2013-02-13, 10:24 PM
// Pas de réponse de Djal … alors j’enchaîne :$
Avant ces derniers évènements Virik et Djal avait poursuivi leur route en direction du bâtiment administratif ou l’attendait madame Eladia. Il avait insisté pour que monsieur Djal conserve pour l’heure l’aiguille de données.
Le bâtiment en question était un cube de plastacier renforcé, un bâtiment modulable qui devait être contemporain de la piste du spatioport. Une construction fonctionnelle, basse, sur laquelle s’ouvraient quelques fenêtres pouvant être fermées par des boucliers anti-tempête.
Ils se glissèrent par la porte, un double sas standard dont la seconde porte restait visiblement en permanence ouverte. Une petite salle d’attente avec quelques sièges intégrés aux murs s’ouvrait au-delà, décorée dans des teintes neutres et pastels. La borne d’accueil capta leur présence et une voix désincarnée leur demanda la raison de leur présence.
Virik affirma qu’ils avaient un rendez-vous avec madame Eladia et qu’ils étaient attendus.
Quelques instant d’attente plus tard le logimec déverrouillait une porte qui les mena à un tube de monté. Ils n’eurent pas loin à aller : le bureau de madame Eladia se situait au troisième et dernier niveau. C’était un bureau de taille moyenne dont l’unique ouverture donnait sur le tarmac pour l’heure occupé par la haute silhouette du Lilith dont l’on devinait la sombre silhouette à travers le voile de pluie.
La pièce était en grande partie meublée par un vivarium qui placé le long du mur en occupait l’espace vertical et horizontal réduisant singulièrement sa surface. Néanmoins un petit bureau NT6 à console intégrée, trois chaises antigrav et un canapé de bois local recouvert de coussins en tissus naturel achevaient de la meubler, de l’encombrer diraient certains.
Une femme se tenait accroupie devant le vivarium tapotant sur la vitre avec un ongle, observant la jungle de poche qui y était reconstituée … Elle abandonna son occupation, se redressant en tirant sur sa combinaison pour en chasser les plis.
Avant ces derniers évènements Virik et Djal avait poursuivi leur route en direction du bâtiment administratif ou l’attendait madame Eladia. Il avait insisté pour que monsieur Djal conserve pour l’heure l’aiguille de données.
Le bâtiment en question était un cube de plastacier renforcé, un bâtiment modulable qui devait être contemporain de la piste du spatioport. Une construction fonctionnelle, basse, sur laquelle s’ouvraient quelques fenêtres pouvant être fermées par des boucliers anti-tempête.
Ils se glissèrent par la porte, un double sas standard dont la seconde porte restait visiblement en permanence ouverte. Une petite salle d’attente avec quelques sièges intégrés aux murs s’ouvrait au-delà, décorée dans des teintes neutres et pastels. La borne d’accueil capta leur présence et une voix désincarnée leur demanda la raison de leur présence.
Virik affirma qu’ils avaient un rendez-vous avec madame Eladia et qu’ils étaient attendus.
Quelques instant d’attente plus tard le logimec déverrouillait une porte qui les mena à un tube de monté. Ils n’eurent pas loin à aller : le bureau de madame Eladia se situait au troisième et dernier niveau. C’était un bureau de taille moyenne dont l’unique ouverture donnait sur le tarmac pour l’heure occupé par la haute silhouette du Lilith dont l’on devinait la sombre silhouette à travers le voile de pluie.
La pièce était en grande partie meublée par un vivarium qui placé le long du mur en occupait l’espace vertical et horizontal réduisant singulièrement sa surface. Néanmoins un petit bureau NT6 à console intégrée, trois chaises antigrav et un canapé de bois local recouvert de coussins en tissus naturel achevaient de la meubler, de l’encombrer diraient certains.
Une femme se tenait accroupie devant le vivarium tapotant sur la vitre avec un ongle, observant la jungle de poche qui y était reconstituée … Elle abandonna son occupation, se redressant en tirant sur sa combinaison pour en chasser les plis.