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Chasse sur le Continent Sauvage
khaadaric Wrote:... tout en sortant ma surprise coté gauche ..... Carnage !!! Pour l'Empire !!!
Trois longues griffes étaient sorties de la main du Soldat. Il avança de deux pas dans la neige, passa à l'intérieur de la garde d'un de ses adversaires frigorifié, et lui planta son arme redoutable dans le ventre, tandis que son laser crachait. La créature était lacérée et brûlée. N'importe quel Etre normal aurait fui. Mais celui-ci... il lança sa gueule armée de crocs au visage de monsieur Orkalys, qui fut mordu. Et en plus il puait... Mais... Curieusement, par-delà cette puanteur, une légère odeur poivrait subsistait, agréable, un peu enivrante. (cinq points)

Epstar Jdryk'll Wrote:Sinon, le regard dur, il recommença, brûlant pour survivre son adversaire...
Alors va couper du bois Smile
Le Prêtre se concentra donc, se demandant s'il aurait le temps :tmi: tchac ! tchac ! Une flèche de Sémirande, toujours invisible, traversa l'Etre de part en part. Une autre était un cadeau de M. Daykard, décidément en forme :clap: La créature arrondit son regard et interrompit son attaque, laissant le temps au Guérisseur d'en remettre une couche. L'Etre chat tomba. Derrière le Guérisseur, il y eut un autre grondement à faire pipi dans ses fourrures. M. Orkalys, très occupé, ne vit ce qui se passait que du coin de l'oeil. Le Prêtre et le Détective en eurent une meilleure appréhension. Le monstre venait manifestement d'expédier un coup de patte dans quelque chose (ne me posez pas de question sur l'état final dudit quelque chose). Puis il se leva sur ses deux pattes arrière, et gronda en direction de Madame, qui avait pris un peu de champ. Madame, qui s'était entraînée des années et des années ; Madame qui, bien que déclinante, possédait un Art sans égal. Elle décocha. La bête cessa son cri. Elle posa sa paire de pattes centrales, puis ses antérieures. Se tourna. Marcha en direction du Guérisseur et du Détective qui l'avait rejoint. La hampe d'une flèche sortait de son cou. Ses quatre grands yeux regardèrent les deux hommes. Il leva son troisième quarteron de paupières et ce fut poignant. Son regard exprimait le soulagement, la paix, et même la gratitude. Il tomba, respirant doucement.

Le Soldat finit son adversaire. Il ne resta plus qu'un homme-chat indemne, qui se colletait avec Kolène Espéréro. Une flèche de Madame lui troua le crâne. L'air se retroubla. Les créatures au pelage bleu se brouillèrent et disparurent. Plus rien. Plus une trace de sang, plus un cadavre, plus une arme. Les flèches tirées par Madame, Monsieur Daykard et Mlle Chalmak étaient posées sur la neige piétinée.

Knume agonisait toujours, toute agressivité envolée.

Et...

La nuit tropicale tombait sur la plage. Il faisait doux, et un agréable vent frais annonçait la pluie vespérale. Le bruit du ressac invitait à une brochette-party sur le sable. La mer était belle, et le ciel étoilé magnifique. Tout là-haut, une étoile filante avançait doucement, mais les gens de la TSA et leurs clients savaient que c'était plus vraisemblablement un Varlet qui prenait doucement de l'altitude. Deux lunes éclairaient la mer de leur lumière d'or et d'argent. Ce qu'elle était belle, cette eau exempte de toute pollution. Mais... A peine visibles, mais très présents, quatre yeux en amande cassée les observaient. Deux grands. Deux petits. Et puis tout disparut.

Pas trace de Mlle Chalmak. Si... Là, deux jambes dépassaient de la neige !!!


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