2008-11-02, 09:45 PM
[Réveiller quelqu'un qui veille ...]
Admettons que la couchette soit en configuration "Fauteuil". OK ?
Sémirande Chalmak sursaute un peu, regarde le Guérisseur plonger dans sa direction avec son pistolet injecteur, le voit la scruter avec attention, comprend immédiatement ses intentions, replie ses jambe, pose ses sandales sur le bord du fauteuil, prend appui et se projette sur la porte.
Le Guérisseur tente de la piquer quand même (tir de 4D : 16; c'est assez largement raté), applique son pistolet sur le fauteuil à l'endroit où était la jambe de sa coéquipière une seconde auparavant, et l'endort. Le fauteuil. Parce que la coéquipière en question appuie sur le bouton d'ouverture de la porte et se casse.
Les deux Etres-chats semblent devenir hystériques. Celui au casse-tête menace, tu ton qu'emploierait un vieillard autoritaire, aigri et malfaisant. L'autre jette encore un objet sur le Prêtre. Et cette fois, il le touche, au cuir chevelu. Il se baisse encore pour ramasser un nouveau projectile. L'odeur de le jungle est maintenant prenante. On entend des cris et des chants d'animaux. Puis ... Le noir se reforme derrière les deux créatures. Sur ce fond noir apparaissent quatre yeux oranges en amande, deux grands et deux plus petits, mais qui semblent de belle taille tout de même. Les Etres-chats cessent leur manège, et se retournent. L'ambiance de la jungle disparaît. Odeur marine. Bruite de ressac. Puis tout disparaît.
Monsieur Epstar Jdryk'll est seul, avec le crâne qui le cuit et un filet de sang devant son oeil.
Admettons que la couchette soit en configuration "Fauteuil". OK ?
Sémirande Chalmak sursaute un peu, regarde le Guérisseur plonger dans sa direction avec son pistolet injecteur, le voit la scruter avec attention, comprend immédiatement ses intentions, replie ses jambe, pose ses sandales sur le bord du fauteuil, prend appui et se projette sur la porte.
Le Guérisseur tente de la piquer quand même (tir de 4D : 16; c'est assez largement raté), applique son pistolet sur le fauteuil à l'endroit où était la jambe de sa coéquipière une seconde auparavant, et l'endort. Le fauteuil. Parce que la coéquipière en question appuie sur le bouton d'ouverture de la porte et se casse.
Les deux Etres-chats semblent devenir hystériques. Celui au casse-tête menace, tu ton qu'emploierait un vieillard autoritaire, aigri et malfaisant. L'autre jette encore un objet sur le Prêtre. Et cette fois, il le touche, au cuir chevelu. Il se baisse encore pour ramasser un nouveau projectile. L'odeur de le jungle est maintenant prenante. On entend des cris et des chants d'animaux. Puis ... Le noir se reforme derrière les deux créatures. Sur ce fond noir apparaissent quatre yeux oranges en amande, deux grands et deux plus petits, mais qui semblent de belle taille tout de même. Les Etres-chats cessent leur manège, et se retournent. L'ambiance de la jungle disparaît. Odeur marine. Bruite de ressac. Puis tout disparaît.
Monsieur Epstar Jdryk'll est seul, avec le crâne qui le cuit et un filet de sang devant son oeil.