2015-08-24, 05:52 PM
[hrp]Content que tu sois parmi nous de nouveau Spoutkin. Tu aurai put faire un tir de combat distance avec habileté sous 5d6 mais ça aurait été tir très risqué : il n'y a plus qu'un seul adversaire et certains de tes camarades sont au contact. Je préfère que tu me fasses un jet de perception sous 3d6 pour voir si il y a quelqu'un qui arrive par vos arrières.
Pour les autres ...[/hrp]
C'était une mêlée sauvage qui se déroulait au sol : Brise roulait d'un coté et de l'autre, roulant sur son adversaire ou étant chevauché par lui ... les tirs avaient plus autour d'eux sans grande efficacité semble-t-il, Brise ayant été manqué de justesse par un tir qui n'avait d'amical que le nom.
Brise avait levé son paral, pour le voir détourné par l'homme : son tir frappa la cloison dans une rosace d'étincelles du plus bel effet. Il en profita pour lui lacérer le flanc de son chalumeau, avec plus de succès cette fois-ci, ouvrant une entaille fumante qui arracha à l'homme un hurlement de douleur ... la cavalerie arrivait : Théo déboula et porta un coup de crosse au mercenaire qui l'atteignit à la poitrine et l'envoya en arrière assommé pour le compte, puis ce fût au tour de Bruhuk de rentrer dans la danse : il tenait à la main un couteau de pierre, une lame d'obsidienne épaisse, mais dont le verre naturel avait été polie et affutée comme un rasoir. Il saisit d'une main les cheveux de l'homme évanoui et bascula sa tête en arrière, dévoilant sa gorge : il posa sa lame sur celle-ci ...
Zelda de son coté n'avait pas été en reste : son tir avait fait mouche et son adversaire s'était effondré sur son camarade mort ... Un grand calme s'empara soudain de la scène : il n'y avait plus d'adversaire visible ou encore actif.
[hrp]à vous ...[/hrp]
Pour les autres ...[/hrp]
C'était une mêlée sauvage qui se déroulait au sol : Brise roulait d'un coté et de l'autre, roulant sur son adversaire ou étant chevauché par lui ... les tirs avaient plus autour d'eux sans grande efficacité semble-t-il, Brise ayant été manqué de justesse par un tir qui n'avait d'amical que le nom.
Brise avait levé son paral, pour le voir détourné par l'homme : son tir frappa la cloison dans une rosace d'étincelles du plus bel effet. Il en profita pour lui lacérer le flanc de son chalumeau, avec plus de succès cette fois-ci, ouvrant une entaille fumante qui arracha à l'homme un hurlement de douleur ... la cavalerie arrivait : Théo déboula et porta un coup de crosse au mercenaire qui l'atteignit à la poitrine et l'envoya en arrière assommé pour le compte, puis ce fût au tour de Bruhuk de rentrer dans la danse : il tenait à la main un couteau de pierre, une lame d'obsidienne épaisse, mais dont le verre naturel avait été polie et affutée comme un rasoir. Il saisit d'une main les cheveux de l'homme évanoui et bascula sa tête en arrière, dévoilant sa gorge : il posa sa lame sur celle-ci ...
Zelda de son coté n'avait pas été en reste : son tir avait fait mouche et son adversaire s'était effondré sur son camarade mort ... Un grand calme s'empara soudain de la scène : il n'y avait plus d'adversaire visible ou encore actif.
[hrp]à vous ...[/hrp]