2014-07-09, 09:10 PM
Jim sauta donc prestement, s’écartant de quelques pas de la vapocar des secrétaires de l’ombre.
Il s’agenouilla dans un creux de la route digue, épaula le lance missile, posant son doigt sur la détente numérique, laissant les capteurs passifs de l’arme renifler l’air. L’arme bascula en mode sol-air, comprenant les intentions de son porteur.
…
Zelda courrait, ses pieds battaient le sol, éclaboussant ses bottes de boue. Elle zigzagua, évitant l’essieu arrière, sautant d’un bond au dessus d’un élément de bois de la carrosserie qui achevait de se consumer.
La vapocar à six roues s’ébranla, ses roues crantées mordirent dans la terre tassée de la digue pour contourner l’épave.
Mais Zelda s’en fichait : Elle se tirait, courait, tirait encore, laissant le laser dessiner des cercles de feu dans la carrosserie, laissant l’adrénaline chanter dans ses veines, le sang battre à ses tempes.
Vivante un jour, morte demain. Va ou tu veux. Meurs ou tu peux.
…
Spoutkin avait dans sa ligne de tir la commandante. Il décala son angle de visée de quelques degrés, pointant son arme dans la direction de la cabine de pilotage et s’efforça de faire un tir de couverture.
Cela fonctionna. Trop peut être.
Un tir en retour manqua de l’atteindre, lui faisant s’aplatir encore un peu plus sans le terrain glaiseux.
…
A travers les vagues de douleur brulante, Dom vit la vapocar qui venait vers eux, l’arme jetée par Théo atterrir non loin de lui. Il put la saisir de sa main valide, serrant la crosse de sa main tremblante. Il se concentra, faisant sauter du pouce la sureté, notant avec satisfaction que l’arme était à pleine charge.
…
Théo rampait vers le mécanicien, tout en gardant son attention fixée sur l’eau. Il tourna la tête vers Bruhuk qui avait posé sa main sur l’endroit ou sa chair avait été transpercée par la lumière cohérente. Ca faisait un mal de chien et ça fumait encore un peu.
Le ballik cligna des yeux pour se débarrasser des larmes qui obscurcissaient sa vision. Hé ? ! C’était quoi ça ? Derrière un tronc d’arbre flottant dans les eaux saumâtres à une trentaine de mètre d’eux il lui avait semblé percevoir un mouvement. Il se concentra et au bout d’une poignée de secondes perçu de nouveau un mouvement … Comme si l’écorce du tronc d’arbre bougeait imperceptiblement.
…
Alors que son communico crachotait un « négatif, négatif, aucune navette ne vous a été envoyée » Zelda se saisit de son poignard et bondit dans l’habitacle de la vapocar.
…
Une envolée de lézards volants fut la seule annonce de la brusque arrivée de navette antigrav blindée. Elle survola avec un bang supersonique la route digue, déchirant les tympans, son déplacement d’air arrachant les toits des cahutes de pèche, couchant les arbres morts, créant une vague dans la mangrove, arrachant au tireur d’élite couché sur son arbre sa couverture mimétique.
Le laser lourd de l’engin à la coque noir de jais cracha la mort, arrosant les alentours de l’épave de ses tirs.
[hrp]A toi Jim pour le tir sur la navette : 4d6 +1 sous habileté + arme lourde[/hrp]
…
Bruhuk vit distinctement ce qui se cachait sur le tronc : un homme à demi couché qui tenait un fusil de précision pointé dans leur direction à Dom, Théo et à lui …
…
Zelda n’avait cure de ce qui se passait dehors. Elle avait fort à faire. Défendre sa vie par exemple.
L’intérieur du carrosse n’était que chaos. Couché sur le flanc, transpercé par leurs tirs de laser, un cadavre était empalé sur un des tubes du châssis. Mais ce n’était pas ça qui retenait son attention.
Un homme se dressait devant elle, visiblement dérangé dans sa tache : une mallette ouverte ses pieds contenant les composantes d’une armure énergétique qu’il avait déjà à demi enfilé, plastron émetteur, épaulette gauss, synthétiseur … Il s’arrêta, tenant une jambière d’une main, pointant son arme de poing de l’autre en direction de la femme qui bondissait vers lui.
