2016-12-12, 09:46 PM
[hrp]Ok pour le matos qu'a trouvé Zelda.[/hrp]
Brise fit les poches du pilote alors que hors du poste de pilotage ses petits compagnons s’agitaient à la recherche des caissons contenant armement et équipement de survie.
Il déplia un bas et récupéra l’arme de service du pilote, un pistolet Blaster Mark VII réglementaire, ses deux chargeurs complémentaires. La combinaison énergétique du pilote avait pris un coup, de même que son abesto … Dans son harnais il y avait un respirateur aquatique à membrane qui permettait de respirer sous l’eau, un communicateur d’urgence, un micro-holoprojo avec une carte de la région et un localisateur inertiel … visiblement grillé par la décharge … il fit les poches de la combinaison : badge d’indentification, holophoto de proches, dans une des poches une petite chaine en or avec un anneau féminin au bout. Dans l’autre une demi ration dans son emballage scellé. Il trouva aussi dans sa botte une vibrodague de combat. C’était tout … son casque de pilotage était inutilisable.
A l’extérieur de l’appareil le colonel avait fait le tour de l’appareil et, après quelques instant d’effort, en s’arque boutant, avait réussi à arracher la porte faussée du compartiment de transport.
Il s’introduit à l’intérieur et en sorti plusieurs caissons blindés, en plastacier gris vert. Il s’approcha de chacun d’entre eux et posa son doigt sur chaque plaque de pression, laissant les mécanismes analyser ses facteurs corporels avant de s’ouvrir.
Il y avait trois armures complètes énergétiques avec toutes les options de combat : exosquelette, tube lance micro-missiles avec 70 roquettes, et un chargeur énergétique complémentaire ... Lui et le soldat survivant entreprirent de s’équiper avec les armures … il en restait une, décorée avec soin avec des motifs maritime, de vagues et d’oiseaux de mer, un peu comme les armures des premiers scorpionautes qu’ils avaient rencontrés.
Dans une autre caisse se trouvait 3 fusils Gauss et trois fusils laser, trois pistolets blaster avec pour chacun un ceinturon de 8 chargeurs. Un caisson attira l’attention de certain : il y avait un lance grenade à plasma de 40 mn à effet gauss avec 48 grenades. Ces dernières pouvaient être utilisées à la main, avec un retardateur manuel, une télécommande à distance ou un détecteur de mouvement de proximité ou … dans le lance grenade.
Dans une caisse il y avait des rations de survie et un dessiccateur environnemental autonome. Ce petit appareil était sensé pouvoir fournir environ 10 litres par heure en atmosphère humide, et filtrer efficacement tout liquide qui lui était fourni pour faire de l’eau potable.
Une tente igloo à camouflage optique gonflable, des filtres respiratoires, machette sonique, briquets à plasma, lance fusée à effet holo, grenades fumigènes colorées, matériel de pèche, harnais à monofilin sur enrouleur diamanté avec lance grappin complétait l’équipement de survie.
En terminant de fureter à bord Dom finit par trouver une trousse de soin assez bien équipé, bien qu’exclusivement destiné aux humains et plutôt orienté blessures de guerre.
Brise quant à lui tomba derrière le siège du pilote sur une trousse de réparation : il y avait de quoi réparer pas mal de truc à bord de l’orniptotère …
Dehors le colonel termina de s’équiper et pris un fusil gauss. Il donna un coup de pied dans la caisse du lance grenade : quelqu’un sait se servir de ça ? Avant que quelqu’un ne réponde il se pencha sur la caisse et récupéra quatre grenades qu’il glissa dans son brêlage, imité par son soldat.
[hrp]Compétence arme lourde pour s’en servir.[/hrp]
Il fit un tour d’horizon, attentif. Equipez-vous rapidement : nous sommes tombés dans un très mauvais endroit et il est certain que notre chute n’est pas passée inaperçue. Il faut que nous partions.
Brise fit les poches du pilote alors que hors du poste de pilotage ses petits compagnons s’agitaient à la recherche des caissons contenant armement et équipement de survie.
Il déplia un bas et récupéra l’arme de service du pilote, un pistolet Blaster Mark VII réglementaire, ses deux chargeurs complémentaires. La combinaison énergétique du pilote avait pris un coup, de même que son abesto … Dans son harnais il y avait un respirateur aquatique à membrane qui permettait de respirer sous l’eau, un communicateur d’urgence, un micro-holoprojo avec une carte de la région et un localisateur inertiel … visiblement grillé par la décharge … il fit les poches de la combinaison : badge d’indentification, holophoto de proches, dans une des poches une petite chaine en or avec un anneau féminin au bout. Dans l’autre une demi ration dans son emballage scellé. Il trouva aussi dans sa botte une vibrodague de combat. C’était tout … son casque de pilotage était inutilisable.
A l’extérieur de l’appareil le colonel avait fait le tour de l’appareil et, après quelques instant d’effort, en s’arque boutant, avait réussi à arracher la porte faussée du compartiment de transport.
Il s’introduit à l’intérieur et en sorti plusieurs caissons blindés, en plastacier gris vert. Il s’approcha de chacun d’entre eux et posa son doigt sur chaque plaque de pression, laissant les mécanismes analyser ses facteurs corporels avant de s’ouvrir.
Il y avait trois armures complètes énergétiques avec toutes les options de combat : exosquelette, tube lance micro-missiles avec 70 roquettes, et un chargeur énergétique complémentaire ... Lui et le soldat survivant entreprirent de s’équiper avec les armures … il en restait une, décorée avec soin avec des motifs maritime, de vagues et d’oiseaux de mer, un peu comme les armures des premiers scorpionautes qu’ils avaient rencontrés.
Dans une autre caisse se trouvait 3 fusils Gauss et trois fusils laser, trois pistolets blaster avec pour chacun un ceinturon de 8 chargeurs. Un caisson attira l’attention de certain : il y avait un lance grenade à plasma de 40 mn à effet gauss avec 48 grenades. Ces dernières pouvaient être utilisées à la main, avec un retardateur manuel, une télécommande à distance ou un détecteur de mouvement de proximité ou … dans le lance grenade.
Dans une caisse il y avait des rations de survie et un dessiccateur environnemental autonome. Ce petit appareil était sensé pouvoir fournir environ 10 litres par heure en atmosphère humide, et filtrer efficacement tout liquide qui lui était fourni pour faire de l’eau potable.
Une tente igloo à camouflage optique gonflable, des filtres respiratoires, machette sonique, briquets à plasma, lance fusée à effet holo, grenades fumigènes colorées, matériel de pèche, harnais à monofilin sur enrouleur diamanté avec lance grappin complétait l’équipement de survie.
En terminant de fureter à bord Dom finit par trouver une trousse de soin assez bien équipé, bien qu’exclusivement destiné aux humains et plutôt orienté blessures de guerre.
Brise quant à lui tomba derrière le siège du pilote sur une trousse de réparation : il y avait de quoi réparer pas mal de truc à bord de l’orniptotère …
Dehors le colonel termina de s’équiper et pris un fusil gauss. Il donna un coup de pied dans la caisse du lance grenade : quelqu’un sait se servir de ça ? Avant que quelqu’un ne réponde il se pencha sur la caisse et récupéra quatre grenades qu’il glissa dans son brêlage, imité par son soldat.
[hrp]Compétence arme lourde pour s’en servir.[/hrp]
Il fit un tour d’horizon, attentif. Equipez-vous rapidement : nous sommes tombés dans un très mauvais endroit et il est certain que notre chute n’est pas passée inaperçue. Il faut que nous partions.