2012-09-03, 09:18 AM
Il y avait des holocams à l'entrée et à la sortie du complexe.
Dans l'enceinte proprement dite, le circuit serpentait dans des couloirs bordés d'énormes conduites, où deux engins pouvaient tenir côte à côte (et donc se dépasser), et décrivait deux grandes chicanes entre d'énormes piliers de soutènement, forçant les concurrents à réduire leur vitesse. C'était au niveau de ces courbes que les holocams étaient moins nombreuses. Si les concurrents voulaient échanger leurs points de vue à coup de lance-aiguilles, c'était là qu'ils devaient le faire.
L'intérieur du complexe était éclairé par des projecteurs placés à intervalles réguliers, mais n'illuminant pas l'ensemble du parcours. Des passerelles de maintenance surplombaient le tracé. Les meilleurs endroits pour une éventuelle embuscade étaient sans doute les passerelles situées en dehors des zones éclairées. Il y en avait deux.
Lorsqu'il demanda à l'un des techniciens de la régie trivid pourquoi certains moniteurs étaient encore en veille, ce dernier lui répondit qu'il étaient destinés aux superviseurs des drones de reconnaissance qui patrouilleraient dans le complexe lors des qualifications et du Grand Prix. Ces drones étaient (bien sur) non armés et signalaient toutes les présences suspectes qu'ils étaient en mesure de détecter, les interventions étant réalisées par des brigades privées sous contrat avec les hypercorporations sponsorisant l'épreuve.
Dans l'enceinte proprement dite, le circuit serpentait dans des couloirs bordés d'énormes conduites, où deux engins pouvaient tenir côte à côte (et donc se dépasser), et décrivait deux grandes chicanes entre d'énormes piliers de soutènement, forçant les concurrents à réduire leur vitesse. C'était au niveau de ces courbes que les holocams étaient moins nombreuses. Si les concurrents voulaient échanger leurs points de vue à coup de lance-aiguilles, c'était là qu'ils devaient le faire.
L'intérieur du complexe était éclairé par des projecteurs placés à intervalles réguliers, mais n'illuminant pas l'ensemble du parcours. Des passerelles de maintenance surplombaient le tracé. Les meilleurs endroits pour une éventuelle embuscade étaient sans doute les passerelles situées en dehors des zones éclairées. Il y en avait deux.
Lorsqu'il demanda à l'un des techniciens de la régie trivid pourquoi certains moniteurs étaient encore en veille, ce dernier lui répondit qu'il étaient destinés aux superviseurs des drones de reconnaissance qui patrouilleraient dans le complexe lors des qualifications et du Grand Prix. Ces drones étaient (bien sur) non armés et signalaient toutes les présences suspectes qu'ils étaient en mesure de détecter, les interventions étant réalisées par des brigades privées sous contrat avec les hypercorporations sponsorisant l'épreuve.
"Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie."
(Troisième Loi de l'Architecte Clarke)
(Troisième Loi de l'Architecte Clarke)