2009-01-02, 10:12 PM
[Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ..... Bang ? Eh bien non, pas bang !!!]
Sémirande regarda un long moment la Prêtresse dans les yeux. Les témoins de la scène, heureusement peu nombreux, crurent un instant que ça allait chauffer. Le visage de Conzuella Delgado était gris, ce qui sur une peau blanche aurait été livide ; Sémirande était encore plus noire que d'habitude, la même peau blanche eut été empourprée. Les trois hommes qui connaissaient leur ex-commandante savaient qu'elle sortait rarement sans ... tiens, elle avait trois de ses quatre karatapoignes ! Et la Prêtresse ne devait pas être trop manche non plus.
Puis il y eut le miracle Orkalys.
Sémirande regarda encore une seconde Conzuella Delgado dans les yeux, puis tourna le regard vers le soldat. "Avec ... plaisi ... plaisir, monsieur." Elle avait prononcé le dernier mot lentement, en s'appliquant, comme pour ne pas trébucher dessus. Ils partirent. Cela dit, elle donna ensuite l'impression de prendre énormément sur elle pour supporter le contact physique avec un de ces mâles qu'elle affectionnait si peu en tant que genre, sinon comme individu.
La Prêtresse eût un sourire sarcastique, se tourna vers les deux hommes (rappel : monsieur Daykard est un peu plus loin, prêt à atomiser l'élite de Tréflia
). "Ohhhhh ! Mais chacun est libre du choix de ses amis, Prêtre. Mais quand à la rédemption, messieurs, j'aime à penser que les occupants du Clarisse y auraient eu accès aussi, si on ne les avait pas transformé en radiations, nobles il est vrai. De même pour les ouvriers qui ont été ensevelis dans la centrale thermique, les civils brûlés au sol ou les élèves pilotes écrabouillés dans leur chasseurs désemparés. Quand à son sobriquet ... je vous souhaite bien du plaisir pour l'en débarrasser.
Je vois revois demain matin à votre vaisseau, monsieur Jdryk'll." Elle partit sans un mot de plus.
Sémirande regarda un long moment la Prêtresse dans les yeux. Les témoins de la scène, heureusement peu nombreux, crurent un instant que ça allait chauffer. Le visage de Conzuella Delgado était gris, ce qui sur une peau blanche aurait été livide ; Sémirande était encore plus noire que d'habitude, la même peau blanche eut été empourprée. Les trois hommes qui connaissaient leur ex-commandante savaient qu'elle sortait rarement sans ... tiens, elle avait trois de ses quatre karatapoignes ! Et la Prêtresse ne devait pas être trop manche non plus.
Puis il y eut le miracle Orkalys.
Khaadaric dit Bourre-Pif Wrote:"et ben, on peut pas dire que cette sauterie vous réussi à tous la !!! matez un peu vos tronches !!! bon qui à un soucis que je lui colle un bourre pif ?
Sémi ? on danse? ça sent mauvais ici, j'aimerais juste une fois que tu m'accordes quelques pas, ça nous fera du bien. allez promis, je vais faire un effort pour ne pas te marcher sur les pieds. Les autres, vous êtes de la partie ?
"
Sémirande regarda encore une seconde Conzuella Delgado dans les yeux, puis tourna le regard vers le soldat. "Avec ... plaisi ... plaisir, monsieur." Elle avait prononcé le dernier mot lentement, en s'appliquant, comme pour ne pas trébucher dessus. Ils partirent. Cela dit, elle donna ensuite l'impression de prendre énormément sur elle pour supporter le contact physique avec un de ces mâles qu'elle affectionnait si peu en tant que genre, sinon comme individu.
La Prêtresse eût un sourire sarcastique, se tourna vers les deux hommes (rappel : monsieur Daykard est un peu plus loin, prêt à atomiser l'élite de Tréflia
). "Ohhhhh ! Mais chacun est libre du choix de ses amis, Prêtre. Mais quand à la rédemption, messieurs, j'aime à penser que les occupants du Clarisse y auraient eu accès aussi, si on ne les avait pas transformé en radiations, nobles il est vrai. De même pour les ouvriers qui ont été ensevelis dans la centrale thermique, les civils brûlés au sol ou les élèves pilotes écrabouillés dans leur chasseurs désemparés. Quand à son sobriquet ... je vous souhaite bien du plaisir pour l'en débarrasser. Je vois revois demain matin à votre vaisseau, monsieur Jdryk'll." Elle partit sans un mot de plus.