2009-01-21, 07:14 PM
[L'opération ...]
Le jeune Tekno était en train de boire un café avec des potes quand monsieur Orkalys, dûment escorté d'un Logimec (dont la fonction était de ... s'assurer qu'il ne :roll: s'égarerait pas en chemin) revint dans ce corps de bâtiments que le Cercle de l'Olive nommait "l'Usine". Et qui en était peut-être une.
La fin de matinée avait l'ail cool : les collègues de d'Hussein Soulze restèrent pour l'aider. C'est donc entouré de quatre Teknos que monsieur Orkalys se dévêtit, passa longuement sous une douche à particule, puis sous une autre envoyant de l'eau sous pression, mélangée à un produit chimique à l'odeur entêtante, puis de nouveau sous la douche à particule.
Le soldat se sentit ... récuré ! On le fit s'allonger sur un fauteuil qui avait tout d'abord l'air d'une simple plaque de métal frois et agressif. C'était en fait une lame de mercure (non toxique) dont la fonction était de maintenir fermement le corps en position. Une jeune femme s'activait auprès d'une console de moulage. Un objet sortit de la presse, qu'elle lui montra : c'était sa nouvelle vertèbre Atlas. Monsieur Orkalys regarda son nouvel os, puis ses nouvelles mains qu'on lui présenta également, puis les "jeunes gens" qui tournaient autour de lui, beaux, riches, et visiblement heureux. Si le Prêtre acceptait, Sorbier aurait de la chance de vivre ici. Pour Solène, le Soldat avait le sentiment que Madame était déjà décidée.
Quatre parois montèrent sur les côtés de la couche de mercure, et le plasma commença à entrer. Il recouvrit les flancs, puis le ventre et enfin le visage du Soldat, qui continua pourtant à respirer normalement ou presque.
Puis entra le premier dytique. Ce pseudo-insecte (un robot !) n'était qu'un vecteur. Monsieur Orkalys en vit un se désagréger en brouillard devant ses yeux. Le petit insecte-robot s'était mué en micromachines. Khaadaric Orkalys sentit un picotement sur ses mains, ainsi qu'une brève mais très violente douleur derrière la nuque. Il s'étonna lui-même de n'avoir pas sursauté. Il tomba dans une béate semi-conscience.
Khaadaric Orkalys rêva. Il était dans la jungle, et pouvait voir, humer, sentir sur sa peau sa dangerosité. Ici, pas de place pour l'incompétent ou le faible.
Il vit un jeune homme-chat. Il vit Sémirande Rosa Chalmak. Elle souriait. Il arborait un rictus indéfinissable. Tout se brouilla.
Le Soldat était dans une grande tombe. Il y avait un sarcophage ouvert, avec un squelette à l'intérieur. Il y avait d'autres squelettes au sol, autour de lui. Quatre.
De nouveau la jungle, et l'homme-chat. Plus trace de Sémirande. L'homme chat lui dit quelque chose, d'un ton pressant. Il tentait visiblement de se faire comprendre. Il avait l'air désespéré. Tout se brouilla. Ne restait que la voix, qui disait, qui disait, qui disait ... " __ "... et trois. On se réveille, Monsieur Orkalys. L'opération s'est bien déroulée, sauf un accident fâcheux ; mais je crois que vous serez content !!!" Hussein Soulze et ses collègues lui souriaient. "Votre bras laser n'a pas supporté l'implant. Nous avons du le remplacer. Pour le tatouage, nous n'avons rien pu faire, mais nous pourrons le reproduire, si vous le demandez, et sans supplément de prix."
Khaadaric Orkalys était allongé dans une chambre, avec une baie vitrée qui donnait sur la belle tempête de neige qui apparaissait sous l'éclat des projecteurs. Car on était en pleine nuit.
Le jeune Tekno était en train de boire un café avec des potes quand monsieur Orkalys, dûment escorté d'un Logimec (dont la fonction était de ... s'assurer qu'il ne :roll: s'égarerait pas en chemin) revint dans ce corps de bâtiments que le Cercle de l'Olive nommait "l'Usine". Et qui en était peut-être une.
La fin de matinée avait l'ail cool : les collègues de d'Hussein Soulze restèrent pour l'aider. C'est donc entouré de quatre Teknos que monsieur Orkalys se dévêtit, passa longuement sous une douche à particule, puis sous une autre envoyant de l'eau sous pression, mélangée à un produit chimique à l'odeur entêtante, puis de nouveau sous la douche à particule.
Le soldat se sentit ... récuré ! On le fit s'allonger sur un fauteuil qui avait tout d'abord l'air d'une simple plaque de métal frois et agressif. C'était en fait une lame de mercure (non toxique) dont la fonction était de maintenir fermement le corps en position. Une jeune femme s'activait auprès d'une console de moulage. Un objet sortit de la presse, qu'elle lui montra : c'était sa nouvelle vertèbre Atlas. Monsieur Orkalys regarda son nouvel os, puis ses nouvelles mains qu'on lui présenta également, puis les "jeunes gens" qui tournaient autour de lui, beaux, riches, et visiblement heureux. Si le Prêtre acceptait, Sorbier aurait de la chance de vivre ici. Pour Solène, le Soldat avait le sentiment que Madame était déjà décidée.
Quatre parois montèrent sur les côtés de la couche de mercure, et le plasma commença à entrer. Il recouvrit les flancs, puis le ventre et enfin le visage du Soldat, qui continua pourtant à respirer normalement ou presque.
Puis entra le premier dytique. Ce pseudo-insecte (un robot !) n'était qu'un vecteur. Monsieur Orkalys en vit un se désagréger en brouillard devant ses yeux. Le petit insecte-robot s'était mué en micromachines. Khaadaric Orkalys sentit un picotement sur ses mains, ainsi qu'une brève mais très violente douleur derrière la nuque. Il s'étonna lui-même de n'avoir pas sursauté. Il tomba dans une béate semi-conscience.
Khaadaric Orkalys rêva. Il était dans la jungle, et pouvait voir, humer, sentir sur sa peau sa dangerosité. Ici, pas de place pour l'incompétent ou le faible.
Il vit un jeune homme-chat. Il vit Sémirande Rosa Chalmak. Elle souriait. Il arborait un rictus indéfinissable. Tout se brouilla.
Le Soldat était dans une grande tombe. Il y avait un sarcophage ouvert, avec un squelette à l'intérieur. Il y avait d'autres squelettes au sol, autour de lui. Quatre.
De nouveau la jungle, et l'homme-chat. Plus trace de Sémirande. L'homme chat lui dit quelque chose, d'un ton pressant. Il tentait visiblement de se faire comprendre. Il avait l'air désespéré. Tout se brouilla. Ne restait que la voix, qui disait, qui disait, qui disait ... " __ "... et trois. On se réveille, Monsieur Orkalys. L'opération s'est bien déroulée, sauf un accident fâcheux ; mais je crois que vous serez content !!!" Hussein Soulze et ses collègues lui souriaient. "Votre bras laser n'a pas supporté l'implant. Nous avons du le remplacer. Pour le tatouage, nous n'avons rien pu faire, mais nous pourrons le reproduire, si vous le demandez, et sans supplément de prix."
Khaadaric Orkalys était allongé dans une chambre, avec une baie vitrée qui donnait sur la belle tempête de neige qui apparaissait sous l'éclat des projecteurs. Car on était en pleine nuit.