2013-03-10, 12:19 AM
Plongé dans la semi-obscurité Virik lut la traduction qui apparaissait sur son communico. Les ténèbres semblèrent se faire plus présentes, plus sombres au fur et à mesure de sa lecture.
La mission de secours arrivait trop tard. Avec 4000 ans de retard.
Il inclina la tête en direction du pilote … Je pense que vous pouvez remettre ces documents en place. Autant laisser tout cela à sa place.
A tous, je propose que nous remontions à notre bord. Je vais terminer de faire quelques images afin qu’en cas de pillage par des tiers nous ayons à minima quelques éléments permettant de témoigner de ce qui s’est passé ici.
A moins que vous estimiez qu’une copie des données de l’ordinateur central soit à ce stade nécessaire pour les renseignements concernant le trou de ver.
Ses oreilles étaient à moitié couchées. L’espoir s’était peu à peu évanoui ... L’absence de trace d’évacuation, de récupération de matériel laissait entendre à une conclusion funeste. Ils avaient gagné ce pays inconnu d'où nul voyageur ne revient.
Il respira profondément, laissa ce moment passer, glisser sur l’indifférence nacrée qui protégeait son esprit contre les grains de sable irritant de la réalité se frottant à sa conscience. Il redressa les oreilles et se dirigea vers les autres quartiers afin de recueillir des images et un témoignage. Il n’en aurait pas pour longtemps : il ne comptait nullement fouiller et établir un inventaire exhaustif, mais seulement avoir un témoignage tri-di de ce qui avait été le dernier lieu de vie de l’équipage du Cortez.
La mission de secours arrivait trop tard. Avec 4000 ans de retard.
Il inclina la tête en direction du pilote … Je pense que vous pouvez remettre ces documents en place. Autant laisser tout cela à sa place.
A tous, je propose que nous remontions à notre bord. Je vais terminer de faire quelques images afin qu’en cas de pillage par des tiers nous ayons à minima quelques éléments permettant de témoigner de ce qui s’est passé ici.
A moins que vous estimiez qu’une copie des données de l’ordinateur central soit à ce stade nécessaire pour les renseignements concernant le trou de ver.
Ses oreilles étaient à moitié couchées. L’espoir s’était peu à peu évanoui ... L’absence de trace d’évacuation, de récupération de matériel laissait entendre à une conclusion funeste. Ils avaient gagné ce pays inconnu d'où nul voyageur ne revient.
Il respira profondément, laissa ce moment passer, glisser sur l’indifférence nacrée qui protégeait son esprit contre les grains de sable irritant de la réalité se frottant à sa conscience. Il redressa les oreilles et se dirigea vers les autres quartiers afin de recueillir des images et un témoignage. Il n’en aurait pas pour longtemps : il ne comptait nullement fouiller et établir un inventaire exhaustif, mais seulement avoir un témoignage tri-di de ce qui avait été le dernier lieu de vie de l’équipage du Cortez.