2015-12-27, 10:46 AM
Théo n'avait pas fait l'impasse sur la formation "Pilotage de Formec", même s'il s'était limité aux cours de base. Il était passé à l'armurerie s'équiper comme les autres. Il avait délaissé son vieux paral personnel : pas d'infrasons sur un monde sans atmosphère comme celui-ci. Il le remplaça par un blaster de poing, passa ses karatapoignes, et ceignit sa taille de la ceinture émettrice d'une combinaison-champ. Il prit soin d'aller chercher dans les cales deux lasers d'épaule Mark IV avec une réserve de chargeurs. Puis il gagna le hangar du formec et fixa les armes chargées sur les attaches externes du formec, avant de coiffer le casque de communication et le caler sur le canal choisi par Zelda.
Il déconnecta les ombilicaux qui reliaient le massif robot au circuit d'alimentation du Songe, activa ses batteries individuelles. Dans un concert de chuintement d'électromuscles et d'alliages carbo-métalliques glissant les uns sur les autres, le formec fléchit ses pattes articulées pour permettre à l'artilleur de grimper dans l'étroite cabine de pilotage. Il s'installa non sans mal, glissa ses bras et ses jambes dans les cocons qui permettaient de garder le contôle manuel même en cas de panne de liason-cyborg. Puis il activa sa combinaison-champ, verrouilla les attaches de sécurité, et contacta Kald en audio :
"Tu peux ouvrir les portes du hangar."
Il profita des manœuvres de dépressurisation pour appairer son plot vertébral aux circuits logiques du robot et lancer la check-list de routine. Tous les pseudo-voyants étaient au vert dans sa vision virtuelle. Lorsque le panneau de sortie coulissa pour révéler l'extérieur, il fit faire deux pas au formec, puis sauta jusqu'au sol, où il atterrit évidemment sans bruit mais non sans provoquer de puissantes vibrations qui durent attirer l'attention de ses compagnons. Lesquels virent le formec tendre vers eux un bras mécanique au bout duquel une lampe à souder se dressa et s'alluma comme un pouce levé (*)
(*) Une scène qui devrait rappeler quelque chose à ceux qui sont allés au cinéma cette semaine ou la précédente
Il déconnecta les ombilicaux qui reliaient le massif robot au circuit d'alimentation du Songe, activa ses batteries individuelles. Dans un concert de chuintement d'électromuscles et d'alliages carbo-métalliques glissant les uns sur les autres, le formec fléchit ses pattes articulées pour permettre à l'artilleur de grimper dans l'étroite cabine de pilotage. Il s'installa non sans mal, glissa ses bras et ses jambes dans les cocons qui permettaient de garder le contôle manuel même en cas de panne de liason-cyborg. Puis il activa sa combinaison-champ, verrouilla les attaches de sécurité, et contacta Kald en audio :
"Tu peux ouvrir les portes du hangar."
Il profita des manœuvres de dépressurisation pour appairer son plot vertébral aux circuits logiques du robot et lancer la check-list de routine. Tous les pseudo-voyants étaient au vert dans sa vision virtuelle. Lorsque le panneau de sortie coulissa pour révéler l'extérieur, il fit faire deux pas au formec, puis sauta jusqu'au sol, où il atterrit évidemment sans bruit mais non sans provoquer de puissantes vibrations qui durent attirer l'attention de ses compagnons. Lesquels virent le formec tendre vers eux un bras mécanique au bout duquel une lampe à souder se dressa et s'alluma comme un pouce levé (*)
(*) Une scène qui devrait rappeler quelque chose à ceux qui sont allés au cinéma cette semaine ou la précédente

"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)