2016-07-31, 06:03 PM
Les deux scorpionautes se redressèrent, abandonnant le couvert alors que l’équipage du Songe s’approchait d’eux. Les armes regagnèrent leur trappe d’épaule et les sabres furent remis dans leur fourreau. Mais celui qui était dissimulé dans la neige ne regagna la surface que lorsqu’il fut certain qu’il ne s’agissait pas d’une manœuvre de la part de la petite d’équipe d’aventurier.
Le « Dragon » eut une petite courbette alors que Zelda et le reste de la troupe approchait, il leur désigna la pente enneigée : Nous vous escortons jusqu’au temple. De la nous regagnerons le cœur. Ma’am, Sers … il sembla hésiter un instant en regardant l’hologramme qui couvrait Brise … Nad, permettez que nous vous guidions. Avez-vous besoin d’assistance médicale ? Après leur réponse négative, le « Loup » et le « Sanglier » prirent respectivement la tête de la troupe et la queue de celle-ci , alors que le « Dragon » se maintenait à quelques pas de Zelda, légèrement en arrière.
Le temps s’était miraculeusement remis au beau et c’est dans grande difficulté, évitant le couloir d’avalanche et sa couche poudreuse , qu’ils commencèrent leur lente descente. Alors qu’ils progressaient, ils sentirent une onde de chaleur qui provenait du corps du Scorpionaute empalé : celui-ci venait de se désintégrer dans un flash lumineux, ne laissant qu’un bref nuage de poussière et de vapeur qui se dissipa dans l’air matinal.
L’attention des soldats ne se relâchait pas et si l’un d’entre eux semblait hésiter, se mettait à trainer c’est l’ensemble du groupe qui était freiner de manière à permettre au trainard de rejoindre le groupe.
Bientôt ils parvinrent au temple dont les portes était ouvertes.
Traversant le village ils purent observer les habitants se tenaient sur le pas de leur porte en silence et qui à leur approche s’agenouillèrent avant de se prosterner, le visage fermé.
Tout aussi impassibles étaient les moines qu’ils croisèrent et qui firent de même à leur passage.
La cour avait été balayée de sa neige et nulle trace de sang de restait dans celle-ci. Néanmoins par la porte ouverte du temple intérieur ils purent voir qu’une assemblée de moines semblait veiller un corps posé sur un catafalque et recouvert d’un drap rouge.
Mais ils n’allèrent pas jusque là : ils s’arrêtèrent dans la cour, au centre de celle-ci, sous le regard des statues. Le sol vibrait légèrement et l’air semblait chargé d’électricité statique. Les scorpionautes les firent se placer au centre alors qu’eux même se plaçaient en périphérie.
Un éclair lumineux, un claquement électrique, un bref sentiment de malaise, de désorientation et tous disparurent.
La suite est là.
Le « Dragon » eut une petite courbette alors que Zelda et le reste de la troupe approchait, il leur désigna la pente enneigée : Nous vous escortons jusqu’au temple. De la nous regagnerons le cœur. Ma’am, Sers … il sembla hésiter un instant en regardant l’hologramme qui couvrait Brise … Nad, permettez que nous vous guidions. Avez-vous besoin d’assistance médicale ? Après leur réponse négative, le « Loup » et le « Sanglier » prirent respectivement la tête de la troupe et la queue de celle-ci , alors que le « Dragon » se maintenait à quelques pas de Zelda, légèrement en arrière.
Le temps s’était miraculeusement remis au beau et c’est dans grande difficulté, évitant le couloir d’avalanche et sa couche poudreuse , qu’ils commencèrent leur lente descente. Alors qu’ils progressaient, ils sentirent une onde de chaleur qui provenait du corps du Scorpionaute empalé : celui-ci venait de se désintégrer dans un flash lumineux, ne laissant qu’un bref nuage de poussière et de vapeur qui se dissipa dans l’air matinal.
L’attention des soldats ne se relâchait pas et si l’un d’entre eux semblait hésiter, se mettait à trainer c’est l’ensemble du groupe qui était freiner de manière à permettre au trainard de rejoindre le groupe.
Bientôt ils parvinrent au temple dont les portes était ouvertes.
Traversant le village ils purent observer les habitants se tenaient sur le pas de leur porte en silence et qui à leur approche s’agenouillèrent avant de se prosterner, le visage fermé.
Tout aussi impassibles étaient les moines qu’ils croisèrent et qui firent de même à leur passage.
La cour avait été balayée de sa neige et nulle trace de sang de restait dans celle-ci. Néanmoins par la porte ouverte du temple intérieur ils purent voir qu’une assemblée de moines semblait veiller un corps posé sur un catafalque et recouvert d’un drap rouge.
Mais ils n’allèrent pas jusque là : ils s’arrêtèrent dans la cour, au centre de celle-ci, sous le regard des statues. Le sol vibrait légèrement et l’air semblait chargé d’électricité statique. Les scorpionautes les firent se placer au centre alors qu’eux même se plaçaient en périphérie.
Un éclair lumineux, un claquement électrique, un bref sentiment de malaise, de désorientation et tous disparurent.
La suite est là.