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En route vers Epsilon
#48
//Je crois que Djal se trouve au pont 1 dans le jardin passager.

Commandant, Président, Votre proposition est acceptable et sensée. J’accepte donc le poste à vos conditions. Merci d’informer de ma prise de fonction l’ensemble de l’équipage et de me transférer les autorisations necessaires.

Il se leva et inclina les oreilles en un salut formel. Il tourna brièvement un œil en direction du logimec de Khrys. Je pense être capable de trouver sans erreur mon chemin jusqu’à ma nouvelle cabine. Je déménage et je prendrais ensuite mon poste. Avez-vous des taches particulières que vous souhaitez me voir effectuer en priorité ?

Après la réponse Khrys il accusa réception du message de Cuperno et l’informa qu’il aurait déménagé dans dix minutes de la cabine passager qu’il avait occupé jusque là.

Il n’avait guère de bagages à prendre. L’essentiel de ses biens tenaient dans un sac, à l’exception du caisson sécurisé qui contenait ses armes et son armure. En quittant la cabine igloo il demanda la reconfiguration de celle-ci en mode standard. Le sable fut en quelques minutes aspiré et les aspimecs intégrés eurent tôt fait de rendre celle-ci aussi impersonnel et neutre que quand il y était entré pour la première fois. Il annula ses codes et se rendit, sac sur l’épaule, poussant son caisson devant lui en direction du pont équipage.

// Croisa-t-il Cuperno, Djal, Sémirande sur le chemin et si oui quelles furent leur réaction ? A eux de le dire. Wink

La cabine était plus petite que celles destinées au passagers, offrait une moins belle vue (bien que pour l'heure, dans le triche lumière, cela n'ait aucune importance) mais disposait des mêmes raffinements intérieurs et de tout le confort qu’une installation de confort de type IV pouvait apporter. Il sécurisa son caisson, installa ses maigres effets et demanda en quittant ses quartiers une reconfiguration de l’environnement intérieur selon ses préférences habituelles.

Il se rendit sur la passerelle ou se trouvait monsieur Eron, visiblement seul. Il inclina les oreilles et soucieux de ne pas le distraire dans son pilotage, annonça sobrement : Virik Kiikti. Je prends mon poste en tant que responsable de la sécurité. Je m’installerais à la console secondaire numéro 2.

Il avisa la console en question et la laissa le reconnaître. Il devait maintenant y intégrer ses codes personnels avant de commencer à faire connaissance avec l’ensemble des possibilités de celle-ci. Conscient de ses lacunes, des risques de fausse manœuvre, il demanda d’explorer les possibilités de l’interface de sécurité en mode « simulation » … Inutile de bloquer des sas, de déclencher une alarme intempestive ou de provoquer une quelconque catastrophe par erreur. Cela allait l’occuper un bon moment.



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