2014-11-02, 10:20 AM
[hrp]Je suis désolé de mon manque de réponse sur le fofo : je suis en train de m'occuper de ma mère et en parallèle j'ai chopé une gastro de dernière les fagots.
Bref, revenons à l'aventure.[/hrp]
Le prisonnier redressa la tête et Théo croisa son regard. On peut faire passer beaucoup de choses dans un regard. De l'amour, de la méfiance, de la curiosité ... rien de tout cela dans son regard.
Théo devait garder longtemps en mémoire ce regard. Un mélange de ruse maléfique qui l'amena à se dire que Dom avait bien raison de l'avoir averti et ... autre chose. Le sentiment d'avoir croisé le regard d'un homme en train de faire du planeur antigrav au dessus des plaines de l'enfer.
Théo frissonna. Cela ne dura qu'un instant, l'homme détourna le regard, conscient que sa ruse pour inciter Théo à s'approcher avait échouée.
Un consensus avait été trouvé entre les divers membres du Songe, même si Bruhuk était d'avis contraire, d'essayer de retrouver ce qui restait de sa personnalité. Mais comment ? de l'avis de Dom l'hypnotisme était une méthode éprouvée et traditionnelle. La solution chimique et pharmacologique était aussi une voie possible bien que plus délicate qui obligerait à des injections intra crânienne. L'appel aux pouvoirs psy, à la télépathie, serait sans doute la solution idéale, bien que cela pose des problèmes d'éthique de respect des personnalité. Cependant personne ne semblait* disposer de ce talent.
C'est à ce stade de leur réflexion que Dji qui était resté jusque là silencieux toussa poliment.
koff, koff ... Je crois que je peux vous aider sur ce point. Il interrogea des yeux son supérieur qui approuva d'un sec mouvement de menton. Je dispose de quelques capacités dans le domaine de la télépathie, capacités qui ont été développé et affinées par un prêtre de l'église de la lumière intérieur. Je possède, en théorie, les capacités suffisantes pour essayer de discuter avec les diverses personnalités de cet individu et d'essayer de faire remonter à la surface sa personnalité d'origine.
Il prit une chaise qu'il retourna, s'asseyant à califourchon en face du prisonnier. Gardez le silence je vous prie. Il posa les deux coudes sur le dossier, posant sa tête sur ses deux mains en coupe, fixant le prisonnier.
Pendant plusieurs minutes rien ne se passa. Soudain le prisonnier tenta de se redresser, tirant sur ses liens jusqu'à faire saigner ses poignets, dans un cliquetis de chaines. Son visage était parcouru de tics, d'expressions contradictoires. Il grinça des dents avant de se mettre à hurler.
Il s'effondra de nouveau dans son siège, haletant, le visage vide de toute expression. Il semblait loin, très loin.
Dom vérifia les constantes de son patient et grimaça : ce n'était pas terrible. Pouls rapide, tension élevée ...
Dji se redressa tout doucement, le visage couvert de sueur sans quitter du regard le prisonnier. Sa voix était lente, venant de loin : Je le tiens. Il ne reste pas grand chose de sa personnalité d'origine. Des fragments. Des éléments éparts que je tente de maintenir. Vous pouvez poser vos questions. Mais je ne pourrai pas le tenir très longtemps. Cinq ou six questions peut être. Allez-y.
[hrp]* sauf erreur de ma part.[/hrp]
Bref, revenons à l'aventure.[/hrp]
Le prisonnier redressa la tête et Théo croisa son regard. On peut faire passer beaucoup de choses dans un regard. De l'amour, de la méfiance, de la curiosité ... rien de tout cela dans son regard.
Théo devait garder longtemps en mémoire ce regard. Un mélange de ruse maléfique qui l'amena à se dire que Dom avait bien raison de l'avoir averti et ... autre chose. Le sentiment d'avoir croisé le regard d'un homme en train de faire du planeur antigrav au dessus des plaines de l'enfer.
Théo frissonna. Cela ne dura qu'un instant, l'homme détourna le regard, conscient que sa ruse pour inciter Théo à s'approcher avait échouée.
Un consensus avait été trouvé entre les divers membres du Songe, même si Bruhuk était d'avis contraire, d'essayer de retrouver ce qui restait de sa personnalité. Mais comment ? de l'avis de Dom l'hypnotisme était une méthode éprouvée et traditionnelle. La solution chimique et pharmacologique était aussi une voie possible bien que plus délicate qui obligerait à des injections intra crânienne. L'appel aux pouvoirs psy, à la télépathie, serait sans doute la solution idéale, bien que cela pose des problèmes d'éthique de respect des personnalité. Cependant personne ne semblait* disposer de ce talent.
C'est à ce stade de leur réflexion que Dji qui était resté jusque là silencieux toussa poliment.
koff, koff ... Je crois que je peux vous aider sur ce point. Il interrogea des yeux son supérieur qui approuva d'un sec mouvement de menton. Je dispose de quelques capacités dans le domaine de la télépathie, capacités qui ont été développé et affinées par un prêtre de l'église de la lumière intérieur. Je possède, en théorie, les capacités suffisantes pour essayer de discuter avec les diverses personnalités de cet individu et d'essayer de faire remonter à la surface sa personnalité d'origine.
Il prit une chaise qu'il retourna, s'asseyant à califourchon en face du prisonnier. Gardez le silence je vous prie. Il posa les deux coudes sur le dossier, posant sa tête sur ses deux mains en coupe, fixant le prisonnier.
Pendant plusieurs minutes rien ne se passa. Soudain le prisonnier tenta de se redresser, tirant sur ses liens jusqu'à faire saigner ses poignets, dans un cliquetis de chaines. Son visage était parcouru de tics, d'expressions contradictoires. Il grinça des dents avant de se mettre à hurler.
Il s'effondra de nouveau dans son siège, haletant, le visage vide de toute expression. Il semblait loin, très loin.
Dom vérifia les constantes de son patient et grimaça : ce n'était pas terrible. Pouls rapide, tension élevée ...
Dji se redressa tout doucement, le visage couvert de sueur sans quitter du regard le prisonnier. Sa voix était lente, venant de loin : Je le tiens. Il ne reste pas grand chose de sa personnalité d'origine. Des fragments. Des éléments éparts que je tente de maintenir. Vous pouvez poser vos questions. Mais je ne pourrai pas le tenir très longtemps. Cinq ou six questions peut être. Allez-y.
[hrp]* sauf erreur de ma part.[/hrp]