2012-09-03, 08:56 PM
Virik passa brièvement au stand, pour récupérer un aspimec, avant de se glisser sur le parcours, pour vérifier de visu les passerelles suspectes.
Un Goha, un hani ayant reçu une part de l'enseignement hatani, mais ne respectant pas l'hétique attaché à la fonction n'aurait pas hésité à piéger à l'aide d'explosif ces passerelles.
Un hatani de l'ancienne école n'aurait pas hésité à saboter une de ces passerelles, en sciant les boulons d'attache par exemple, à installer un panneau indiquant "ne pas utiliser - DANGER" et à attendre sur l'autre passerelle l'éventuel assassin.
Mais ... Le risque qu'un innocent technicien fasse le grand saut n'était pas négligeable.
... Il choisit donc une solution intermédiaire. Il récupéra ci et là quelques ampoules encore fonctionnelles dans des couloirs secondaires et répara les luminaires d'une des passerelles. Il s'éloigna ensuite et laissa à bonne distance un mouchard vidéo centrée sur celle-ci.
Pendant son court trajet vers l'autre passerelle, celle encore placée dans l'obscurité, il prit le temps d'aspirer la poussière locale sur les tuyaux, dans les recoins.
Il arriva à la passerelle encore placée dans l'obscurité. Comme pour la précédente passerelle il attendit un long moment, observant, s'assurant qu'il était seul et qu'il n'y avait rien de suspect. Puis il se rendit sur celle-ci, inversant les cycles de l'aspibot, répandant en couche de poussière uniforme sur les surfaces.
Bien.
Maintenant il saurait si quelqu'un d'autre était passé ici ... et théoriquement un éventuel saboteur ne choisirait pas la passerelle éclairée maintenant. De toute façon il était bien décidé de prendre son poste à proximité de la passerelle obscure pendant les essais et la course et à garder un œil sur l'autre via le mouchard. Si la lumière venait à être saboté il saurait aussi.
Un Goha, un hani ayant reçu une part de l'enseignement hatani, mais ne respectant pas l'hétique attaché à la fonction n'aurait pas hésité à piéger à l'aide d'explosif ces passerelles.
Un hatani de l'ancienne école n'aurait pas hésité à saboter une de ces passerelles, en sciant les boulons d'attache par exemple, à installer un panneau indiquant "ne pas utiliser - DANGER" et à attendre sur l'autre passerelle l'éventuel assassin.
Mais ... Le risque qu'un innocent technicien fasse le grand saut n'était pas négligeable.
... Il choisit donc une solution intermédiaire. Il récupéra ci et là quelques ampoules encore fonctionnelles dans des couloirs secondaires et répara les luminaires d'une des passerelles. Il s'éloigna ensuite et laissa à bonne distance un mouchard vidéo centrée sur celle-ci.
Pendant son court trajet vers l'autre passerelle, celle encore placée dans l'obscurité, il prit le temps d'aspirer la poussière locale sur les tuyaux, dans les recoins.
Il arriva à la passerelle encore placée dans l'obscurité. Comme pour la précédente passerelle il attendit un long moment, observant, s'assurant qu'il était seul et qu'il n'y avait rien de suspect. Puis il se rendit sur celle-ci, inversant les cycles de l'aspibot, répandant en couche de poussière uniforme sur les surfaces.
Bien.
Maintenant il saurait si quelqu'un d'autre était passé ici ... et théoriquement un éventuel saboteur ne choisirait pas la passerelle éclairée maintenant. De toute façon il était bien décidé de prendre son poste à proximité de la passerelle obscure pendant les essais et la course et à garder un œil sur l'autre via le mouchard. Si la lumière venait à être saboté il saurait aussi.