2016-03-14, 03:40 PM
Le sage Rimtoké sembla un peu désarçonné par la réponse de l'un comme de l'autre et s'il ne cessa pas de sourire ses yeux se plissèrent.
Il est rare que les voyageurs soient uniquement motivés par la curiosité : souvent l'on sert le Prince, parfois ses intérêts pécuniaires en ouvrant des voies de commerce, parfois encore l'on vient en ambassade, mais il faut croire que les êtres de vos lointaines contrées diffèrent de nous.
Il leva la coupe, trêve du passé et buvons au présent : il but cul sec son second bol avant de le reposer avec un soupir satisfait. ... il attendit que chacun fasse de même avant de reprendre.
La seconde coupe était plus agréable : on se faisait au gout alcoolisé lacté et acide et le breuvage commença à diffuser une douche chaleur dans les ventres si ce n'est dans les têtes.
Mais parlons du présent : j'imagine que des voyageurs venant d'aussi loin ont de nombreuses questions à poser à leur tour ?
Alors qu'il attendait les moinillons entreprirent de verser de remplir les coupe, mais aussi de préparer dans des bols une soupe épaisse, odorante et apétissante sur laquelle ils posèrent une grande galette de pain non levé. Chacun eu droit à son bol, accompagné d'une cuillère.
Il est rare que les voyageurs soient uniquement motivés par la curiosité : souvent l'on sert le Prince, parfois ses intérêts pécuniaires en ouvrant des voies de commerce, parfois encore l'on vient en ambassade, mais il faut croire que les êtres de vos lointaines contrées diffèrent de nous.
Il leva la coupe, trêve du passé et buvons au présent : il but cul sec son second bol avant de le reposer avec un soupir satisfait. ... il attendit que chacun fasse de même avant de reprendre.
La seconde coupe était plus agréable : on se faisait au gout alcoolisé lacté et acide et le breuvage commença à diffuser une douche chaleur dans les ventres si ce n'est dans les têtes.
Mais parlons du présent : j'imagine que des voyageurs venant d'aussi loin ont de nombreuses questions à poser à leur tour ?
Alors qu'il attendait les moinillons entreprirent de verser de remplir les coupe, mais aussi de préparer dans des bols une soupe épaisse, odorante et apétissante sur laquelle ils posèrent une grande galette de pain non levé. Chacun eu droit à son bol, accompagné d'une cuillère.