2013-03-06, 04:42 PM
Virik leva une oreille à la déclaration de madame Sémirande. C’était un temple certes, mais où en étaient passés les dieux ? Une merveille ? Sans nul doute, mais où étaient partis ceux qui avaient piloté cet engin admirable ?
En tout cas, tant qu’ils ne trouvaient pas de corps ce n’était pas une tombe.
Il s’autorisa à une intervention, tant messieurs Djal, Eron et madame Sémirande semblaient frapper de stupeur face à l’engin, écrasés par les millénaires qui du haut des mats de spin les contemplaient, incapables de la moindre initiative ou se contentant de paroles.
Madame, messieurs, je propose que nous commencions par l’ordinateur central et que nous continuons par la passerelle et les quartiers du capitaine. Madame Sémirande ? Monsieur Eron ? Monsieur Djal ? A moins que vous préfériez que j’ouvre la route ?
Il comprenait qu’en cas de danger on fasse passer en premier le logimec, mais au fond de lui il trouvait que cela manquait singulièrement de panache. Il était partagé. La prudence le conduisait à laisser faire le logimec, n’intervenant qu’en cas d’impossibilité flagrante. Mais laisser entre les mains d’une machine l’exploration, la découverte du destin final de l’équipage du Cortez lui semblait … un blasphème, même si le mot était fort. Il y a des choses que l’on devait faire de ses mains.
En tout cas, tant qu’ils ne trouvaient pas de corps ce n’était pas une tombe.
Il s’autorisa à une intervention, tant messieurs Djal, Eron et madame Sémirande semblaient frapper de stupeur face à l’engin, écrasés par les millénaires qui du haut des mats de spin les contemplaient, incapables de la moindre initiative ou se contentant de paroles.
Madame, messieurs, je propose que nous commencions par l’ordinateur central et que nous continuons par la passerelle et les quartiers du capitaine. Madame Sémirande ? Monsieur Eron ? Monsieur Djal ? A moins que vous préfériez que j’ouvre la route ?
Il comprenait qu’en cas de danger on fasse passer en premier le logimec, mais au fond de lui il trouvait que cela manquait singulièrement de panache. Il était partagé. La prudence le conduisait à laisser faire le logimec, n’intervenant qu’en cas d’impossibilité flagrante. Mais laisser entre les mains d’une machine l’exploration, la découverte du destin final de l’équipage du Cortez lui semblait … un blasphème, même si le mot était fort. Il y a des choses que l’on devait faire de ses mains.