2012-02-05, 08:24 PM
Viriik collecta les informations et pris contact avec le responsable de la sécurité du bord et ceux de la sureté civile de la station. Il demanda à récupérer ses armes et à ce qu’un officier de la station veuille bien valider ses permis afin d’éviter tout malentendu.
Les accords lui parvinrent en quelques minutes. Un des membres de la sécurité du bord l’attendrait dans un quart d’heure au sas numéro VIII et il était invité à se présenter au poste de police touristique de la passerelle de débarquement afin de recevoir un permis provisoire.
Ayant revêtu son manteau de travail il se dirigea vers le sas ou l’attendait déjà un officier de la compagnie avec son caisson sécurisé. Ce dernier rentra son code de sécurité, puis tendit le caisson à Viriik qui fit de même. Après avoir remercié l’officier, Viriik se changea.
Il n’avait jamais mis les pattes sur cette station, mais les rapports de sécurité lui laissaient à penser qu’il y avait sur celle-ci des personnes recherchées.
Il enfila l’abesto fait pour les races à fourrure, suivit par l’armure énergétique qu’avait préparée pour lui l’armurier de l’ordre. C’était une armure de force NT6 de type militaire avec toutes options qui avait été intégrée dans une armure traditionnelle de l’ordre : une pectorale de fer ouvragée, un court kilt de lamelles de fer retenues entre elles par des cordons de soie, une dorsale de fer, des jambières de la même matière. L’ensemble original était lourd, utilisé seulement sur les champs de bataille, mais la technologie et l’exosquelette intégré le rendait plus léger qu’une plume.
Il fit suivre par les karatapoignes ouvragés … mains, coudes, pieds, genoux et tête.
Enfin les armes … les blanches tout d’abord: la courte épée de l’ordre à lame triangulaire, une lame damasquinée redoutable en combat rapproché, une dague courbe tranchante comme un rasoir et une dague vibrolame qu’il installa sur ses reins.
Les armes énergétiques ensuite : un blaster de poing, un archanopistol qui se placèrent sur les avant bras de l’armure et un darc qu’il plaça sur à la ceinture. Enfin il compléta par quelques capsules de gaz neutralisant, un identificateur, la commande de la ceinture de vol et quelques liens entravant.
Il remit son manteau et le ferma. Celui-ci était assez grand pour dissimuler l’essentiel de cet équipement.
Il quitta ensuite le bord, passa comme prévu par la station de police pour recevoir ses permis. Ceux-ci en poche il se dirigea en direction des bas-fonds de la station … Il songea à la plaisanterie qui circulait dans l’école du guet impérial qu’il avait fréquenté pendant son stage : Comment on appelle un type qui rode la nuit et qui cherche les ennuis ? Un policier.
Les accords lui parvinrent en quelques minutes. Un des membres de la sécurité du bord l’attendrait dans un quart d’heure au sas numéro VIII et il était invité à se présenter au poste de police touristique de la passerelle de débarquement afin de recevoir un permis provisoire.
Ayant revêtu son manteau de travail il se dirigea vers le sas ou l’attendait déjà un officier de la compagnie avec son caisson sécurisé. Ce dernier rentra son code de sécurité, puis tendit le caisson à Viriik qui fit de même. Après avoir remercié l’officier, Viriik se changea.
Il n’avait jamais mis les pattes sur cette station, mais les rapports de sécurité lui laissaient à penser qu’il y avait sur celle-ci des personnes recherchées.
Il enfila l’abesto fait pour les races à fourrure, suivit par l’armure énergétique qu’avait préparée pour lui l’armurier de l’ordre. C’était une armure de force NT6 de type militaire avec toutes options qui avait été intégrée dans une armure traditionnelle de l’ordre : une pectorale de fer ouvragée, un court kilt de lamelles de fer retenues entre elles par des cordons de soie, une dorsale de fer, des jambières de la même matière. L’ensemble original était lourd, utilisé seulement sur les champs de bataille, mais la technologie et l’exosquelette intégré le rendait plus léger qu’une plume.
Il fit suivre par les karatapoignes ouvragés … mains, coudes, pieds, genoux et tête.
Enfin les armes … les blanches tout d’abord: la courte épée de l’ordre à lame triangulaire, une lame damasquinée redoutable en combat rapproché, une dague courbe tranchante comme un rasoir et une dague vibrolame qu’il installa sur ses reins.
Les armes énergétiques ensuite : un blaster de poing, un archanopistol qui se placèrent sur les avant bras de l’armure et un darc qu’il plaça sur à la ceinture. Enfin il compléta par quelques capsules de gaz neutralisant, un identificateur, la commande de la ceinture de vol et quelques liens entravant.
Il remit son manteau et le ferma. Celui-ci était assez grand pour dissimuler l’essentiel de cet équipement.
Il quitta ensuite le bord, passa comme prévu par la station de police pour recevoir ses permis. Ceux-ci en poche il se dirigea en direction des bas-fonds de la station … Il songea à la plaisanterie qui circulait dans l’école du guet impérial qu’il avait fréquenté pendant son stage : Comment on appelle un type qui rode la nuit et qui cherche les ennuis ? Un policier.