2014-08-27, 05:01 PM
Zelda n'avait pas répondu aux questions du capitaine de l’aérostat. Il n'avait pas à savoir ce qui les amenait à son bord... Elle le gratifia d'un signe de tête et d'un sourire protocolaire lorsqu'il les abandonna pour d’autres obligations.
Quelques minutes plus tard, Zelda somnolait sur les hamacs. Elle pouvait s'endormir n'importe où, et se réveiller tout aussi rapidement. La routine lorsque l'on vivait à la dure. Chaque seconde de repos était précieuse. C'était un sommeil sans rêve...
Le crépuscule commençait à draper les marais d'un voile noir et sauvage, lorsqu'un mousse vient la réveiller. La démarche légère du garçon suffit à la faire sortir de son sommeil. Le ronronnement des génératrices et l’impalpable odeur d'ozone exhalée par les charbons surchauffés des rotors lui rappela la situation : L’aéronef devait être en vue de la zone du crash.
D'un tour de main, la jeune femme boucla son corset de cuir sous le regard écarquillé du mousse, troublé et rougissant. Elle ajusta son ceinturon et enfila ses cuissardes. Elle rejoignit le reste de l'équipe.
"Je suis également d'avis de descendre illico sur zone... Mais, inutile de bivouaquer... Notre tâche sera d'autant plus discrète qu'elle se fera au profit de l’obscurité... Quand dites-vous ? Zelda attendit l’avis des uns et des autres.
…En outre, il nous faut une fréquence d'appel pour rester en contact avec vous, Capitaine. Zelda se tourna vers l'officier supérieur. Elle ajouta : Combien de temps pouvez-vous rester sur zone ? Une fois que nous aurons débarqué, je vous demanderais de patrouiller à distance. Nous avons besoin de calme ! Mais au cas où la liaison radio devenait impossible, nous utiliseront une fusée rouge en cas de d'urgence... Et si nous n'avons plus besoin de votre soutien, une verte pour vous signaler de repartir... Capitaine, vous seriez galant de me déposer au plus près…" Zelda lui sourit.
Puis elle récupéra son matériel, un fusil, des munitions et deux grenades... Vous êtes prêt les garçons ?
Quelques minutes plus tard, Zelda somnolait sur les hamacs. Elle pouvait s'endormir n'importe où, et se réveiller tout aussi rapidement. La routine lorsque l'on vivait à la dure. Chaque seconde de repos était précieuse. C'était un sommeil sans rêve...
Le crépuscule commençait à draper les marais d'un voile noir et sauvage, lorsqu'un mousse vient la réveiller. La démarche légère du garçon suffit à la faire sortir de son sommeil. Le ronronnement des génératrices et l’impalpable odeur d'ozone exhalée par les charbons surchauffés des rotors lui rappela la situation : L’aéronef devait être en vue de la zone du crash.
D'un tour de main, la jeune femme boucla son corset de cuir sous le regard écarquillé du mousse, troublé et rougissant. Elle ajusta son ceinturon et enfila ses cuissardes. Elle rejoignit le reste de l'équipe.
"Je suis également d'avis de descendre illico sur zone... Mais, inutile de bivouaquer... Notre tâche sera d'autant plus discrète qu'elle se fera au profit de l’obscurité... Quand dites-vous ? Zelda attendit l’avis des uns et des autres.
…En outre, il nous faut une fréquence d'appel pour rester en contact avec vous, Capitaine. Zelda se tourna vers l'officier supérieur. Elle ajouta : Combien de temps pouvez-vous rester sur zone ? Une fois que nous aurons débarqué, je vous demanderais de patrouiller à distance. Nous avons besoin de calme ! Mais au cas où la liaison radio devenait impossible, nous utiliseront une fusée rouge en cas de d'urgence... Et si nous n'avons plus besoin de votre soutien, une verte pour vous signaler de repartir... Capitaine, vous seriez galant de me déposer au plus près…" Zelda lui sourit.
Puis elle récupéra son matériel, un fusil, des munitions et deux grenades... Vous êtes prêt les garçons ?
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."