2012-02-12, 04:56 PM
Virik dormait, errant sur les sentiers tortueux de l’inconscient.
Il rêvait.
Sur sa couche antigrav trop mole, il se retourna. Ses yeux cherchant sous ses paupières fermées, sa fourrure et sa peau parcourus de frissons, ses griffes sortant de leurs gaines en mouvement spasmodiques.
C’était un songe étrange. Un jardin de son enfance, celui du palais d’été dans les contreforts des montagnes de la lune. Le grand jardin intérieur, celui traversé par le bassin des ombres dans les eaux duquel se mirait la colonnade blanche et noire qui l’entourait.
Il y avait là ses cousins, ses cousines, les autres enfants. Mais ils se tenaient sur les toits le regardant en contrebas d’un air méfiant et farouche, oreille rabattues, yeux fuyants.
Il s’apperçut qu’il n’était pas seul. Sous les arcades, se pressait une foule. Des humains, au visage plat, à la peau pelée rose et moite, aux yeux trop grand et à l’odeur de moisie qui envahissait ses narines. Ils l’interpelaient, lui demandaient des choses, le harcelant de sons sans signification, se pressant autour de lui. De plus en plus prés … Il leva la main pour écarter une femelle impudente, et s’aperçut que sa main était simiesque, nue et aux ongles carrés émoussés …
Aïiii !
Il s’éveilla en sursaut, laissant son cœur s’apaiser. Non il n’était pas revenu là bas. Ce lieux de son enfance n’étaient plus que cendre. Il leva la main devant ses yeux, faisant jouer ses griffes. Un cauchemar. Juste un cauchemar.
Assez dormi.
Il bascula hors de sa couche. Il prit de temps de se brosser, enfila son ceinturon, sa cape et sortit. Il alla à la recherche de ses compagnons de route.
Quelques minutes plus tard il pénétrait dans le bar où Gurvan et le jarood avaient trouvé refuge et faisaient assaut de boissons alcoolisées … Il s’approcha d’eux, inclinant les oreilles en guise de salutation.
Il rêvait.
Sur sa couche antigrav trop mole, il se retourna. Ses yeux cherchant sous ses paupières fermées, sa fourrure et sa peau parcourus de frissons, ses griffes sortant de leurs gaines en mouvement spasmodiques.
C’était un songe étrange. Un jardin de son enfance, celui du palais d’été dans les contreforts des montagnes de la lune. Le grand jardin intérieur, celui traversé par le bassin des ombres dans les eaux duquel se mirait la colonnade blanche et noire qui l’entourait.
Il y avait là ses cousins, ses cousines, les autres enfants. Mais ils se tenaient sur les toits le regardant en contrebas d’un air méfiant et farouche, oreille rabattues, yeux fuyants.
Il s’apperçut qu’il n’était pas seul. Sous les arcades, se pressait une foule. Des humains, au visage plat, à la peau pelée rose et moite, aux yeux trop grand et à l’odeur de moisie qui envahissait ses narines. Ils l’interpelaient, lui demandaient des choses, le harcelant de sons sans signification, se pressant autour de lui. De plus en plus prés … Il leva la main pour écarter une femelle impudente, et s’aperçut que sa main était simiesque, nue et aux ongles carrés émoussés …
Aïiii !
Il s’éveilla en sursaut, laissant son cœur s’apaiser. Non il n’était pas revenu là bas. Ce lieux de son enfance n’étaient plus que cendre. Il leva la main devant ses yeux, faisant jouer ses griffes. Un cauchemar. Juste un cauchemar.
Assez dormi.
Il bascula hors de sa couche. Il prit de temps de se brosser, enfila son ceinturon, sa cape et sortit. Il alla à la recherche de ses compagnons de route.
Quelques minutes plus tard il pénétrait dans le bar où Gurvan et le jarood avaient trouvé refuge et faisaient assaut de boissons alcoolisées … Il s’approcha d’eux, inclinant les oreilles en guise de salutation.