2014-03-23, 08:56 PM
Kirian se leva. Ok ! C’est légitime. Passons dans mon bureau.
Bran alla rejoindre sa fille qui entreprit de lui montrer les coquillages qu’elle avait trouvée … Tout en continuant de faire un concours de grimaces qaund son père ne la regardait pas avec Jim.
Kirian les guida, bientôt suivit de Bran qui dut promettre de bientôt rejoindre fille et femme sur la plage.
Ils se dirigèrent vers l’intérieur de la demeure. Celle-ci était semi troglodyte, et visiblement les couloirs s’enfonçaient profondément à l’intérieur du rocher.
Kirian précisa tout en empruntant un tube de descente que les roches, substrats minimaux divers provenaient de météores et astéroïdes exploité initialement pour leurs métaux et que l’on recyclait pour la terra formation des ilots orbitaux.
Ils arrivèrent rapidement à son « bureau ».
Il s’agissait d’une pièce située juste en dessous de la demeure, dont la grande baie vitrée s’ouvrait à six mêtres de profondeur dans le lagon. De vastes canapés à massants couvraient deux des murs, le troisième était occupé par un bureau antigrav, un plaque de verre holographique noire qui flottait dans les airs. Kirian se cala dans son siège. Il tapota sur le bureau.
La porte se referma et la verrière s’obscurcie, faisant disparaître le spectacle des récifs de coraux ou papillonnaient des essaims des poissons arc en ciel. Un étrange bourdonnement se fit entendre pour ceux qui disposaient d’implants. Sans le moindre doute il y avait un dispositif de brouillage à l’œuvre.
Il y a trois ans nous avions rendez-vous en espace profond avec un navire pour … « une transaction ». Pas grand-chose d’illégal, mais ça nous permettait d’éviter quelques droits de douane.
Il ne s’est jamais pointé. Pour la petite histoire il s’était fait arraisonné par des pirates … Mais ça n’a rien à voir avec le reste de l’histoire.
Nous poireautons donc, tous feux éteints, moteurs au mini. Un jour, deux jours … Chacun s’occupe comme il peut : on en profite pour faire de la maintenance, de l’exercice, de la cuisine … Jimmy lui aimait écouter de la grande musique : il se collait à la passerelle et utilisait le système de com dernier cri qu’il s’était fait installer pour se passer des opéras primans, des concertos Pamashas … et pour se reposer il écoutait l’espace, l’observait.
Quelle était la probabilité pour qu’il repère ce navire ? Aucune, ou quasiment aucune. A moins d’une année lumière il finit par repérer un objet « bizarre ».
N’importe qui vu la masse et l’abesto aurait pensé qu’il s’agissait d’un astéroïde métallique … Mais Jimmy a trouvé ce truc « Bizarre ».
On en a discuté par la suite, mais d’après Jim c’était une intuition, rien de plus.
On a fait un micro saut : c’était bien un navire. Un classe II militaire, un vieux, de l’ancien empire, un briseur de blocus furtif qui se nommait l’Alméras. Coque noire, buvant les ondes comme un kalkmos assoiffé après une longue traversée du désert.
Nous sommes monté à l’intérieur … Ce n’était pas beau à voir. On s’y était battu. La passerelle était détruite, la salle des machines avait été fortifiée, mais n’avait pas tenue.
Les moteurs avaient été endommagés et les émetteurs détruits. Des cadavres partouts, conservés par le vide stellaire. Ce qui s’y était passé ? Une sorte de mutinerie, mais remontant aux dernières heures de l’ancien empire, à la chute de l’empereur l’Empereur Padishah XIV.
Ce qui nous intéressait nous attendait dans la soute : une partie du mobilier et des bagages de l’impératrice Shalia. Une découverte archéologique majeure … Mais pas forcement libre de droits. Nous aurions put réclamer les droits sur cette épave, encore qu’il eut fallut justifier de notre présence … mais nous aurions risqué de voir notre découverte saisie ou acheté à un prix de préemption par l’Institut d’Archéologie Impérial … Bref. Nous avons étouffé l’affaire, avons vidé comme un poisson l’épave et avons mis le cap sur Jonction, puis vers Tortuga.
