2017-04-09, 08:47 PM
[hrp]désolé du long silence ...[/hrp]
La douche sonique était délicieuse. Zelda se retourna, présentant son dos aux faisceaux qui arrachaient les peaux mortes et les couches de crasse dans un flux d'air chaud qui massaient agréablement ses muscles endoloris.
L'entrée du bunker s'était déroulée sans anicroche, les systèmes de sécurité reconnaissant le colonel. Ce dernier avait demandé à la simili-IA commandant l'installation de reconnaître ses accompagnateur et à leur donner le maximum de privilèges. Ces privilèges n'allaient pas très loin : ils avaient accès aux installations domestiques, au réseau de surveillance et pouvaient entrer et sortir librement par les deux sas du bunker : un dont ils venaient donnant sur la surface et un second, un élévateur magnétique qui menait aux entrailles de la lune intérieure.
Ils savaient par le colonel que l'installation disposait d'une armurerie, mais la simili-IA leur en refusait le libre accès; seul un soldat de la garde impérial en avait le droit.
Dom reposa son couvert et observa son plateau repas : soupe d'hélios aux 5 épice, purée de patates douces, saucisses, compote de fruits ... C'était ce qu'il avait put faire cracher de meilleur au synthétiseur militaire qui ornait un des neuf murs du petit bunker. Les autre murs étaient équipées par une console commandant les armes lourdes de l'installation, l'autre pan par bloc sanitaire équipé par l'unique douche sonique, pour l'heure utilisée par la commandante, les deux suivants par une cellule dortoir avec quatre lits chacune, puis venait l'armurerie, suivie par un petit atelier où Brise avait put faire une maintenance complète, le sas de sortie et enfin la console de communication.
Celle-ci était éteinte lors de leur arrivée et était depuis le siège d'une importante activité, Brise et le colonel s'activaient autour de celle-ci. Le TpT pour s'assurer qu'il n'y avait pas de mouchard sur celle-ci et qu'ils pourraient la rebrancher sans se faire repérer et le colonel pour calmer la Simili-IA du bunker qui prenait avec une paranoïa toute militaire les opérations auxquelles se livrait l'ingénieur du Songe d'Aran.
[hrp]A vous ... et maintenant que faites vous ?[/hrp]
La douche sonique était délicieuse. Zelda se retourna, présentant son dos aux faisceaux qui arrachaient les peaux mortes et les couches de crasse dans un flux d'air chaud qui massaient agréablement ses muscles endoloris.
L'entrée du bunker s'était déroulée sans anicroche, les systèmes de sécurité reconnaissant le colonel. Ce dernier avait demandé à la simili-IA commandant l'installation de reconnaître ses accompagnateur et à leur donner le maximum de privilèges. Ces privilèges n'allaient pas très loin : ils avaient accès aux installations domestiques, au réseau de surveillance et pouvaient entrer et sortir librement par les deux sas du bunker : un dont ils venaient donnant sur la surface et un second, un élévateur magnétique qui menait aux entrailles de la lune intérieure.
Ils savaient par le colonel que l'installation disposait d'une armurerie, mais la simili-IA leur en refusait le libre accès; seul un soldat de la garde impérial en avait le droit.
Dom reposa son couvert et observa son plateau repas : soupe d'hélios aux 5 épice, purée de patates douces, saucisses, compote de fruits ... C'était ce qu'il avait put faire cracher de meilleur au synthétiseur militaire qui ornait un des neuf murs du petit bunker. Les autre murs étaient équipées par une console commandant les armes lourdes de l'installation, l'autre pan par bloc sanitaire équipé par l'unique douche sonique, pour l'heure utilisée par la commandante, les deux suivants par une cellule dortoir avec quatre lits chacune, puis venait l'armurerie, suivie par un petit atelier où Brise avait put faire une maintenance complète, le sas de sortie et enfin la console de communication.
Celle-ci était éteinte lors de leur arrivée et était depuis le siège d'une importante activité, Brise et le colonel s'activaient autour de celle-ci. Le TpT pour s'assurer qu'il n'y avait pas de mouchard sur celle-ci et qu'ils pourraient la rebrancher sans se faire repérer et le colonel pour calmer la Simili-IA du bunker qui prenait avec une paranoïa toute militaire les opérations auxquelles se livrait l'ingénieur du Songe d'Aran.
[hrp]A vous ... et maintenant que faites vous ?[/hrp]