2012-05-25, 02:40 PM
Cuperno, qui sortait assez satisfait de cet entretien, fut un peu cueilli à froid par la diatribe de Virik.
Il ponctua la fin de la remontrance en inclinant légèrement la tête sur le côté, sans laisser paraitre d'émotion particulière.
"- M. Kiikti, je pense que nous devons nous rendre au Lilith directement. Nous devons être sur place pour accueillir les passagers et le matériel."
Avant de s'installer sur l'hélimob, il ajouta :
"- Nous ne nous connaissons pas encore assez bien, mais j'espère que la vie à bord du Lilith comblera rapidement se manque. Khrys aurait demander une forte somme pour que nous prenions en charge le convoyage. Cela faisait d'ailleurs partie de ses recommandations. D'un autre côté, il est plutôt rare qu'un vaisseau de transport prenne en charge des marchandises avant qu'elles n'arrivent sur le quai d'embarquement. Je trouve que l'arrangement auquel nous sommes arrivé est plutôt juste."
Enfourchant le bolide :
"- Je n'ai pas l'impression que nos clients soient à plaindre, mais vous avez raison, je suis aussi un peu marchand dans l'âme."
Cuperno se dit pour lui-même qu'il éviterait à l'avenir d'inviter Virik à des rendez-vous commerciaux. L'excès de règles morales était rarement bon pour les affaires...
Il ponctua la fin de la remontrance en inclinant légèrement la tête sur le côté, sans laisser paraitre d'émotion particulière.
"- M. Kiikti, je pense que nous devons nous rendre au Lilith directement. Nous devons être sur place pour accueillir les passagers et le matériel."
Avant de s'installer sur l'hélimob, il ajouta :
"- Nous ne nous connaissons pas encore assez bien, mais j'espère que la vie à bord du Lilith comblera rapidement se manque. Khrys aurait demander une forte somme pour que nous prenions en charge le convoyage. Cela faisait d'ailleurs partie de ses recommandations. D'un autre côté, il est plutôt rare qu'un vaisseau de transport prenne en charge des marchandises avant qu'elles n'arrivent sur le quai d'embarquement. Je trouve que l'arrangement auquel nous sommes arrivé est plutôt juste."
Enfourchant le bolide :
"- Je n'ai pas l'impression que nos clients soient à plaindre, mais vous avez raison, je suis aussi un peu marchand dans l'âme."
Cuperno se dit pour lui-même qu'il éviterait à l'avenir d'inviter Virik à des rendez-vous commerciaux. L'excès de règles morales était rarement bon pour les affaires...