2014-03-12, 10:04 PM
[hrp]Comme je l’avais dit, après la réunion avec Zelda, Oslar était parti avoir sa crise de larme et dormir quelques heures avant l’approche finale pour laquelle on l’a réveillé.[/hrp]
Zelda eut une réponse venant du pont passager, le buste holographique de Léa se matérialisa : Quelle est la durée de l’escale commandante ? Si cela doit durer 24 heures nous aurons la possibilité de faire quelques représentations sur la station. Je peux ouvrir un canal de communication avec les services du bord ?
Le visage de Kirian s’afficha sur l’écran Tri-vi. Il sourit en reconnaissant Zelda. Salut ma belle. Déjà arrivée ? Bran est sur la plage avec sa fille. Le paysage derrière lui était noyé de soleil, le ciel azur et l’on pouvait entendre le ressac en tendant l’oreille. Pas de soucis nous t’attendions. Prends une des navettes automatique une fois les formalités de police et de douane terminées. Tu viens seule ou accompagnée ? Donne-moi les noms des personnes qui t’accompagne que je donne les autorisations d’accès. Il attendit sa réponse, une main féminine hors champs lui passa un verre remplit de glaçons verts et arrosé d’un liquide ambré. Il remercia la personne d’un « merci chérie » …
La demande suivante suscita l’intérêt de Dom : Au fait pour gagner du temps, tu peux me faire envoyer la signature génétique de nos visiteurs ? Pour raison de sécurité …
…
[hrp]Non, pas de tirage de dés pour ça[/hrp]
Théo avait vérifié l’identité de l’ilot orbital entouré de navettes. Celle-ci ne portait pas encore de nom … un simple numéro d’immatriculation de coque temporaire « BS-XXXIV ». Il vérifia : toutes les navettes étaient automatisées.
…
Spoutkin avait levé les « mains » du plot : les commandes avaient été passées à la station. Avec douceur on les guidait vers un vaste hangar où ils seraient seuls ... Il profita du temps libre pour demander un agrandissement : BS-XXXIV était visiblement en construction. Les agrandissements montraient les navettes en train de se déplacer apportant depuis la station des éléments préfabriqués, qu’ils abandonnaient aux formecs zéroG qui rampaient sur la structure tels des colonnes de fourmis, soudant, assemblant sans relâche.
…
Théo finit par isoler l’ile orbitale nommé Colombine qui se situait non loin de la station, à peine à 6.000 kms.
…
A la salle des machines les mécaniciens suivaient les corrections de trajectoire, les variations du régime moteur. Enfin les moteurs se coupèrent alors qu’ils étaient guidés dans le hangar par le grappin magnétique de la station … ils entrèrent au pas dans le vaste hangar qui aurait put accueillir un classe III sans difficulté.
Sans à coup ils se posèrent dans le berceau de force alors que les vantaux blindés se refermaient et que l’atmosphère emplissait la pièce.
Ils notèrent qu’ils étaient passés sur l’alimentation de la station : ils pouvaient éteindre les varlets. C’était même conseillé.
…
Songe d’Aran de Contrôle Angmar, merci de votre coopération. Veuillez rester à bord, de couper vos moteurs et d’attendre l’inspection. Contrôle terminé.
Trois minutes plus tard une porte latérale du hangar s’ouvrait sur un véhicule à six roues à effet magnétique. C’était une sorte de camionnette utilitaire NT4 utilisable dans tous les milieux y compris en absence de gravité. Le véhicule s’arréta et en descendit sur une femme en uniforme de la station, assisté d’un logimec légamax dont la livrée blanche et bleu était visible à son épaule. Elle se présenta comme le prévôt Mc Alister, montra sa plaque d’identification à la caméra et monta à bord après qu’on l’y eu autorisée.
Elle se rendit directement à la passerelle. Bonjour commandante, messieurs. Pouvez-vous rassembler l’ensemble de l’équipage s’il vous plait ? Je verrais vos passagers dans un second temps.
