2014-10-11, 07:54 PM
Schattenbogen Wrote:Pour le repérage, je me référais au canon.Les Saintes Ecritures disent qu'il est très difficile de repérer la source d'une émission hyperondes, mais pas que c'est impossible. Trois ou plutôt quatre récepteurs dont les horloges internes sont parfaitement synchronisées peuvent, par recoupement des délais de réception d'un signal hypercom donné, localiser le point à partir duquel il a été émis. Mais ça demanderait de réussir un test très difficile à un expert Comm. TriD. Maintenant, la logistique à mettre en oeuvre reste disproportionnée pour localiser des drones d'astéroprospection
Cela dit, comment on triangule une onde se déplaçant à un telle vitesse en ayant un seul point de référence ?
Pour trianguler, cela signifierait que l'on met en place un système et que l'on s'attend à une émission en espérant réussir être assez rapide, non ?
Schattenbogen Wrote:Soit des engins ayant des possibilités techniques équivalentes à des robots sans être soumis aux trois lois : armée, police, secours, espionnage, sabotage, etc ...Les drones doivent être soumis aux trois lois comme tous les autres robots. C'est la condition sine qua non pour que les machines ne soient pas rejetées par la société impériale comme ce fut le cas par le passé. Mais comme les formecs, la prise de contrôle par un être vivant permet d'outrepasser lesdites lois.
Une présence humaine peut être nécessaire, mais nettement moins que dans un monde sans hyperondes.
A noter : dans notre vision d'EG, les hyperondes ont une bande passante tout juste suffisante pour faire passer des signaux holos et vidéos en intrasystème. Il est donc possible de commander des drones avec un retour TriD pour le télé-opérateur. Au-delà de 1 AL, on passe en phonie uniquement, avec une qualité qui se dégrade rapidement, et au delà de 30 AL, seule la graphie passe correctement. Et oui, dans l'Empire, les communications à longue distance, c'est du morse ! Suranné, certes, mais rappelons-nous que la Toile a été imaginée à l'époque du minitel
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)