2012-06-25, 09:49 PM
Virik ne feulait pas ; enfin pas habituellement. Pas plus qu’il ne ronronnait.
C’était plutôt un compagnon tranquille. Il lisait en silence, explorant l’arborescence des systèmes automatisés de la console de sécurité. Les minutes se changeaient en heures … Il finit par se lever. Les sièges avaient beau être parfaitement confortables et adaptés à sa morphologie, ses muscles finissaient par s’endolorir.
Il verrouilla la console et se tourna vers monsieur Eron, visiblement absorbé par son pilotage. Je quitte la passerelle monsieur, si vous désirez me parlez après votre quart n’hésitez pas à me solliciter. Je suis à l’armurerie pour en faire un inventaire. Il fit quelques pas un peu raides, avant de se diriger en direction de l’armurerie … Il entra ses codes et vit la lourde double porte s’effacer. Il entra dans le local.
Une fois la porte refermée, hors de vue, il entreprit de s’étirer. Hummmmm ….
Idiot. C’était idiot d’être resté comme une statue de sel devant la console, il aurait tout aussi bien put lire tranquillement assis dans le jardin ou dans sa cabine.
Mais … l’apparence avait une importance. Que penseraient ces humains si à l’ instant où il était nommé il prenait ses aises, relâchant son attention et ses efforts. Il se devait d’être présent et à son poste.
Il ouvrit un des coffres mural : les blasters d’épaule, encore dans leur emballage d’usine, leurs unités énergétiques enfermées à part dans des caissons sécurisés. Il décrocha son com. Salle des machines de Sécurité, vous serait-il possible de détacher un de vos mécaniciens à l’armurerie afin de vérifier le bon fonctionnement des armes s’y trouvant ? Merci de m’assister si vous taches actuelles ne vous accaparent pas trop. Il observa les armes. Des armes de bonne qualité, des productions commerciales des arsenaux impériaux. Néanmoins, mieux valait s’assurer que toutes fonctionnaient correctement avant d’en avoir vraiment besoin. S’il savait les mettre en œuvre, il n’était pas pour autant un armurier certifié et préférait avoir l’avis d’un technicien diplômé. En attendant une réponse il entreprit de les déballer et de vérifier leurs numéros de série sur l’inventaire.
C’était plutôt un compagnon tranquille. Il lisait en silence, explorant l’arborescence des systèmes automatisés de la console de sécurité. Les minutes se changeaient en heures … Il finit par se lever. Les sièges avaient beau être parfaitement confortables et adaptés à sa morphologie, ses muscles finissaient par s’endolorir.
Il verrouilla la console et se tourna vers monsieur Eron, visiblement absorbé par son pilotage. Je quitte la passerelle monsieur, si vous désirez me parlez après votre quart n’hésitez pas à me solliciter. Je suis à l’armurerie pour en faire un inventaire. Il fit quelques pas un peu raides, avant de se diriger en direction de l’armurerie … Il entra ses codes et vit la lourde double porte s’effacer. Il entra dans le local.
Une fois la porte refermée, hors de vue, il entreprit de s’étirer. Hummmmm ….
Idiot. C’était idiot d’être resté comme une statue de sel devant la console, il aurait tout aussi bien put lire tranquillement assis dans le jardin ou dans sa cabine.
Mais … l’apparence avait une importance. Que penseraient ces humains si à l’ instant où il était nommé il prenait ses aises, relâchant son attention et ses efforts. Il se devait d’être présent et à son poste.
Il ouvrit un des coffres mural : les blasters d’épaule, encore dans leur emballage d’usine, leurs unités énergétiques enfermées à part dans des caissons sécurisés. Il décrocha son com. Salle des machines de Sécurité, vous serait-il possible de détacher un de vos mécaniciens à l’armurerie afin de vérifier le bon fonctionnement des armes s’y trouvant ? Merci de m’assister si vous taches actuelles ne vous accaparent pas trop. Il observa les armes. Des armes de bonne qualité, des productions commerciales des arsenaux impériaux. Néanmoins, mieux valait s’assurer que toutes fonctionnaient correctement avant d’en avoir vraiment besoin. S’il savait les mettre en œuvre, il n’était pas pour autant un armurier certifié et préférait avoir l’avis d’un technicien diplômé. En attendant une réponse il entreprit de les déballer et de vérifier leurs numéros de série sur l’inventaire.