Elle s’assit à un coin de bureau et vérifia les papiers, certificats de vol et attestation de bonne santé de chacun. Elle tendait chacun des documents qui lui était transmis à son logimec d’épaule qui scannait, validait et enregistrait ceux-ci, émettant un gloussement électronique de satisfaction une fois que c’était fait.
Elle les interrogea sur l’objet de leur visite, les informa succinctement des règles de sécurité du bord.
La station appartenait à l’Empire et était conjointement gérée par la loge techno et la hanse qui exploitait les gaz rares de la géante gazeuse via une compagnie crée pour l’occasion la BEJV. L’essentiel des installations étaient automatisées et il n’y avait qu’un millier de personnes à bord, ce qui suffisait largement à l’entretien et à la construction des plateformes de collecte. Le système était sous la protection de l’armée qui disposait d’un classe IV et d’un nombre de chasseurs non déterminé pour ce faire.
Bilbo comme on le leur avait dit était « hors limite ». Toute autorisation de débarquer à Bilbo était soumise à l’agrément préalable du représentant du Bureau des Affaires Indigènes du bord.
Les armes étaient interdites à bord, les importations de drogues et d’un certains nombres d’objets étaient interdites ou soumises à rêglementation. Oui, il était possible de se rendre sur certains des ilots spatiaux. Il y en avait un réservé aux loisirs des membres de la BEJV et un autre réservé aux manœuvres de l’Armée. Il était possible d’acheter des places à la journée pour les voyageurs pour se rendre à l’Ilot de la BEJV. Oui, les autres Ilots étaient privés, on devait bénéficier d’une invitation pour s’y rendre, mais il fallait impérativement utiliser les navettes automatisées mises à disposition gratuitement par la compagnie. A leur interrogation éventuelle elle répondit qu’un des Ilot avait servi avant que l’on mette cette rêgle en place et quand l’accostage direct des varlets ou de leurs annexes était encore autorisés à un trafic d’artéfacts technologiques soumis à taxe. Depuis il fallait passer impérativement par la station d’Angmar pour s’y rendre ou en repartir. Sinon il y avait des espaces de relaxation à bord, un petit hôtel, quelques boutiques …
Elle conclut en leur demandant de bien se tenir, de ne pas faire de vague : il y avait des familles d’ingénieurs de techniciens à bord, ils étaient en dehors des grands axes commerciaux. Bref, profitez gentiment de votre escale, faite le plein d’antimatière, il est vendu au tarif de la guilde Navyborg. Ici c’est une station familiale. Si vous vous comportez correctement, tout se passera bien. Elle leur donna à tous une aiguille de données comportant le plan des parties publiques de la station, les règlements du bord, les services utiles.
Elle leur proposa de les déposer avec son véhicule à la galeria commerciale : ça leur éviterait de devoir attendre. Elle se rendit ensuite dans les quartiers passagers pour la même opération.
Cela fût rapide … Jim qui jetait un coup d’œil aux circuits de surveillance interne put assister à une scène cocasse : il fallut présenter un à un les néo-caniches au logimec légamax pour qu’il les enregistre et cela mobilisa l’ensemble de la troupe du cirque à l’exception de monsieur Minsk qui refusa de ramper sous les meubles pour capturer les chiots rétifs.
Enfin, tous ceux qui le voulaient purent se retrouver dans le véhicule du prévôt. Le trajet fut assez court : quinze minutes et deux tubes de monté plus tard elle les déposa à la galeria commerciale. Toute la troupe du cirque s’était jointe à l’expédition. Monsieur Nokobe transportait ses compagnons à quatre pattes dans une cage matelassée d’où s’échappait moult jappements et aboiements.
La galéria, un espace circulaire assez sombre, de taille réduite par rapport au reste de la station s’offrait à eux. Il y avait la une quinzaine de boutiques. Alimentation, vêtements, supermarket général …rien de bien luxueux, mais l’essentiel était là.
