2013-04-02, 06:46 PM
Salut. En deux môts je suis irl Fabrice, parisien, la quarantaine, dans l’informatique. Question passé rôlistique j’ai commencé avec un boite rouge de donjon et dragon (acheté par un ami américain dans une base de l’OTAN en Italie) avant de jouer à divers trucs passant par cluclu, starwars, AD&D, mega, warhammer (40.000 aussi) …
Mais EG a été un de mes premiers jeux de rôle. Le grand avantage du premier bouquin était de se suffire à lui-même : un bouquin unique, des dés 6 (piqués au 421) le tout transportable facilement. L’univers ? Celui de ses bouquins de SF (j’étais un gros lecteur de fleuve noir anticipation à l’époque).
Alors certes le système n’est pas optimisé, n’est pas simulationniste et guère réaliste. Mais parcourir les étoiles à bord de navires passant dans une dimension parallèle ou seules des pseudo-perceptions permettent de se guider ne l’est pas non plus. Mais c’est très poétique et très beau.
A la multiplication des compétences, talents, EG a fait le choix d’avoir quelques disciplines fourre tout, permettant de résoudre la plupart des situations ou de couvrir l’ensemble des compétences nécessaires.
La rigidité de l’acquisition de ces compétences a été assouplies par le système de tirage qu’à monté Gurvan … ce qui n’empêche pas, lorsque l’on crée son perso de lui donner un peu de profondeur, d’expliquer qu’il est fan de cuisine, de vin, qu’il a comme loisir la chute libre orbitale, qu’il joue du banjo (mal) …
Aujourd’hui au niveau du PbF que nous écrivons depuis 2004 sous une forme ou une autre, les lancés de dés sont relativement rares. Nous préférons décrire, écrire, inventer, ce qui permet au final de faire du beau jeu de rôle. Les dés n’interviennent au final que lors de certaines confrontations lors d’épreuves. Personnellement je ne joue pas pour jeter des dés, mais pour avoir des interactions avec mes camarades de jeux, pour incarner un personnage très loin (et parfois si proche) de moi et pour le plaisir de décrire, de lire, de m’enthousiasmer pour le verbe de l’un ou de l’autre.
Mais EG a été un de mes premiers jeux de rôle. Le grand avantage du premier bouquin était de se suffire à lui-même : un bouquin unique, des dés 6 (piqués au 421) le tout transportable facilement. L’univers ? Celui de ses bouquins de SF (j’étais un gros lecteur de fleuve noir anticipation à l’époque).
Alors certes le système n’est pas optimisé, n’est pas simulationniste et guère réaliste. Mais parcourir les étoiles à bord de navires passant dans une dimension parallèle ou seules des pseudo-perceptions permettent de se guider ne l’est pas non plus. Mais c’est très poétique et très beau.
A la multiplication des compétences, talents, EG a fait le choix d’avoir quelques disciplines fourre tout, permettant de résoudre la plupart des situations ou de couvrir l’ensemble des compétences nécessaires.
La rigidité de l’acquisition de ces compétences a été assouplies par le système de tirage qu’à monté Gurvan … ce qui n’empêche pas, lorsque l’on crée son perso de lui donner un peu de profondeur, d’expliquer qu’il est fan de cuisine, de vin, qu’il a comme loisir la chute libre orbitale, qu’il joue du banjo (mal) …
Aujourd’hui au niveau du PbF que nous écrivons depuis 2004 sous une forme ou une autre, les lancés de dés sont relativement rares. Nous préférons décrire, écrire, inventer, ce qui permet au final de faire du beau jeu de rôle. Les dés n’interviennent au final que lors de certaines confrontations lors d’épreuves. Personnellement je ne joue pas pour jeter des dés, mais pour avoir des interactions avec mes camarades de jeux, pour incarner un personnage très loin (et parfois si proche) de moi et pour le plaisir de décrire, de lire, de m’enthousiasmer pour le verbe de l’un ou de l’autre.