2016-11-09, 09:05 PM
Le colonel inclina la tête.
Je vous écoute. Et je pense que vous croyez ce que vous me dites.
Mais parlez moi un peu plus de ce que Madame Diaz Kola, sur ce que vous alliez révéler sur ce dénommé Zool.
Madame Diaz, maintenant remise de ses émotions, se tenait debout, appuyée sur un mur, les bras croisées. Elle se mordillait la lèvre inférieure.
Après quelques instants d'hésitation elle finit par répéter l'histoire qu'elle avait déjà raconté un peu plus tôt.
Le colonel écouta en silence.
Il se redressa et se releva : La copie de ces documents est chez vous ? Bien, nous nous y rendons. Mesdames, messieurs, je vous invite à m'accompagner.
Il se dirigea vers la porte, les invitant à le suivre et avec comme escorte les deux sentinelles qui étaient restées dans le couloir se dirigea à travers le dédale de la forteresse jusqu'à une plateforme de décollage ou attendait un ornithoptère de transport de trompe aux armes des scorpionautes.
Une des sentinelles s'installa au poste de pilotage alors que l'autre s'installait à l'arrière, gardant un œil sur eux. Le véhicule était assez vaste pour accueillir le double de personnes. C'était un véhicule opérationnel, équipé pour des opérations de combat.
Avec doigté le pilote activa les ailes qui battirent l'air dans un souffle de tempête avant de les emmener hors du silo en direction du domicile de madame Kola. Le vol ne fut pas très long, avec la délicatesse d'une feuille volant dans le vent ils se posèrent devant une petite demeure à colonnes en marbre vert et au toit de bronze doré.
Restez là ordonna le colonel avant de descendre avec madame Diaz ... il ne fut pas long et revint avec celle-ci et une petite boite en bois de rose incrustée de nacre. Il tendit celle-ci au garde qui lui faisait face dans le compartiment.
Ce dernier sorti une petite tablette info et ouvrit la boite pour en extraire une aiguille de donnée qu'il inséra dans son lecteur. Il observa un instant, fit défiler les données qui s'affichèrent sur son cristal de synthévision. Laconique il déclara :
- Crypté mon Colonel.
- Vous pouvez le décoder ?
- Non mon colonel. Pas moi et pas avec le matériel que j'ai là ...
Je vous écoute. Et je pense que vous croyez ce que vous me dites.
Mais parlez moi un peu plus de ce que Madame Diaz Kola, sur ce que vous alliez révéler sur ce dénommé Zool.
Madame Diaz, maintenant remise de ses émotions, se tenait debout, appuyée sur un mur, les bras croisées. Elle se mordillait la lèvre inférieure.
Après quelques instants d'hésitation elle finit par répéter l'histoire qu'elle avait déjà raconté un peu plus tôt.
Le colonel écouta en silence.
Il se redressa et se releva : La copie de ces documents est chez vous ? Bien, nous nous y rendons. Mesdames, messieurs, je vous invite à m'accompagner.
Il se dirigea vers la porte, les invitant à le suivre et avec comme escorte les deux sentinelles qui étaient restées dans le couloir se dirigea à travers le dédale de la forteresse jusqu'à une plateforme de décollage ou attendait un ornithoptère de transport de trompe aux armes des scorpionautes.
Une des sentinelles s'installa au poste de pilotage alors que l'autre s'installait à l'arrière, gardant un œil sur eux. Le véhicule était assez vaste pour accueillir le double de personnes. C'était un véhicule opérationnel, équipé pour des opérations de combat.
Avec doigté le pilote activa les ailes qui battirent l'air dans un souffle de tempête avant de les emmener hors du silo en direction du domicile de madame Kola. Le vol ne fut pas très long, avec la délicatesse d'une feuille volant dans le vent ils se posèrent devant une petite demeure à colonnes en marbre vert et au toit de bronze doré.
Restez là ordonna le colonel avant de descendre avec madame Diaz ... il ne fut pas long et revint avec celle-ci et une petite boite en bois de rose incrustée de nacre. Il tendit celle-ci au garde qui lui faisait face dans le compartiment.
Ce dernier sorti une petite tablette info et ouvrit la boite pour en extraire une aiguille de donnée qu'il inséra dans son lecteur. Il observa un instant, fit défiler les données qui s'affichèrent sur son cristal de synthévision. Laconique il déclara :
- Crypté mon Colonel.
- Vous pouvez le décoder ?
- Non mon colonel. Pas moi et pas avec le matériel que j'ai là ...