[hrp]Et maintenant que faites vous ?[/hrp]
Zelda Zonk Wrote:"Chers passagers, notre bâtiment est en phase d'approche. L'appontage est prévu d'ici une petite heure... Profitez du spectacle ! Si vous souhaitez passer une réservation d'hôtel pour le temps de l'escale, un restaurant, un spectacle, une activité culturelle ou sportive, n'hésitez pas à télécharger le guide mis à votre disposition par l'office de tourisme. Pour des raisons administratives et douanières, je tiens à vous rappeler que les hibernateurs ne peuvent être ni débarqués, ni activés pendant notre séjour. Je vous souhaite une bonne journée à tous..."
Zelda eut une réponse venant du pont passager, le buste holographique de Léa se matérialisa : Quelle est la durée de l’escale commandante ? Si cela doit durer 24 heures nous aurons la possibilité de faire quelques représentations sur la station. Je peux ouvrir un canal de communication avec les services du bord ?
Zelda Zonk Wrote:"Bonjour les amis, c'est Zelda... Je suis en approche avec le Songe d'Aran... Je serai là d'ici une bonne heure et demi... A bientôt !"
Le visage de Kirian s’afficha sur l’écran Tri-vi. Il sourit en reconnaissant Zelda. Salut ma belle. Déjà arrivée ? Bran est sur la plage avec sa fille. Le paysage derrière lui était noyé de soleil, le ciel azur et l’on pouvait entendre le ressac en tendant l’oreille. Pas de soucis nous t’attendions. Prends une des navettes automatique une fois les formalités de police et de douane terminées. Tu viens seule ou accompagnée ? Donne-moi les noms des personnes qui t’accompagne que je donne les autorisations d’accès. Il attendit sa réponse, une main féminine hors champs lui passa un verre remplit de glaçons verts et arrosé d’un liquide ambré. Il remercia la personne d’un « merci chérie » …
La demande suivante suscita l’intérêt de Dom : Au fait pour gagner du temps, tu peux me faire envoyer la signature génétique de nos visiteurs ? Pour raison de sécurité …
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[hrp]Non, pas de tirage de dés pour ça[/hrp]
Théo avait vérifié l’identité de l’ilot orbital entouré de navettes. Celle-ci ne portait pas encore de nom … un simple numéro d’immatriculation de coque temporaire « BS-XXXIV ». Il vérifia : toutes les navettes étaient automatisées.
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Spoutkin avait levé les « mains » du plot : les commandes avaient été passées à la station. Avec douceur on les guidait vers un vaste hangar où ils seraient seuls ... Il profita du temps libre pour demander un agrandissement : BS-XXXIV était visiblement en construction. Les agrandissements montraient les navettes en train de se déplacer apportant depuis la station des éléments préfabriqués, qu’ils abandonnaient aux formecs zéroG qui rampaient sur la structure tels des colonnes de fourmis, soudant, assemblant sans relâche.
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Théo finit par isoler l’ile orbitale nommé Colombine qui se situait non loin de la station, à peine à 6.000 kms.
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A la salle des machines les mécaniciens suivaient les corrections de trajectoire, les variations du régime moteur. Enfin les moteurs se coupèrent alors qu’ils étaient guidés dans le hangar par le grappin magnétique de la station … ils entrèrent au pas dans le vaste hangar qui aurait put accueillir un classe III sans difficulté.
Sans à coup ils se posèrent dans le berceau de force alors que les vantaux blindés se refermaient et que l’atmosphère emplissait la pièce.
Ils notèrent qu’ils étaient passés sur l’alimentation de la station : ils pouvaient éteindre les varlets. C’était même conseillé.
…
Songe d’Aran de Contrôle Angmar, merci de votre coopération. Veuillez rester à bord, de couper vos moteurs et d’attendre l’inspection. Contrôle terminé.
Trois minutes plus tard une porte latérale du hangar s’ouvrait sur un véhicule à six roues à effet magnétique. C’était une sorte de camionnette utilitaire NT4 utilisable dans tous les milieux y compris en absence de gravité. Le véhicule s’arréta et en descendit sur une femme en uniforme de la station, assisté d’un logimec légamax dont la livrée blanche et bleu était visible à son épaule. Elle se présenta comme le prévôt Mc Alister, montra sa plaque d’identification à la caméra et monta à bord après qu’on l’y eu autorisée.
