2014-08-12, 09:22 PM
Le jeune lieutenant revient vers eux après avoir pris ses ordres.
Il les guida vers la nacelle du dirigeable qui dansait légèrement dans le vent, les aidant à monter à bord, pendant que Spoutkin* accompagnait monsieur Hicks afin de garder le prisonnier.
L'intérieur du dirigeable était dépouillé, en gris et blanc : gris pour les meubles et les aménagement en bois gris dont les propriétés rappelaient le balsa et blanc pour l'aluminium brossé dont les poutrelles aux structures fractales constituaient le squelette intérieur de la baleine des airs.
Ils passèrent devant les sabords où des mitrailleuses à refroidissement par eau attendaient leur heure, gardées par des servants pour l'heure désœuvrés qui observèrent en silence leur étrange procession.
Ils arrivèrent rapidement au poste de pilotage. la pièce était assez petite, séparée en deux parties. Une estrade surplombait une vaste verrière enjambée par une passerelle de métal où se tenait la roue de cuivre om se tenait le timonier.
Sur l'estrade se tenaient en plus d'eux, deux personnes : un homme dont les favorites grises le disputaient à ses bacantes et d'ont l'œil s'ornaient d'un monocle. Son uniforme et tout point semblable à celui du lieutenant s'ornait de trois médailles de de galons dorés supplémentaires. Il claqua des talons et s'inclina en direction de Zelda : madame, permettez moi de vous souhaiter la bienvenue à bord de mon navire. Dji fit les présentations : commandant De Lipps, je vous présente madame Zonk. L'autre homme présent était un lieutenant qui se tenait assis sur un tabouret au devant d'une radio, casque sur les oreilles, manipulateur à la main ... il salua d'un court mouvement de tête les nouveaux venus, sans pour autant cesser de transmettre.
Le commandant De Lipps donna l'ordre de larguer les amarres. Quelques instants après le dirigeable délesta et s'éleva à nouveau dans les airs, ses moteurs électriques emplissant de leur vrombissement basse fréquence l'habitacle. Le lieutenant se retira un instant, laissant le commandant leur présenter les instruments de navigation : compas à relèvement radio, altimètres, indicateurs électriques des batteries, contrôleur d'assiette à mercure ...
Quelques instant plus tard le lieutenant revint, accompagné par un majordome en livrée blanche qui déplia une table, des tabourets de bois légers, une nappe blanche avant de s'éclipser de nouveau ... il revint quelques instants plus tard avec un plateau en argent sur lequel un service à thé, tasses, soucoupes, théière, et assortiment de petits gâteaux et sandwichs étaient posés. Il mit en un tour de main tout ceci en place, fit le service du "thé", une infusion aromatique dont le parfum beurré et sucré emplit l'air de ses volutes, avant de s'éclipser de nouveau. Le capitaine après avoir donné direction et altitude laissa la manœuvre au lieutenant et s'assit avec eux, alors que Dji était appelé vers la console de communication par l'opérateur radio qui lui confia un casque supplémentaire.
Le capitaine leur fit passer un flacon remplit d'un sirop au parfum d'orgeat dont il fit tomber quelques gouttes dans sa tasse afin d'atténuer l'amertume de son breuvage.
Après avoir gouté et lissé sa moustache de contentement il les interrogea :
Ce n'est pas tous les jours que nous accueillons à notre bord des membres des services secrets de sa majesté. Pouvez vous m'en dire plus sur cette affaire ? un engin volant expérimental détourné par des espions Bulvard, c'est cela ? et ce tir de barrage que nous avons guidé depuis le croiseur au large ... Il m'a semblé voir avant cela plusieurs explosions au sol, mais vous ne disposiez d'aucune pièce d'artillerie ?
[hrp]* en vacances j'espère : je ne te joue pas en PNJ du coup ...[/hrp]
Il les guida vers la nacelle du dirigeable qui dansait légèrement dans le vent, les aidant à monter à bord, pendant que Spoutkin* accompagnait monsieur Hicks afin de garder le prisonnier.
L'intérieur du dirigeable était dépouillé, en gris et blanc : gris pour les meubles et les aménagement en bois gris dont les propriétés rappelaient le balsa et blanc pour l'aluminium brossé dont les poutrelles aux structures fractales constituaient le squelette intérieur de la baleine des airs.
Ils passèrent devant les sabords où des mitrailleuses à refroidissement par eau attendaient leur heure, gardées par des servants pour l'heure désœuvrés qui observèrent en silence leur étrange procession.
Ils arrivèrent rapidement au poste de pilotage. la pièce était assez petite, séparée en deux parties. Une estrade surplombait une vaste verrière enjambée par une passerelle de métal où se tenait la roue de cuivre om se tenait le timonier.
Sur l'estrade se tenaient en plus d'eux, deux personnes : un homme dont les favorites grises le disputaient à ses bacantes et d'ont l'œil s'ornaient d'un monocle. Son uniforme et tout point semblable à celui du lieutenant s'ornait de trois médailles de de galons dorés supplémentaires. Il claqua des talons et s'inclina en direction de Zelda : madame, permettez moi de vous souhaiter la bienvenue à bord de mon navire. Dji fit les présentations : commandant De Lipps, je vous présente madame Zonk. L'autre homme présent était un lieutenant qui se tenait assis sur un tabouret au devant d'une radio, casque sur les oreilles, manipulateur à la main ... il salua d'un court mouvement de tête les nouveaux venus, sans pour autant cesser de transmettre.
Le commandant De Lipps donna l'ordre de larguer les amarres. Quelques instants après le dirigeable délesta et s'éleva à nouveau dans les airs, ses moteurs électriques emplissant de leur vrombissement basse fréquence l'habitacle. Le lieutenant se retira un instant, laissant le commandant leur présenter les instruments de navigation : compas à relèvement radio, altimètres, indicateurs électriques des batteries, contrôleur d'assiette à mercure ...
Quelques instant plus tard le lieutenant revint, accompagné par un majordome en livrée blanche qui déplia une table, des tabourets de bois légers, une nappe blanche avant de s'éclipser de nouveau ... il revint quelques instants plus tard avec un plateau en argent sur lequel un service à thé, tasses, soucoupes, théière, et assortiment de petits gâteaux et sandwichs étaient posés. Il mit en un tour de main tout ceci en place, fit le service du "thé", une infusion aromatique dont le parfum beurré et sucré emplit l'air de ses volutes, avant de s'éclipser de nouveau. Le capitaine après avoir donné direction et altitude laissa la manœuvre au lieutenant et s'assit avec eux, alors que Dji était appelé vers la console de communication par l'opérateur radio qui lui confia un casque supplémentaire.
Le capitaine leur fit passer un flacon remplit d'un sirop au parfum d'orgeat dont il fit tomber quelques gouttes dans sa tasse afin d'atténuer l'amertume de son breuvage.
Après avoir gouté et lissé sa moustache de contentement il les interrogea :
Ce n'est pas tous les jours que nous accueillons à notre bord des membres des services secrets de sa majesté. Pouvez vous m'en dire plus sur cette affaire ? un engin volant expérimental détourné par des espions Bulvard, c'est cela ? et ce tir de barrage que nous avons guidé depuis le croiseur au large ... Il m'a semblé voir avant cela plusieurs explosions au sol, mais vous ne disposiez d'aucune pièce d'artillerie ?
[hrp]* en vacances j'espère : je ne te joue pas en PNJ du coup ...[/hrp]