Vol vers Myrtil

[Gurvan]

// lancés tels des élastiques apres 3 mois d'attentes, les joueurs dont moi ont négligés le nouvel arrivant. Mais les introductions dans une phase tres critique de l'aventure, c'est pas évident

et il est vrai que nous sommes partis assez vite sans prendre soin de tout dire calmement à notre nouveau pilote...
Je vous prie, Monsieur Gurvan Antillès, et au nom de l'équipage, d'accepter nos excuses.
Vous avez entièrement le droit de refuser de nous accompagner au sol, mais vous pouvez prendre part aux décisions vous impliquant pour le reste.
Bien sûr, je serais seul juge à la fin des débats. 8)

Pour ma part, je pensais arriver sur Myrtil par la voie officielle, enfin, en ne dépassant la ligne officielle qui nous a été fournie. Demander plus, alors que personne n'a d'autorisation me semble exagéré. A nous, de profiter au maximum de notre autorisation actuelle. Ou sinon, passez un message à l'Empereur pour qu'il nous envoie une escadre

[Entrée de Gurvan dans le salon de repos de l'équipage]
"Excuses acceptées, Commandant Edelman.
Je suis plus à mon aise aux commandes d'un Varlet qu'en mission commando en environnement sauvage, mais je pense que je pourrais me rendre utile dans l'expédition qui nous attends sur Myrtil. Vous connaissez le proverbe : "Un petit peu d'aide, c'est mieux que pas d'aide du tout".
Pour le reste, je vous ai déjà dit tout à l'heure ce que je pensais du hors-piste : Myrtil est un monde arriéré selon les critères de l'Empire, mais l'Alliance des Douze Soleils ne l'est pas, elle. Ce qui signifie que nous serons probablement sous surveillance dès la sortie du Triche-Lumière, et si nous faisons mine de dériver ne serait-ce que d'un iota de notre plan de vol, il y aura des représailles. Je crains alors de ne pas pouvoir faire grand chose contre une paire de chasseurs T-45 tels que ceux que nous avons croisé pendant la première partie du voyage."