2014-01-30, 07:46 PM
Dom avait passé une semaine stressante : la reconstruction de l'infirmerie lui avait pris relativement peu de temps, tout enjoué qu'il était de retrouver enfin un environnement familier. Il passa donc les jours suivants à jouer avec les outils qu'on avait mis à sa disposition, il s'était désormais bien familiarisé avec les instruments de l'autodoc et l'inventaire de "son" infirmerie.
Néanmoins, lorsque l'ennui se fit sentir, les paroles des policiers résonnèrent une fois de plus dans sa tête et une peur irraisonnée s'empara de lui. Il se plongea une fois de plus dans ses ouvrages de maquillage, de dissimulation d'objets ou de personne et continua de se renseigner sur Jonction, préparant des camouflages sophistiqués pouvant être utilisés là bas en cas d'urgence.
Globalement, il n'émergeait qu'assez peu : on avait peu besoin de lui, ne montrant ni véritable attrait pour la technique, ni une bonne volonté débordante lorsqu'il s'agissait de porter des charges lourdes. Il se montra avec régularité au mess, tâchant d'aider à la cuisine, de rassembler les gens, de faire connaissance. Toujours réservé, malgré son physique d'armoire à glace, il tâcha d'enseigner la bienséance à Bruhuk avec une méthode faite de regards interrogateurs ou bien courroucés. Il parvint finalement à lui glisser le Petit Guide Illustré de la Politesse dans l'espoir de le voir s'améliorer.
Dom essaya également de s'entrainer avec Jim ou quiconque d'autre au combat à mains nues pour conserver quelques réflexes et pour continuer de faire connaissance. Lorsqu'on lui demanda s'il voulait que l'on rachète quelques armes, il demanda un pistofroid et un une vibrolame. Il s'assura à cette occasion d'être pourvu en substances pouvant rapidement être transformées en poisons ou en somnifères et en acheta dans le cas contraire, profitant au passage de sa licence de médecin : médicament ou poison, tout dépend de la dose n'est-ce pas ?
Côté armes toujours, il remisa le pistofroid et son fusil dans l'armurerie mais tint à conserver son paralyseur dans l'infirmerie.
Vous ne savez combien de fois ça m'a sauvé la vie ...
Il garda comme toujours sa karatapoigne sur lui.
Au mess, un jour avant le départ lorsque les discussions sur la destination commencèrent à se faire plus intenses. Dom fit remarquer à Théo :
Euh oui, Bilbo pourquoi pas, mais on ferait pas mieux d'aller chercher la fille de Tybot d'abord ?
Peu de temps avant le départ, Dom revint sur Mandrake et s'acheta, dans une des boutiques de la vieille ville, une fiole du très cher vin d'Arla ainsi qu'une liqueur locale à la forte odeur de pèche, en souvenir dis-t-il alors. Néanmoins tard le soir, si l'on tendait l'oreille, on pouvait entendre le son étouffé d'un violon jouant de longues mélopées mélancoliques.
Néanmoins, lorsque l'ennui se fit sentir, les paroles des policiers résonnèrent une fois de plus dans sa tête et une peur irraisonnée s'empara de lui. Il se plongea une fois de plus dans ses ouvrages de maquillage, de dissimulation d'objets ou de personne et continua de se renseigner sur Jonction, préparant des camouflages sophistiqués pouvant être utilisés là bas en cas d'urgence.
Globalement, il n'émergeait qu'assez peu : on avait peu besoin de lui, ne montrant ni véritable attrait pour la technique, ni une bonne volonté débordante lorsqu'il s'agissait de porter des charges lourdes. Il se montra avec régularité au mess, tâchant d'aider à la cuisine, de rassembler les gens, de faire connaissance. Toujours réservé, malgré son physique d'armoire à glace, il tâcha d'enseigner la bienséance à Bruhuk avec une méthode faite de regards interrogateurs ou bien courroucés. Il parvint finalement à lui glisser le Petit Guide Illustré de la Politesse dans l'espoir de le voir s'améliorer.
Dom essaya également de s'entrainer avec Jim ou quiconque d'autre au combat à mains nues pour conserver quelques réflexes et pour continuer de faire connaissance. Lorsqu'on lui demanda s'il voulait que l'on rachète quelques armes, il demanda un pistofroid et un une vibrolame. Il s'assura à cette occasion d'être pourvu en substances pouvant rapidement être transformées en poisons ou en somnifères et en acheta dans le cas contraire, profitant au passage de sa licence de médecin : médicament ou poison, tout dépend de la dose n'est-ce pas ?
Côté armes toujours, il remisa le pistofroid et son fusil dans l'armurerie mais tint à conserver son paralyseur dans l'infirmerie.
Vous ne savez combien de fois ça m'a sauvé la vie ...
Il garda comme toujours sa karatapoigne sur lui.
Au mess, un jour avant le départ lorsque les discussions sur la destination commencèrent à se faire plus intenses. Dom fit remarquer à Théo :
Euh oui, Bilbo pourquoi pas, mais on ferait pas mieux d'aller chercher la fille de Tybot d'abord ?
Peu de temps avant le départ, Dom revint sur Mandrake et s'acheta, dans une des boutiques de la vieille ville, une fiole du très cher vin d'Arla ainsi qu'une liqueur locale à la forte odeur de pèche, en souvenir dis-t-il alors. Néanmoins tard le soir, si l'on tendait l'oreille, on pouvait entendre le son étouffé d'un violon jouant de longues mélopées mélancoliques.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng