2015-11-18, 01:24 PM
[hrp]Rédigé en accord avec MdJ et selon ses indications...[/hrp]
"Géronimoooo !!!" s'écria Théo en enfourchant une trottinette et en donnant de vigoureux coups de pied au sol pour faire prendre de la vitesse à son engin. Il s'était lui aussi renseigné sur la localisation des installations locales de la Confrérie des Corsaires et un plan synthétique des lieux s'affichait actuellement dans un coin de sa vision virtuelle.
Un plaisantin avait tagué des flèches indiquant la bonne direction à l'aide de nanopeinture fluorescente dans les couloirs qui menaient à l'entrepôt désaffecté où siégeait la Confrérie. Connaissant l'absence d'humour des autorités locales, ledit plaisantin devait s'y connaître en robotique et avoir également reprogrammé les logimecs d'entretien du secteur pour qu'ils n'effacent pas les tags. Un panneau TriD animé ornait l'entrée de l'entrepôt, baptisé Saint-Malo comme il était de tradition, pour une raison obscure qui se perdait dans les brumes de l'histoire pré-impériale, pré-confédérale, et même pré-spatiale, d'après les spécialistes de la Confrérie.
L'intérieur de la caverne de métal était plus ou moins bien éclairé et une foule interlope s'y croisait. Une bourse d'échange "à ciel ouvert" occupait la majeure partie de l'entrepôt, la plupart des courtiers utilisaient de vieilles polytentes rapiécées pour abriter leurs comptoirs. Dans la partie la plus éloignée de l'entrée, moins éclairée que le reste de l'entrepôt, on pouvait apercevoir les holonéons d'un bar clandestin, lui aussi à ciel ouvert. Compte-tenu de l'environnement, la barmaid était humaine et assistée d'une brigade de logimecs-serveurs slalomant acrobatiquement entre les tables sur leurs gyropodes.
"Géronimoooo !!!" s'écria Théo en enfourchant une trottinette et en donnant de vigoureux coups de pied au sol pour faire prendre de la vitesse à son engin. Il s'était lui aussi renseigné sur la localisation des installations locales de la Confrérie des Corsaires et un plan synthétique des lieux s'affichait actuellement dans un coin de sa vision virtuelle.
Un plaisantin avait tagué des flèches indiquant la bonne direction à l'aide de nanopeinture fluorescente dans les couloirs qui menaient à l'entrepôt désaffecté où siégeait la Confrérie. Connaissant l'absence d'humour des autorités locales, ledit plaisantin devait s'y connaître en robotique et avoir également reprogrammé les logimecs d'entretien du secteur pour qu'ils n'effacent pas les tags. Un panneau TriD animé ornait l'entrée de l'entrepôt, baptisé Saint-Malo comme il était de tradition, pour une raison obscure qui se perdait dans les brumes de l'histoire pré-impériale, pré-confédérale, et même pré-spatiale, d'après les spécialistes de la Confrérie.
L'intérieur de la caverne de métal était plus ou moins bien éclairé et une foule interlope s'y croisait. Une bourse d'échange "à ciel ouvert" occupait la majeure partie de l'entrepôt, la plupart des courtiers utilisaient de vieilles polytentes rapiécées pour abriter leurs comptoirs. Dans la partie la plus éloignée de l'entrée, moins éclairée que le reste de l'entrepôt, on pouvait apercevoir les holonéons d'un bar clandestin, lui aussi à ciel ouvert. Compte-tenu de l'environnement, la barmaid était humaine et assistée d'une brigade de logimecs-serveurs slalomant acrobatiquement entre les tables sur leurs gyropodes.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)