Elle se rendit directement à la passerelle. Bonjour commandante, messieurs. Pouvez-vous rassembler l’ensemble de l’équipage s’il vous plait ? Je verrais vos passagers dans un second temps.
Elle s’assit à un coin de bureau et vérifia les papiers, certificats de vol et attestation de bonne santé de chacun. Elle tendait chacun des documents qui lui était transmis à son logimec d’épaule qui scannait, validait et enregistrait ceux-ci, émettant un gloussement électronique de satisfaction une fois que c’était fait.
Elle les interrogea sur l’objet de leur visite, les informa succinctement des règles de sécurité du bord.
La station appartenait à l’Empire et était conjointement gérée par la loge techno et la hanse qui exploitait les gaz rares de la géante gazeuse via une compagnie crée pour l’occasion la BEJV. L’essentiel des installations étaient automatisées et il n’y avait qu’un millier de personnes à bord, ce qui suffisait largement à l’entretien et à la construction des plateformes de collecte. Le système était sous la protection de l’armée qui disposait d’un classe IV et d’un nombre de chasseurs non déterminé pour ce faire.
Bilbo comme on le leur avait dit était « hors limite ». Toute autorisation de débarquer à Bilbo était soumise à l’agrément préalable du représentant du Bureau des Affaires Indigènes du bord.
Les armes étaient interdites à bord, les importations de drogues et d’un certains nombres d’objets étaient interdites ou soumises à rêglementation. Oui, il était possible de se rendre sur certains des ilots spatiaux. Il y en avait un réservé aux loisirs des membres de la BEJV et un autre réservé aux manœuvres de l’Armée. Il était possible d’acheter des places à la journée pour les voyageurs pour se rendre à l’Ilot de la BEJV. Oui, les autres Ilots étaient privés, on devait bénéficier d’une invitation pour s’y rendre, mais il fallait impérativement utiliser les navettes automatisées mises à disposition gratuitement par la compagnie. A leur interrogation éventuelle elle répondit qu’un des Ilot avait servi avant que l’on mette cette rêgle en place et quand l’accostage direct des varlets ou de leurs annexes était encore autorisés à un trafic d’artéfacts technologiques soumis à taxe. Depuis il fallait passer impérativement par la station d’Angmar pour s’y rendre ou en repartir. Sinon il y avait des espaces de relaxation à bord, un petit hôtel, quelques boutiques …
Elle conclut en leur demandant de bien se tenir, de ne pas faire de vague : il y avait des familles d’ingénieurs de techniciens à bord, ils étaient en dehors des grands axes commerciaux. Bref, profitez gentiment de votre escale, faite le plein d’antimatière, il est vendu au tarif de la guilde Navyborg. Ici c’est une station familiale. Si vous vous comportez correctement, tout se passera bien. Elle leur donna à tous une aiguille de données comportant le plan des parties publiques de la station, les règlements du bord, les services utiles.
Elle leur proposa de les déposer avec son véhicule à la galeria commerciale : ça leur éviterait de devoir attendre. Elle se rendit ensuite dans les quartiers passagers pour la même opération.
Cela fût rapide … Jim qui jetait un coup d’œil aux circuits de surveillance interne put assister à une scène cocasse : il fallut présenter un à un les néo-caniches au logimec légamax pour qu’il les enregistre et cela mobilisa l’ensemble de la troupe du cirque à l’exception de monsieur Minsk qui refusa de ramper sous les meubles pour capturer les chiots rétifs.
Enfin, tous ceux qui le voulaient purent se retrouver dans le véhicule du prévôt. Le trajet fut assez court : quinze minutes et deux tubes de monté plus tard elle les déposa à la galeria commerciale. Toute la troupe du cirque s’était jointe à l’expédition. Monsieur Nokobe transportait ses compagnons à quatre pattes dans une cage matelassée d’où s’échappait moult jappements et aboiements.
La galéria, un espace circulaire assez sombre, de taille réduite par rapport au reste de la station s’offrait à eux. Il y avait la une quinzaine de boutiques. Alimentation, vêtements, supermarket général …rien de bien luxueux, mais l’essentiel était là.
[hrp]Et maintenant que faites vous ?[/hrp]