2016-01-17, 10:52 PM
Hélas, les recherches qu’ils avaient faites plus tôt tendaient à prouver que cette salle, et les autres qu’ils soupçonnaient, étaient enterrées depuis longtemps : plusieurs millions d’années. S’il y avait eut des tunnels d’accès ceux-ci étaient effondrés ou comblés. En tout cas ils n’apparaissaient pas sur les scopes. De plus le tri-sonar du Songe n’était guère adapté à l’imagerie géologique.
Ils lancèrent donc le forage au diamètre du songe … Cela dura des heures, ils se relayaient comme convenu pour assurer la surveillance des formecs et de la tête de forage . Enfin, avec trois heures d’avance sur les estimations initiales le passage fut ouvert. Un puits abyssale qui plongeait au cœur de la planète morte.
Après avoir remballé leur matériel, les formecs, avec d’infinies précautions ils s’engagèrent dans une descente interminable. Il n’y avait rien de trop dans le passage, mais il était correctement étayé.
Ils débouchèrent enfin dans la caverne ou les avait précédé la sonde fabriquée par Brise.
Maintenant qu’ils la voyaient de leurs yeux, sa taille s’imposa à eux alors que les phares du songe dessinaient des cercles de lumière dans la matière grise métallique. Colossale. Ils se déplacèrent avec lenteur autour des colonnes et plateformes à l’usage inconnu.
Les instruments du Songe tournaient à plein régime, sondant, enregistrant et Kald se tenait coi comme à son habitude quand il analysait, interprétait.
Les résultats commencèrent à s’afficher dans le projecteur tri-v de la passerelle du songe. Le métal gris qui composait la structure semblait être un alliage de matière qui avait comme propriété d’absorber les rayonnements … rayonnement transformés en énergie qui était transmise via des conduits enchâssé dans la structure. C’était à la fois un moyen de collecter de l’énergie et une méthode de camouflage.
Ce qui les frappa surtout ce fut la représentation que Kald parvint à leur donner grâce au tri-sonar. Celui-ci ne portait plus qu’à 20 km, mais ce qu’il révélait les laissa bouche bée : tout autour d’eux ce n’était que structure artificielle, salles monumentales, salles plus petites, couloirs d’accès, sas, réservoirs sphérique de plusieurs kilomètres de diamètres contenant de l’hydrogène liquide, de l’oxygène liquide.
Comme le soupçonnait Spoutkin à environ 10 km de leur position il semblait y avoir un sas, enterré lui aussi. Un vrai labyrinthe.
Enfin la cerise sur le gâteau : au vu de la courbure des salles proches, il semblait bien que tout le sous sol de cette planète soit artificielle, sur des milliers de kilomètres.
Ils lancèrent donc le forage au diamètre du songe … Cela dura des heures, ils se relayaient comme convenu pour assurer la surveillance des formecs et de la tête de forage . Enfin, avec trois heures d’avance sur les estimations initiales le passage fut ouvert. Un puits abyssale qui plongeait au cœur de la planète morte.
Après avoir remballé leur matériel, les formecs, avec d’infinies précautions ils s’engagèrent dans une descente interminable. Il n’y avait rien de trop dans le passage, mais il était correctement étayé.
Ils débouchèrent enfin dans la caverne ou les avait précédé la sonde fabriquée par Brise.
Maintenant qu’ils la voyaient de leurs yeux, sa taille s’imposa à eux alors que les phares du songe dessinaient des cercles de lumière dans la matière grise métallique. Colossale. Ils se déplacèrent avec lenteur autour des colonnes et plateformes à l’usage inconnu.
Les instruments du Songe tournaient à plein régime, sondant, enregistrant et Kald se tenait coi comme à son habitude quand il analysait, interprétait.
Les résultats commencèrent à s’afficher dans le projecteur tri-v de la passerelle du songe. Le métal gris qui composait la structure semblait être un alliage de matière qui avait comme propriété d’absorber les rayonnements … rayonnement transformés en énergie qui était transmise via des conduits enchâssé dans la structure. C’était à la fois un moyen de collecter de l’énergie et une méthode de camouflage.
Ce qui les frappa surtout ce fut la représentation que Kald parvint à leur donner grâce au tri-sonar. Celui-ci ne portait plus qu’à 20 km, mais ce qu’il révélait les laissa bouche bée : tout autour d’eux ce n’était que structure artificielle, salles monumentales, salles plus petites, couloirs d’accès, sas, réservoirs sphérique de plusieurs kilomètres de diamètres contenant de l’hydrogène liquide, de l’oxygène liquide.
Comme le soupçonnait Spoutkin à environ 10 km de leur position il semblait y avoir un sas, enterré lui aussi. Un vrai labyrinthe.
Enfin la cerise sur le gâteau : au vu de la courbure des salles proches, il semblait bien que tout le sous sol de cette planète soit artificielle, sur des milliers de kilomètres.