2016-01-28, 09:30 PM
Le sas s'ouvrit en iris dans le plus grand silence, vide spatial oblige, découvrant le couloir qui plongeait ver les centre de la planète. Ils s'engagèrent à puissance réduite dans celui-ci, guettant, observant ... Le lieu était désert. C'était étrange, comme si on avait construit cette chose et qu'on ne l'avait pas terminé : pas de trace de vie ou d'installation permettant celle-ci. Des salles de stockage, des pièces de contrôle plus petite dont tout équipement technologie était absent ... sur leurs scanner trisonar ils suivaient la cartographie que Kald dessinait au fur et à mesure de leur lente descente.
Ils parvinrent à d'autres salles, d'autres couloirs qui formaient un dédale qu'une colonie de fourmis de Tagriss n'aurait pas reniée. Mais leur guide était les sas les plus propres, ceux qui avaient été activés récemment. Ils continuaient leur descente.
1000 Km sous la surface : ils firent une pause pour changer les équipes et pour prendre le temps d'observer une installation industrielle à la limite de leur scanners : c'était un réacteur nucléaire automatisé, un engin NT4 ou NT5 vu sa compacité. Il était totalement à l'arrêt, ses barres de combustibles isolés par des champs de stase ... Brise observa un long moment l'architecture de celui-ci et parvint à une conclusion : ce n'était pas le travail de la loge et ça ne ressemblait à rien de ce qu'il connaissait. Hummmm ? Dom observa d'un peut plus prés la salle qui abritait le réacteur : là ! il demanda un agrandissement. Dans les sas qui menaient au réacteur il y avait des silos furtifs très difficilement détectable : ça ressemblait diablement à des tourelles automatisées à laser lourd mark IV. Il en avait vu lors de son service : des saletés qui se désoccultaient au dernier moment pour surprendre leur adversaire. Par contre le champs d'occultation devait être un peu défaillant ou d'un modèle ancien : normalement il n'y avait aucune chance de les repérer avec un simple tr-sonard de bord.
Ils décidèrent* de laisser cela de coté et continuèrent à suivre les traces du lapin blanc : toujours plus profond cela les entrainait.
Spoutkin qui lisait les relevés nota que plus ils s'enfonçaient plus les installations semblaient alimentées régulièrement.
Un changement majeur se produisit à 1300 km de profondeur : ils pénétrèrent dans un sas, qui ne semblait pas se distinguer des autres, le sas extérieur se referma et Théo perçu sur sa console un brusque pic d'énergie. Chacun à bord eut un pincement au cœur, mais n'eut pas le temps de s'inquiéter : les capteur percevaient que l'on injectait du gaz à l'intérieur du sas : azote, oxygène, quelques gaz rares et le tout se stabilisa à 1,02 bar : des conditions parfaitement adaptées à la vie humaine. La température s'afficha : il faisait froid, -15 °, mais ce n'était pas insurmontable.
Le second sas s'ouvrit dévoilant de nouveaux couloirs, mais les pièces qu'ils croisaient semblaient plus petites. Ca ressemblait à des installation environnementales, serres hydroponiques, bassin de recyclage d'eau, et ce qui pouvaient ressembler à des quartiers de logement : des petites salles alignées. Néanmoins les capteurs leur indiquait que tout cela était vide, abandonnés, sans la trace de la moindre vie : les bassins et les salles hydroponiques étaient vides de tout végétaux ou eau.
[hrp]*si vous décidez autrement je fait un rétro-pédalage[/hrp]
Ils parvinrent à d'autres salles, d'autres couloirs qui formaient un dédale qu'une colonie de fourmis de Tagriss n'aurait pas reniée. Mais leur guide était les sas les plus propres, ceux qui avaient été activés récemment. Ils continuaient leur descente.
1000 Km sous la surface : ils firent une pause pour changer les équipes et pour prendre le temps d'observer une installation industrielle à la limite de leur scanners : c'était un réacteur nucléaire automatisé, un engin NT4 ou NT5 vu sa compacité. Il était totalement à l'arrêt, ses barres de combustibles isolés par des champs de stase ... Brise observa un long moment l'architecture de celui-ci et parvint à une conclusion : ce n'était pas le travail de la loge et ça ne ressemblait à rien de ce qu'il connaissait. Hummmm ? Dom observa d'un peut plus prés la salle qui abritait le réacteur : là ! il demanda un agrandissement. Dans les sas qui menaient au réacteur il y avait des silos furtifs très difficilement détectable : ça ressemblait diablement à des tourelles automatisées à laser lourd mark IV. Il en avait vu lors de son service : des saletés qui se désoccultaient au dernier moment pour surprendre leur adversaire. Par contre le champs d'occultation devait être un peu défaillant ou d'un modèle ancien : normalement il n'y avait aucune chance de les repérer avec un simple tr-sonard de bord.
Ils décidèrent* de laisser cela de coté et continuèrent à suivre les traces du lapin blanc : toujours plus profond cela les entrainait.
Spoutkin qui lisait les relevés nota que plus ils s'enfonçaient plus les installations semblaient alimentées régulièrement.
Un changement majeur se produisit à 1300 km de profondeur : ils pénétrèrent dans un sas, qui ne semblait pas se distinguer des autres, le sas extérieur se referma et Théo perçu sur sa console un brusque pic d'énergie. Chacun à bord eut un pincement au cœur, mais n'eut pas le temps de s'inquiéter : les capteur percevaient que l'on injectait du gaz à l'intérieur du sas : azote, oxygène, quelques gaz rares et le tout se stabilisa à 1,02 bar : des conditions parfaitement adaptées à la vie humaine. La température s'afficha : il faisait froid, -15 °, mais ce n'était pas insurmontable.
Le second sas s'ouvrit dévoilant de nouveaux couloirs, mais les pièces qu'ils croisaient semblaient plus petites. Ca ressemblait à des installation environnementales, serres hydroponiques, bassin de recyclage d'eau, et ce qui pouvaient ressembler à des quartiers de logement : des petites salles alignées. Néanmoins les capteurs leur indiquait que tout cela était vide, abandonnés, sans la trace de la moindre vie : les bassins et les salles hydroponiques étaient vides de tout végétaux ou eau.
[hrp]*si vous décidez autrement je fait un rétro-pédalage[/hrp]