2014-05-08, 03:15 PM
Les larges narines de Bruhuk captèrent l’odeur avant que quiconque ne vit quoi que ce soit.
Disons le, là où Théo percevait l’odeur de la fumée de charbon de bois, celle du brouet, un peu de l’iode de la brise marine et surtout la puanteur des fientes de zulbims pour l’heure pas encore ramassées (cela se faisait de nuit), Bruhuk dressait un véritable panorama mental des effluves qui l’entouraient.
La femme qui les servait dégageait une odeur acre de sueur rancie, avec un contrepoint d’essence rappelant la violette, de vielle laine dont la teinture naturelle, il l’aurait parié, devait être d’origine marine. Tout autour de lui les odeurs avaient leurs spécificités, leur signature, qui titillait son cerveau.
Il se retourna en percevant une odeur de fumée inhabituelle, de bois, alors qu’une automobile à vapeur de couleur rouge passait devant lui, lui dérobant brièvement la vue de la rue … le véhicule passé il put voir de l’autre coté de la rue, à une vingtaine de mètre du magasin où Zelda était en train de terminer ses emplettes avec l’aide de Dji * une carriole à demi bâchée, qui semblait transporter du bois d’œuvre destiné à un chantier de rénovation en cours devant laquelle il était garé.
Le chariot laissait échapper de sous sa bâche un léger filet de fumée, qui pour l’heure semblait être passé inaperçu, sauf aux deux zulbims encore harnachés qui s’agitaient nerveusement.
…
Pendant ce temps Jim s’était réveillé dans la calèche qui attendait devant le magasin. Il jeta un coup d’œil aux fenêtres et s’il fût incapable de voir Zelda qui faisait ses courses, une fois la voiture à vapeur rouge passée il vit de l’autre coté de la rue Théo et Bruhuk, qui stationnaient bol de brouet à la main devant le stand d’une marchande ambulante. Le Ballik regardait fixement quelque-chose se situant derrière son véhicule.
[hrp]*[bande son : la musique de pretty Woman][/hrp]
Disons le, là où Théo percevait l’odeur de la fumée de charbon de bois, celle du brouet, un peu de l’iode de la brise marine et surtout la puanteur des fientes de zulbims pour l’heure pas encore ramassées (cela se faisait de nuit), Bruhuk dressait un véritable panorama mental des effluves qui l’entouraient.
La femme qui les servait dégageait une odeur acre de sueur rancie, avec un contrepoint d’essence rappelant la violette, de vielle laine dont la teinture naturelle, il l’aurait parié, devait être d’origine marine. Tout autour de lui les odeurs avaient leurs spécificités, leur signature, qui titillait son cerveau.
Il se retourna en percevant une odeur de fumée inhabituelle, de bois, alors qu’une automobile à vapeur de couleur rouge passait devant lui, lui dérobant brièvement la vue de la rue … le véhicule passé il put voir de l’autre coté de la rue, à une vingtaine de mètre du magasin où Zelda était en train de terminer ses emplettes avec l’aide de Dji * une carriole à demi bâchée, qui semblait transporter du bois d’œuvre destiné à un chantier de rénovation en cours devant laquelle il était garé.
Le chariot laissait échapper de sous sa bâche un léger filet de fumée, qui pour l’heure semblait être passé inaperçu, sauf aux deux zulbims encore harnachés qui s’agitaient nerveusement.
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Pendant ce temps Jim s’était réveillé dans la calèche qui attendait devant le magasin. Il jeta un coup d’œil aux fenêtres et s’il fût incapable de voir Zelda qui faisait ses courses, une fois la voiture à vapeur rouge passée il vit de l’autre coté de la rue Théo et Bruhuk, qui stationnaient bol de brouet à la main devant le stand d’une marchande ambulante. Le Ballik regardait fixement quelque-chose se situant derrière son véhicule.
[hrp]*[bande son : la musique de pretty Woman][/hrp]