2014-01-17, 11:12 PM
[Jim]
Jim pénétra dans le pavillon par la porte donnant sur le jardin, essayant d’être le plus discret possible et de repérer le « fantôme » avant que ce dernier ne le voit. Il avança pas à pas, un peu surpris que la porte ne se referme pas derrière lui. Visiblement l’intrus avait déconnecté le système de sécurité et la domotique de la maison avant d’y pénétrer.
L’intérieur était parfaitement quelconque. Des meubles en plasti-bois blanc, quelques photographies, une pile de chaussures dans l’entrée, des vêtements laissés en tas sur le dossiers d’un canapé, une table basse antigrav sur laquelle s’empilaient tasses et reliefs de grignotages. Tout était plongé dans une semi-obscurité, les persiennes tirées ne laissant pénétrer la lumière qu’en rayons de lumières faisant danser la poussière dorée.
Il progressa doucement, misant sur son ouïe, plus que sur sa vision. Il y avait du bruit à l’étage. Quelqu’un qui chantonnait, un peu faux. Le chant était d’ailleurs étouffé par le grondement caractéristique d’une douche sonique.
Il était sur le point de monter l’escalier quand un infime tintement lui fit tourner la tête, l’interrompant un pied levé. Il le reposa avec douceur.
La porte d’un placard donnant sur l’entrée principale était ouverte. C’était un vestiaire, rempli de manteaux, de vestes de tailleurs de chapeaux et de foulards. Sur le sol il y avait un sac à main, dont l’on avait renversé le contenu … une silhouette indistincte était agenouillé tout prés, en train de trier les objets.
Jim n’était qu’à cinq mètres … et lui n’était pas invisible.
[hrp]Que fait Jim ? pour mémoire dispose-t-il d’armes, de protections ?[/hrp]
[Zelda et Dom]
Monsieur Tybot accéda aux demandes de Dom. Il s’agissait clairement d’un matériel de récupération. L’on avait cannibalisé des pièces sur d’autres autodocs pour réparer certaines parties, quelques pièces étaient neuves mais il s’agissait le plus souvent de fabrication sous licence. Il avisa le modèle qui lui semblait le plus neuf et se saisit d’aiguille de données, son carnet d’entretien et l’enficha dans sa console.
Il retint à grande difficulté un léger haussement de sourcil. L’engin avait environ 180 ans et avait été au départ fabriqué sur Kolberg, un monde situé à 1300 années lumières de Prima. Il était passé sur une dizaine de navires avant d’atterrir dans cet entrepôt et comptait sans doute aujourd’hui moins de quarante pourcents de pièces d’origine.
Néanmoins … Les tests de bon fonctionnement étaient dans les normes. Le logiciel de soin s’il n’était pas la dernière release, se limitait aux créatures humanoïdes, ne déparait pas de ce qui se faisait à bord de beaucoup de navires marchands.
Il s’intéressa ensuite aux consommables. Ceux-ci, pourtant destinés à se conserver plus d’une centaine d’années, approchaient à trois ans prés de leur date de péremption.
Nous offrons six mois de garantie, retour dans nos ateliers. Nous vous offrons un jeu de consommable suffisant pour une première utilisation. Par contre nous ne l’installons pas et la livraison sera payante. Nos frais de transports sont minimes.
Il se retourna vers Zelda alors que celle-ci ronronnait ses arguments commerciaux.
Madame, nous sommes les moins chers du marché. Si vous trouvez moins cher … achetez le, mais ne l’utilisez pas à moins d’être désespérée.
[hrp]Néanmoins si Zelda nous fait un jet de 4d6 sous charme + marchandage avec son mod de +1 … qui sait[/hrp]
Jim pénétra dans le pavillon par la porte donnant sur le jardin, essayant d’être le plus discret possible et de repérer le « fantôme » avant que ce dernier ne le voit. Il avança pas à pas, un peu surpris que la porte ne se referme pas derrière lui. Visiblement l’intrus avait déconnecté le système de sécurité et la domotique de la maison avant d’y pénétrer.
L’intérieur était parfaitement quelconque. Des meubles en plasti-bois blanc, quelques photographies, une pile de chaussures dans l’entrée, des vêtements laissés en tas sur le dossiers d’un canapé, une table basse antigrav sur laquelle s’empilaient tasses et reliefs de grignotages. Tout était plongé dans une semi-obscurité, les persiennes tirées ne laissant pénétrer la lumière qu’en rayons de lumières faisant danser la poussière dorée.
Il progressa doucement, misant sur son ouïe, plus que sur sa vision. Il y avait du bruit à l’étage. Quelqu’un qui chantonnait, un peu faux. Le chant était d’ailleurs étouffé par le grondement caractéristique d’une douche sonique.
Il était sur le point de monter l’escalier quand un infime tintement lui fit tourner la tête, l’interrompant un pied levé. Il le reposa avec douceur.
La porte d’un placard donnant sur l’entrée principale était ouverte. C’était un vestiaire, rempli de manteaux, de vestes de tailleurs de chapeaux et de foulards. Sur le sol il y avait un sac à main, dont l’on avait renversé le contenu … une silhouette indistincte était agenouillé tout prés, en train de trier les objets.
Jim n’était qu’à cinq mètres … et lui n’était pas invisible.
[hrp]Que fait Jim ? pour mémoire dispose-t-il d’armes, de protections ?[/hrp]
[Zelda et Dom]
Monsieur Tybot accéda aux demandes de Dom. Il s’agissait clairement d’un matériel de récupération. L’on avait cannibalisé des pièces sur d’autres autodocs pour réparer certaines parties, quelques pièces étaient neuves mais il s’agissait le plus souvent de fabrication sous licence. Il avisa le modèle qui lui semblait le plus neuf et se saisit d’aiguille de données, son carnet d’entretien et l’enficha dans sa console.
Il retint à grande difficulté un léger haussement de sourcil. L’engin avait environ 180 ans et avait été au départ fabriqué sur Kolberg, un monde situé à 1300 années lumières de Prima. Il était passé sur une dizaine de navires avant d’atterrir dans cet entrepôt et comptait sans doute aujourd’hui moins de quarante pourcents de pièces d’origine.
Néanmoins … Les tests de bon fonctionnement étaient dans les normes. Le logiciel de soin s’il n’était pas la dernière release, se limitait aux créatures humanoïdes, ne déparait pas de ce qui se faisait à bord de beaucoup de navires marchands.
Il s’intéressa ensuite aux consommables. Ceux-ci, pourtant destinés à se conserver plus d’une centaine d’années, approchaient à trois ans prés de leur date de péremption.
Nous offrons six mois de garantie, retour dans nos ateliers. Nous vous offrons un jeu de consommable suffisant pour une première utilisation. Par contre nous ne l’installons pas et la livraison sera payante. Nos frais de transports sont minimes.
Il se retourna vers Zelda alors que celle-ci ronronnait ses arguments commerciaux.
Madame, nous sommes les moins chers du marché. Si vous trouvez moins cher … achetez le, mais ne l’utilisez pas à moins d’être désespérée.
[hrp]Néanmoins si Zelda nous fait un jet de 4d6 sous charme + marchandage avec son mod de +1 … qui sait[/hrp]