2013-05-15, 07:50 PM
Virik salua la fem d’une courte révérence oreilles courbées et mains ouvertes, avant de se placer quelques pas en arrière de la troupe comme à son habitude. La position lui permettait d’avoir une vision d’ensemble du groupe et d’éventuelles menaces.
Il écouta avec attention les explications des uns et des autres, mais ses yeux et ses oreilles se tournaient de temps à autre vers un bruit ou un mouvement inhabituel.
Il combattit la fascination qu’exerçait la merveille technologique qu’était l’habitat. Ce lieu où haut et bas ne signifiait rien et où les pieds ancrés au sol les océans dominaient vos têtes …
Il détesta la chute dans l’ascenseur à effet de frein inertiel. Il garda les oreilles plaquées pendant toute la « descente » qui s’apparentait plus de son point de vue à une à un crash maitrisé. Il se força à s’adosser à la paroi de la cabine, croisant les bras, ses mains se refermant discrètement sur la crosse de ses armes en holster sous sa cape. C’était puéril et il le savait.
Il recommença à respirer lorsqu’ils furent arrivé à bon port. Il arpenta le sol, levant la tête observant l’horizon courbe qui se dérobait. Il ne put s’empêcher de s'interroger sur les précautions prises pour parer aux risques de décompression. Quelles protections contre des impacts de corps étrangers, navires à la dérive disposaient l’habitat. Que se passerait-il en cas de brèche ?
Il eut la vision de corps arrachés du sol, précipités dans l’espace, leurs cris de terreur se muant en silence de mort alors que l’air s’échappait de leurs poumons …
Il écouta avec attention les explications des uns et des autres, mais ses yeux et ses oreilles se tournaient de temps à autre vers un bruit ou un mouvement inhabituel.
Il combattit la fascination qu’exerçait la merveille technologique qu’était l’habitat. Ce lieu où haut et bas ne signifiait rien et où les pieds ancrés au sol les océans dominaient vos têtes …
Il détesta la chute dans l’ascenseur à effet de frein inertiel. Il garda les oreilles plaquées pendant toute la « descente » qui s’apparentait plus de son point de vue à une à un crash maitrisé. Il se força à s’adosser à la paroi de la cabine, croisant les bras, ses mains se refermant discrètement sur la crosse de ses armes en holster sous sa cape. C’était puéril et il le savait.
Il recommença à respirer lorsqu’ils furent arrivé à bon port. Il arpenta le sol, levant la tête observant l’horizon courbe qui se dérobait. Il ne put s’empêcher de s'interroger sur les précautions prises pour parer aux risques de décompression. Quelles protections contre des impacts de corps étrangers, navires à la dérive disposaient l’habitat. Que se passerait-il en cas de brèche ?
Il eut la vision de corps arrachés du sol, précipités dans l’espace, leurs cris de terreur se muant en silence de mort alors que l’air s’échappait de leurs poumons …