas pu lui injecter un stimulant, plutôt ?". "Je n'y ai pas pensé. Ca va, Mon Père ?"
Il s'est déroulé moins d'une minute entre le moment où le Père Jdryk'll a décidé de frapper le fâcheux et celui où il rouvre les yeux.
Les autres sortent du Méphisto à ce moment-là.
Que faites-vous (le Prêtre est HS un petit moment - mais ouiiii : il peut sortir une vanne ).
S'il voulut vérifier quelques chose de particulier, il fut servi.
Le Prêtre arma son bras de façon à frapper rapidement. C'était un geste simple, instinctif, que l'on décidait et qu'on faisait sans plus y penser. Pourtant, là, ce fut différent. Le Prêtre sentit son geste, de plus en plus précisément. Le mouvement des tendons, les doigts se refermant , le pouce les emprisonnant. Il vit, comme de l'extérieur, son bras venir en arrière, mais pas trop, puis se lancer en avant, tout doucement, de plus en plus doucement, jusqu'à être quasiment immobile. Quasiment, mais pas totalement.
En même temps, les sons extérieurs s'étaient décalés vers le grave. Les trilles des insectes faisaient maintenant le bruit d'une longue branche d'arbre que l'on aurait doucement mais régulièrement tirée sur une tôle. On n'entendait plus aucune conversation. A moins que... ce brouhaha lointain ?
L'air, déjà lourd à l'état naturel, s'était figé une purée transparente, bouillante et glacée tout à la fois.
Il vit enfin le sieur Merstène qui le regardait sans crainte, sans joie, sans haine, simplement d'un air sombre. Son visage était immobile, ses yeux énormes.
Monsieur Epstar Jdryk'll, prêtre de l'Eglise de la Liberté Cosmique tomba lourdement au sol. Il respirait par saccades. Il perdit un instant conscience. Il reprit ses esprits tout d'abord par le toucher : de violentes gifles arrivaient sur son visage :o . Puis par les odeurs, le parfum âcre des tiges coupées qu'il avait écrasé sous sous lui en tombant. Les sons ensuite : "Mais vous allez vous réveiller, oui ?" - la voix de mademoiselle Chalmak. La vue, enfin, par les visages de la Navybord et de la sociologue, penchés sur lui. Sémirande lui filait des gifles, finalement pas si violentes, mais sur le moment il avait cru... "Arrêtez, il ouvre les yeux. Vous n'auriez pas pu lui injecter un stimulant, plutôt ?". "Je n'y ai pas pensé. Ca va, Mon Père ?"
Il s'est déroulé moins d'une minute entre le moment où le Père Jdryk'll a décidé de frapper le fâcheux et celui où il rouvre les yeux.
Les autres sortent du Méphisto à ce moment-là.
Que faites-vous (le Prêtre est HS un petit moment - mais ouiiii : il peut sortir une vanne ).