2009-02-13, 07:58 AM
La marche était particulièrement dure et ce d’autant plus qu’il ne consacrait pas l’ensemble de son énergie mentale à se régénérer en permanence : a deux ou trois reprises, quand ça devenait insurmontable il s’y était laissé aller, mais il fallait qu’il garde de quoi soigner, de quoi sonder … ce soir il devrait passer un long moment à méditer.
Les poses qu’ils marquaient lors de l’observation de la faune locale étaient les bienvenues et il en profitait pour reprendre son souffle, ne regardant que d’un œil le spectacle. Dommage. C’était l’affaire de quelques jours : au fur et à mesure du cycle effort, régénération, son corps s’endurcirait, retrouverait lentement une tonicité. Disons, que lorsque le voyage se terminerait il serait parfaitement en forme.
C’est donc sans peur particulière tout d’abord qu’il vit s’approcher le petit ursidé … Dans le coin la règle s’était manger ou mourir. Un prédateur, qui venait de dépenser beaucoup d’énergie en pure perte. Normal qu’il s’intéresse à eux.
Avec circonspection : l’homme ne faisait pas partie de ses proies habituelles et comme ils ne fuyaient pas ça devait le perturber.
Avec certitude : il était au sommet de la chaine alimentaire et il le savait.
Epstar se déplaça doucement, sans mouvement brusque pour laisser aux « chasseurs » le champ libre en cas de besoin.
A la remarque du soldat il se concentra et fit un tour d’horizon tout d’abord visuel puis mental, tentant d’accrocher l’esprit du prédateur et de trouver son équivalent au cas où plusieurs de ses congénères étaient dissimulés dans le coin.
Il attendit la réponse de Madame.
Les poses qu’ils marquaient lors de l’observation de la faune locale étaient les bienvenues et il en profitait pour reprendre son souffle, ne regardant que d’un œil le spectacle. Dommage. C’était l’affaire de quelques jours : au fur et à mesure du cycle effort, régénération, son corps s’endurcirait, retrouverait lentement une tonicité. Disons, que lorsque le voyage se terminerait il serait parfaitement en forme.
C’est donc sans peur particulière tout d’abord qu’il vit s’approcher le petit ursidé … Dans le coin la règle s’était manger ou mourir. Un prédateur, qui venait de dépenser beaucoup d’énergie en pure perte. Normal qu’il s’intéresse à eux.
Avec circonspection : l’homme ne faisait pas partie de ses proies habituelles et comme ils ne fuyaient pas ça devait le perturber.
Avec certitude : il était au sommet de la chaine alimentaire et il le savait.
Epstar se déplaça doucement, sans mouvement brusque pour laisser aux « chasseurs » le champ libre en cas de besoin.
A la remarque du soldat il se concentra et fit un tour d’horizon tout d’abord visuel puis mental, tentant d’accrocher l’esprit du prédateur et de trouver son équivalent au cas où plusieurs de ses congénères étaient dissimulés dans le coin.
Il attendit la réponse de Madame.
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.