2012-11-11, 11:34 PM
Virik remonta à bord. Il avait emprunté une palette antigrav pour charger certaines pièces qu’il avait effectivement trouvées dans les réserves de la balise. Les pièces, encore emballées dans leurs caissons numérotées, caissons étroitement magnétiquement collés pour plus de stabilité, montèrent à bord.
Ce n’était pas un vol, virik avait fait l’inventaire de ce qu’il avait pris, expliqué les raisons impérieuses qui l’obligeait à ponctionner ces réserves et enregistré le tout dans l’ordinateur de la balise. Quelques minutes plus tard Cuperno recevait la note, directement transmise par l’administration impérial, à un prix … supérieur de 20 % au prix du marché sectoriel. Un prix suffisamment dissuasif pour ne pas encourager les navires de passage à s’approvisionner de manière dérogatoire dans ce genre d’endroit en simulant des avaries, au risque de concurrencer déloyalement les shipchandlers officiels.
Quant aux pièces manquantes elles seraient remplacées lors de la prochaine vacation d’entretien et d’inspection de la station.
Après avoir passé quelques temps avec les ingénieurs il remonta sur la passerelle.
Il inclina une oreille en direction de madame Sémirande. Madame, pouvez-vous me dire si les deux chasseurs qui nous poursuivaient, lors du bref passage en espace newtonnien à proximité de la station, n’ont pas laissé des sondes passives destinées à les informer de notre départ de la station ? Si je disposais de telles sondes c’est ce que j’aurai fait afin de pouvoir relancer la chasse …
Ce n’était pas un vol, virik avait fait l’inventaire de ce qu’il avait pris, expliqué les raisons impérieuses qui l’obligeait à ponctionner ces réserves et enregistré le tout dans l’ordinateur de la balise. Quelques minutes plus tard Cuperno recevait la note, directement transmise par l’administration impérial, à un prix … supérieur de 20 % au prix du marché sectoriel. Un prix suffisamment dissuasif pour ne pas encourager les navires de passage à s’approvisionner de manière dérogatoire dans ce genre d’endroit en simulant des avaries, au risque de concurrencer déloyalement les shipchandlers officiels.
Quant aux pièces manquantes elles seraient remplacées lors de la prochaine vacation d’entretien et d’inspection de la station.
Après avoir passé quelques temps avec les ingénieurs il remonta sur la passerelle.
Il inclina une oreille en direction de madame Sémirande. Madame, pouvez-vous me dire si les deux chasseurs qui nous poursuivaient, lors du bref passage en espace newtonnien à proximité de la station, n’ont pas laissé des sondes passives destinées à les informer de notre départ de la station ? Si je disposais de telles sondes c’est ce que j’aurai fait afin de pouvoir relancer la chasse …