2012-11-17, 06:13 PM
Insensiblement, sous l’impulsion des propulseurs de manœuvre, l’hibernateur se rapprocha. Virik tendit le bras, posant le clamp magnétique sur le point d’attache. Les voyant passèrent au vert : verrouillage.
L’arrimage est effectué, je vais maintenant utiliser le treuil. Il régla sur sa vitesse la plus lente ce dernier, ramenant à l’intérieur de la soute le volumineux objet. L’hibernateur était presque 15 fois plus lourd que lui, et il dut utiliser l’exosquelette intégré à son armure de combat pour le manipuler avec précaution et le freiner.
C’est bon monsieur Eron, vous pouvez fermer les portes de soute. Il attendit que les portes se cèlent avant de poser sur le « sol » le caisson et de l’arrimer. Il changea de plan, se posant à son tour au sol. L’hibernateur est arrimé monsieur Eron, vous pouvez rétablir la gravité dans la cale.
Il sentit la gravité revenir, rétablissant la sensation d’avoir les pieds bien posés au sol, faisant cesser l’impression de chute libre qui l’avait accompagné pendant toute la manœuvre. Il redressa les oreilles qu’il avait inconsciemment couchées pendant le temps de la récupération.
Il ouvrit l’armoire murale dans laquelle il avait entreposé la civière et se glissa dans l’étroit espace qui séparait la paroi du sarcophage. Il chercha un instant la prise ou il pourrait brancher la civière et une fois que cela fut fait demanda un diagnostique de l’état de santé du dormeur.
J’ai branché la civière sur le caisson. J’attends le résultat pour décider de réveiller ici ou à l’infirmerie du bord le passager. Tout en parlant il annula manuellement l’effet miroir du couvercle du sarcophage. Une silhouette humanoïde apparue pétrifiée par le givre, indistincte en raison des cristaux de glace qui s’étaient formés à l’intérieur de l’habitacle, mais elle était visiblement féminine.
La civière continuait à dialoguer avec le caisson … Il en profita pour décrocher de sa ceinture le scanner manuel qu’il fit passer de haut en bas de la silhouette, vérifiant qu’elle n’était pas armée. Négatif.
La civière termina son diagnostique, tout aussi négatif. L’être était en bonne santé et ne nécessitait pas de soin particulier. Il prit le temps de lire le résultat avant d’annoncer : il s’agit d’une feme … femme humaine, elle n’est pas armée. Je vais procéder à son réveil. Monsieur Eron ? Pouvez-vous repressuriser la soute je vous prie et remonter la température ? Merci.
Il attendit que l’environnement soit adapté aux normes humaines avant de lancer le cycle de réveil de leur mystérieuse naufragée. Le caisson se mit à bourdonner, modifiant la formulation des gaz en son sein, réchauffant l’être et l’amenant pas à pas sur les chemins de la conscience retrouvée. Il y en avait pour une dizaine de minutes … Il mit ce temps à profit pour noter le numéro de plaque de fabricant de l’hibernateur. Avec un peu de chance cela lui permettrait d’identifier le pirate ou le navire sur lequel ce caisson avait été dérobé.
Cycle de réveil en cours. Patientez en position s’il vous plait monsieur Eron. Gardez vos armes à porté de main.
Dix minutes plus tard la femme pris une profonde respiration alors que le couvercle transparent s’effaçait … Virik observa avec attention l’être, restant légèrement en retrait, tournant son esprit vers le sien, tentant de saisir ses pensées superficielles.
// Et maintenant c’est à Axl de se décrire et d’écrire … je lui laisse la place.
L’arrimage est effectué, je vais maintenant utiliser le treuil. Il régla sur sa vitesse la plus lente ce dernier, ramenant à l’intérieur de la soute le volumineux objet. L’hibernateur était presque 15 fois plus lourd que lui, et il dut utiliser l’exosquelette intégré à son armure de combat pour le manipuler avec précaution et le freiner.
C’est bon monsieur Eron, vous pouvez fermer les portes de soute. Il attendit que les portes se cèlent avant de poser sur le « sol » le caisson et de l’arrimer. Il changea de plan, se posant à son tour au sol. L’hibernateur est arrimé monsieur Eron, vous pouvez rétablir la gravité dans la cale.
Il sentit la gravité revenir, rétablissant la sensation d’avoir les pieds bien posés au sol, faisant cesser l’impression de chute libre qui l’avait accompagné pendant toute la manœuvre. Il redressa les oreilles qu’il avait inconsciemment couchées pendant le temps de la récupération.
Il ouvrit l’armoire murale dans laquelle il avait entreposé la civière et se glissa dans l’étroit espace qui séparait la paroi du sarcophage. Il chercha un instant la prise ou il pourrait brancher la civière et une fois que cela fut fait demanda un diagnostique de l’état de santé du dormeur.
J’ai branché la civière sur le caisson. J’attends le résultat pour décider de réveiller ici ou à l’infirmerie du bord le passager. Tout en parlant il annula manuellement l’effet miroir du couvercle du sarcophage. Une silhouette humanoïde apparue pétrifiée par le givre, indistincte en raison des cristaux de glace qui s’étaient formés à l’intérieur de l’habitacle, mais elle était visiblement féminine.
La civière continuait à dialoguer avec le caisson … Il en profita pour décrocher de sa ceinture le scanner manuel qu’il fit passer de haut en bas de la silhouette, vérifiant qu’elle n’était pas armée. Négatif.
La civière termina son diagnostique, tout aussi négatif. L’être était en bonne santé et ne nécessitait pas de soin particulier. Il prit le temps de lire le résultat avant d’annoncer : il s’agit d’une feme … femme humaine, elle n’est pas armée. Je vais procéder à son réveil. Monsieur Eron ? Pouvez-vous repressuriser la soute je vous prie et remonter la température ? Merci.
Il attendit que l’environnement soit adapté aux normes humaines avant de lancer le cycle de réveil de leur mystérieuse naufragée. Le caisson se mit à bourdonner, modifiant la formulation des gaz en son sein, réchauffant l’être et l’amenant pas à pas sur les chemins de la conscience retrouvée. Il y en avait pour une dizaine de minutes … Il mit ce temps à profit pour noter le numéro de plaque de fabricant de l’hibernateur. Avec un peu de chance cela lui permettrait d’identifier le pirate ou le navire sur lequel ce caisson avait été dérobé.
Cycle de réveil en cours. Patientez en position s’il vous plait monsieur Eron. Gardez vos armes à porté de main.
Dix minutes plus tard la femme pris une profonde respiration alors que le couvercle transparent s’effaçait … Virik observa avec attention l’être, restant légèrement en retrait, tournant son esprit vers le sien, tentant de saisir ses pensées superficielles.
// Et maintenant c’est à Axl de se décrire et d’écrire … je lui laisse la place.