2013-12-02, 12:13 AM
Zelda Zonk Wrote:Oslar croisa les bras lui aussi. Décidément, dès qu'il ouvrait la bouche, il se mettait tout le monde à dos. Et quand il essayait d'expliquer les choses, c'était pire encore... Il se jura de ne plus discuter qu'entres techniciens et de choses techniques ou alors de trucs totalement superficiels et sans intérêt, mais qui n'irriteraient personne...Oslar Varigue Wrote:Non, mais il y a 2 choses qui insupportent :
- Les personnes qui se croient plus fortes avec des armes,
- La stupidité, qui va souvent de paire avec le port d'armes...
M. Oslar, rappelez moi de vous présenter un jour des personnes qui se croient plus fortes avec une armes. Ce jour là je vous laisserez en tête pour que vous puissiez leur expliquer, par le détail, que vous ne les aimez pas ! Et en fait de stupidité, vous n'êtes pas en reste... Vous n'êtes pas fiable... Vos réactions risques de nous mener à la catastrophe. Un jour ou l'autre... Je ne suis pas certaine de vouloir naviguer en votre compagnie... Héritage ou pas !
Zelda était calme. Elle avait parlé avec régularité. Sa voix était glaciale, comme la morsure de l'espace. La navette filait vers le silo 524B. Dans quelques secondes le Lt Watanabé leur remettrait les documents officiels autorisant la libre circulation du navire et elle désactiverait les scellés qui clouaient le "Songe d'Aran" au sol.
Zelda s'adressa au Lieutenant.
"J'établirait un plan de vol pour Lothar dès que possible. Nous nous paierons un silo et une location d'atelier au frais de monsieur Oslar..." Zelda tourna la tête vers M Varigue et lui jeta un regard de braise.
"Je vous remercie pour votre aide, Lt. Théo, je vous remercie également... Votre intervention nous a été précieuse. J'espère que votre dîner entre ami tiens toujours ! Prenez du bon temps... Nous décollerons demain dans la soirée."
Zelda regarda Bruhuk. Il n'avait rien dit pour le moment. Zelda lui sourit, l'invitant à s'exprimer.
Et puis à parler, en plus on perdait du temps... Vivement qu'on voit les salles des machines...
Il soupira, regarda plus ou moins tout le monde, mais ne dit rien...