2012-09-17, 09:19 PM
Virik se réveilla. Hummmm … il entrouvrit un œil. La lumière rouge de l’aube balayait l’ombre de la nuit, chassant les étoiles … La simulation leva un vent léger, portant les parfums d’herbes coupées de sa planète natale. Il s’étira avant de basculer hors de la couche, plantant les pieds dans le sable chaud qui couvrait le plancher de sa cabine. Il remua les doigts de pieds, laissant les grains tièdes s’insinuer entre ses coussinets.
C’était un luxe, une forme de décadence technologique. Un confort indigne, contraire au principe de dureté … Mais c’était aussi un moment passager. Qu’importe.
Il passa sous la douche sonique, chassant les grains de sable, prenant soin de sa fourrure. Il avait gardé, jusque dans la cabine de douche son holster portant ses armes. Enfin, il sortit, revêtant un kilt avant de s’équiper de nouveau de son armure.
C’est à ce moment que la communication de monsieur Eron lui parvint. Il interrogea le circuit de sécurité pour localiser leur invité et le second pilote. Cafèt équipage. Bien, c’était là sa prochaine étape.
Il quitta sa cabine, demandant aux aspibot de remettre celle-ci en état, de tracer en son absence dans le sable rouge les lignes circulaires qu’il affectionnait.
Il n’avait pas loin à aller pour rejoindre la salle de repos.
Il salua monsieur Eron et commanda à l’auto-cook une tasse de gf’i épicée sur laquelle il saupoudra une poudre de piments de mandrake. Il s’assit en silence devant le second pilote, veillant à être tourné vers le lieu où monsieur Banks était sensé faire son entrée.
Au bout d’un instant il rompit le silence.
Tout va bien monsieur Eron ? Comptez vous descendre à terre ?
C’était un luxe, une forme de décadence technologique. Un confort indigne, contraire au principe de dureté … Mais c’était aussi un moment passager. Qu’importe.
Il passa sous la douche sonique, chassant les grains de sable, prenant soin de sa fourrure. Il avait gardé, jusque dans la cabine de douche son holster portant ses armes. Enfin, il sortit, revêtant un kilt avant de s’équiper de nouveau de son armure.
C’est à ce moment que la communication de monsieur Eron lui parvint. Il interrogea le circuit de sécurité pour localiser leur invité et le second pilote. Cafèt équipage. Bien, c’était là sa prochaine étape.
Il quitta sa cabine, demandant aux aspibot de remettre celle-ci en état, de tracer en son absence dans le sable rouge les lignes circulaires qu’il affectionnait.
Il n’avait pas loin à aller pour rejoindre la salle de repos.
Il salua monsieur Eron et commanda à l’auto-cook une tasse de gf’i épicée sur laquelle il saupoudra une poudre de piments de mandrake. Il s’assit en silence devant le second pilote, veillant à être tourné vers le lieu où monsieur Banks était sensé faire son entrée.
Au bout d’un instant il rompit le silence.
Tout va bien monsieur Eron ? Comptez vous descendre à terre ?