[hrp]Combat contact + habileté sous 4d6 s’il te plait Zelda ?[/hrp]
Il s’agenouilla dans un creux de la route digue, épaula le lance missile, posant son doigt sur la détente numérique, laissant les capteurs passifs de l’arme renifler l’air. L’arme bascula en mode sol-air, comprenant les intentions de son porteur.
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Zelda courrait, ses pieds battaient le sol, éclaboussant ses bottes de boue. Elle zigzagua, évitant l’essieu arrière, sautant d’un bond au dessus d’un élément de bois de la carrosserie qui achevait de se consumer.
La vapocar à six roues s’ébranla, ses roues crantées mordirent dans la terre tassée de la digue pour contourner l’épave.
Mais Zelda s’en fichait : Elle se tirait, courait, tirait encore, laissant le laser dessiner des cercles de feu dans la carrosserie, laissant l’adrénaline chanter dans ses veines, le sang battre à ses tempes.
Vivante un jour, morte demain. Va ou tu veux. Meurs ou tu peux.
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Spoutkin avait dans sa ligne de tir la commandante. Il décala son angle de visée de quelques degrés, pointant son arme dans la direction de la cabine de pilotage et s’efforça de faire un tir de couverture.
Cela fonctionna. Trop peut être.
Un tir en retour manqua de l’atteindre, lui faisant s’aplatir encore un peu plus sans le terrain glaiseux.
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A travers les vagues de douleur brulante, Dom vit la vapocar qui venait vers eux, l’arme jetée par Théo atterrir non loin de lui. Il put la saisir de sa main valide, serrant la crosse de sa main tremblante. Il se concentra, faisant sauter du pouce la sureté, notant avec satisfaction que l’arme était à pleine charge.
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Théo rampait vers le mécanicien, tout en gardant son attention fixée sur l’eau. Il tourna la tête vers Bruhuk qui avait posé sa main sur l’endroit ou sa chair avait été transpercée par la lumière cohérente. Ca faisait un mal de chien et ça fumait encore un peu.
Le ballik cligna des yeux pour se débarrasser des larmes qui obscurcissaient sa vision. Hé ? ! C’était quoi ça ? Derrière un tronc d’arbre flottant dans les eaux saumâtres à une trentaine de mètre d’eux il lui avait semblé percevoir un mouvement. Il se concentra et au bout d’une poignée de secondes perçu de nouveau un mouvement … Comme si l’écorce du tronc d’arbre bougeait imperceptiblement.
…
Alors que son communico crachotait un « négatif, négatif, aucune navette ne vous a été envoyée » Zelda se saisit de son poignard et bondit dans l’habitacle de la vapocar.
…
Une envolée de lézards volants fut la seule annonce de la brusque arrivée de navette antigrav blindée. Elle survola avec un bang supersonique la route digue, déchirant les tympans, son déplacement d’air arrachant les toits des cahutes de pèche, couchant les arbres morts, créant une vague dans la mangrove, arrachant au tireur d’élite couché sur son arbre sa couverture mimétique.
Le laser lourd de l’engin à la coque noir de jais cracha la mort, arrosant les alentours de l’épave de ses tirs.
[hrp]A toi Jim pour le tir sur la navette : 4d6 +1 sous habileté + arme lourde[/hrp]
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Bruhuk vit distinctement ce qui se cachait sur le tronc : un homme à demi couché qui tenait un fusil de précision pointé dans leur direction à Dom, Théo et à lui …
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Zelda n’avait cure de ce qui se passait dehors. Elle avait fort à faire. Défendre sa vie par exemple.
L’intérieur du carrosse n’était que chaos. Couché sur le flanc, transpercé par leurs tirs de laser, un cadavre était empalé sur un des tubes du châssis. Mais ce n’était pas ça qui retenait son attention.
Un homme se dressait devant elle, visiblement dérangé dans sa tache : une mallette ouverte ses pieds contenant les composantes d’une armure énergétique qu’il avait déjà à demi enfilé, plastron émetteur, épaulette gauss, synthétiseur … Il s’arrêta, tenant une jambière d’une main, pointant son arme de poing de l’autre en direction de la femme qui bondissait vers lui.
[hrp]Combat contact + habileté sous 4d6 s’il te plait Zelda ?[/hrp]