Bran alla rejoindre sa fille qui entreprit de lui montrer les coquillages qu’elle avait trouvée … Tout en continuant de faire un concours de grimaces qaund son père ne la regardait pas avec Jim.
Kirian les guida, bientôt suivit de Bran qui dut promettre de bientôt rejoindre fille et femme sur la plage.
Ils se dirigèrent vers l’intérieur de la demeure. Celle-ci était semi troglodyte, et visiblement les couloirs s’enfonçaient profondément à l’intérieur du rocher.
Kirian précisa tout en empruntant un tube de descente que les roches, substrats minimaux divers provenaient de météores et astéroïdes exploité initialement pour leurs métaux et que l’on recyclait pour la terra formation des ilots orbitaux.
Ils arrivèrent rapidement à son « bureau ».
Il s’agissait d’une pièce située juste en dessous de la demeure, dont la grande baie vitrée s’ouvrait à six mêtres de profondeur dans le lagon. De vastes canapés à massants couvraient deux des murs, le troisième était occupé par un bureau antigrav, un plaque de verre holographique noire qui flottait dans les airs. Kirian se cala dans son siège. Il tapota sur le bureau.
La porte se referma et la verrière s’obscurcie, faisant disparaître le spectacle des récifs de coraux ou papillonnaient des essaims des poissons arc en ciel. Un étrange bourdonnement se fit entendre pour ceux qui disposaient d’implants. Sans le moindre doute il y avait un dispositif de brouillage à l’œuvre.
Il y a trois ans nous avions rendez-vous en espace profond avec un navire pour … « une transaction ». Pas grand-chose d’illégal, mais ça nous permettait d’éviter quelques droits de douane.
Il ne s’est jamais pointé. Pour la petite histoire il s’était fait arraisonné par des pirates … Mais ça n’a rien à voir avec le reste de l’histoire.
Nous poireautons donc, tous feux éteints, moteurs au mini. Un jour, deux jours … Chacun s’occupe comme il peut : on en profite pour faire de la maintenance, de l’exercice, de la cuisine … Jimmy lui aimait écouter de la grande musique : il se collait à la passerelle et utilisait le système de com dernier cri qu’il s’était fait installer pour se passer des opéras primans, des concertos Pamashas … et pour se reposer il écoutait l’espace, l’observait.
Quelle était la probabilité pour qu’il repère ce navire ? Aucune, ou quasiment aucune. A moins d’une année lumière il finit par repérer un objet « bizarre ».
N’importe qui vu la masse et l’abesto aurait pensé qu’il s’agissait d’un astéroïde métallique … Mais Jimmy a trouvé ce truc « Bizarre ».
On en a discuté par la suite, mais d’après Jim c’était une intuition, rien de plus.
On a fait un micro saut : c’était bien un navire. Un classe II militaire, un vieux, de l’ancien empire, un briseur de blocus furtif qui se nommait l’Alméras. Coque noire, buvant les ondes comme un kalkmos assoiffé après une longue traversée du désert.
Nous sommes monté à l’intérieur … Ce n’était pas beau à voir. On s’y était battu. La passerelle était détruite, la salle des machines avait été fortifiée, mais n’avait pas tenue.
Les moteurs avaient été endommagés et les émetteurs détruits. Des cadavres partouts, conservés par le vide stellaire. Ce qui s’y était passé ? Une sorte de mutinerie, mais remontant aux dernières heures de l’ancien empire, à la chute de l’empereur l’Empereur Padishah XIV.
Ce qui nous intéressait nous attendait dans la soute : une partie du mobilier et des bagages de l’impératrice Shalia. Une découverte archéologique majeure … Mais pas forcement libre de droits. Nous aurions put réclamer les droits sur cette épave, encore qu’il eut fallut justifier de notre présence … mais nous aurions risqué de voir notre découverte saisie ou acheté à un prix de préemption par l’Institut d’Archéologie Impérial … Bref. Nous avons étouffé l’affaire, avons vidé comme un poisson l’épave et avons mis le cap sur Jonction, puis vers Tortuga.