2014-05-27, 05:09 PM
La décision prise Zelda piqua des deux la monture de son imagination, entrainant à sa suite la petite troupe en direction des docks selon le chemin le plus court.
Ils zigzaguèrent entre les cheminées, certaines massives en maçonneries, d’autres de simples tuyaux de fonte surmontés par des chapeaux conique de zinc.
Hors de souffle ils arrivèrent sur le bord du toit donnant sur la rue où le signal avait brusquement changé de trajectoire.
Leur arrivée provoqua l’envol de curieux reptiles volants qui étaient assemblés dans une gouttière autour d’une charogne de poisson. Les petits animaux sifflèrent de manière menaçante alors qu’ils s’éloignaient en cercle dans le ciel, brassant de leurs ailes de cuir l’air matinal.
A neuf mètres en contrebas une large rue s’offrait à leur regard, une rue typique dans laquelle se croisaient, se dépassaient, se doublaient, vapocars, chariots, tombereaux et diligences.
Sur les trottoirs se mêlaient une foule chamarrée de marins en uniforme, de marchands en redingotes, d’ouvriers, de vendeurs de rue, d’hommes sandwich portant réclames, de gamins des rues et de mendiants éclopés dont la veste à la manche cousue arborait les médailles de guerres oubliées.
Nulle trace de la vapocar rouge.
En face d’eux se trouvait l’escalier étroit qui descendait à flanc de falaise jusqu’aux docks en boucles successives. A chaque virage une cahute ou une masure s’accrochait, des habitations plutôt pouilleuses, faites de bric et de broc, de bois récupéré, de planches flottées, peintes de couleur vives pour cacher la misère.
[hrp]Un petit jet de perception sous 4d6 pour tous ceux qui sont sur le toit ? Si vous pensez pouvoir avoir des mods, faites moi en part et si vous avez d’autres idées n’hésitez pas.[/hrp]
Il ne serait pas difficile de descendre : une échelle de fer rouillée descendait jusqu’à la cours intérieure trois étage plus bas, de là faire un sprint jusqu’à l’escalier donnant sur les docks serait un jeu d’enfants.
Ils zigzaguèrent entre les cheminées, certaines massives en maçonneries, d’autres de simples tuyaux de fonte surmontés par des chapeaux conique de zinc.
Hors de souffle ils arrivèrent sur le bord du toit donnant sur la rue où le signal avait brusquement changé de trajectoire.
Leur arrivée provoqua l’envol de curieux reptiles volants qui étaient assemblés dans une gouttière autour d’une charogne de poisson. Les petits animaux sifflèrent de manière menaçante alors qu’ils s’éloignaient en cercle dans le ciel, brassant de leurs ailes de cuir l’air matinal.
A neuf mètres en contrebas une large rue s’offrait à leur regard, une rue typique dans laquelle se croisaient, se dépassaient, se doublaient, vapocars, chariots, tombereaux et diligences.
Sur les trottoirs se mêlaient une foule chamarrée de marins en uniforme, de marchands en redingotes, d’ouvriers, de vendeurs de rue, d’hommes sandwich portant réclames, de gamins des rues et de mendiants éclopés dont la veste à la manche cousue arborait les médailles de guerres oubliées.
Nulle trace de la vapocar rouge.
En face d’eux se trouvait l’escalier étroit qui descendait à flanc de falaise jusqu’aux docks en boucles successives. A chaque virage une cahute ou une masure s’accrochait, des habitations plutôt pouilleuses, faites de bric et de broc, de bois récupéré, de planches flottées, peintes de couleur vives pour cacher la misère.
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Il ne serait pas difficile de descendre : une échelle de fer rouillée descendait jusqu’à la cours intérieure trois étage plus bas, de là faire un sprint jusqu’à l’escalier donnant sur les docks serait un jeu d’enfants.