2011-12-02, 04:56 PM
La discipline mentale à laquelle se contraignait Sémirande lui permit de ne pas sombrer sous le flot d’informations fragmentaires qui lui parvenaient. On continuait à se battre au dehors. Même si certains navires kiffish semblaient hésiter, tenant leur place avec moins d’opiniâtreté, conscient sans le moindre doute de ce qui était arrivé à leur navire amiral, ce n’était pas encore la débandade. Des ordres codés du prince continuaient à pleuvoir et un classe I se rapprochait de l’épave pour l’évacuer, le reste des navires assurant une bulle de protection contre les coups de boutoir répétés des corsaires.
Dans le hangar la situation était au mieux … confuse. Elle tentait de discerner qui était qui, des échanges de tir de part et d’autre. Confusion qui se renforçaient au fur et à mesure que les tirs d’arme lourdes désagrégeaient navires, engins raol’k’r. Elle finit par obtenir la position de Djal grâce à une transmission des commandos. Elle braqua les optiques survivantes en direction du navire échoué où il avait trouvé refuge. La transmission n’était pas bonne, encombrée de poussières, quasiment monochrome. Elle perçut alors que les optiques étaient brièvement aveuglées par l’explosion d’une série de roquettes à plasma le bond désespéré du kiff à l’abri de la coque où devait se trouver Djal. Même avec la poussière en suspension la batterie de lasers UV restait une arme suffisante pour causer plus qu’un cancer de la peau à une personne ne portant pas une crème de protection un million … son esprit se crispa sur la queue de détente virtuelle des canons : trop tard. La sale petite vermine venait de disparaître dans la cale.
// Djal ? trois jets de hab + combat distance + 1 (mod de l’arme) sous trois dés 6 (hab-2 si tu n’as pas la compétence) ?
Khaadaric se glissa entre les plaques coupantes. Au terme d’une contorsion il posa les pieds au sein du navire kiffish. Un rapide coup d’œil lui appris qu’il venait de pénétrer au sein d’une galerie technique, un tube d’inspection qui menait à une fleur de la mort. Le couloir était courbe, plongé dans l’obscurité en dehors de lampes de sécurité au sodium qui déversaient leur chiche lueur orangée de loin en loin. Pas le temps de s’attarder, monsieur Baser ne lui avait pas répondu, mais ce n’était guère étonnant. Il sentit chanter dans ses veines l’ichor de mars, résonner dans ses tempes le battement des tambours de la guerre de Teutatès au rythme de son cœur. Il était bien. Entier. Un. Dans l’instant..… Il se précipita en avant, bondissant alors que le sas qui lui faisait face s’ouvrait sur trois kiffs chargés de matériel de colmatage. Alors qu’un voile rouge sang tombait devant ses yeux, les griffes jaillirent dans un reflet composite.
// deux jets de combat contact sous trois dés ?
Dans le hangar la situation était au mieux … confuse. Elle tentait de discerner qui était qui, des échanges de tir de part et d’autre. Confusion qui se renforçaient au fur et à mesure que les tirs d’arme lourdes désagrégeaient navires, engins raol’k’r. Elle finit par obtenir la position de Djal grâce à une transmission des commandos. Elle braqua les optiques survivantes en direction du navire échoué où il avait trouvé refuge. La transmission n’était pas bonne, encombrée de poussières, quasiment monochrome. Elle perçut alors que les optiques étaient brièvement aveuglées par l’explosion d’une série de roquettes à plasma le bond désespéré du kiff à l’abri de la coque où devait se trouver Djal. Même avec la poussière en suspension la batterie de lasers UV restait une arme suffisante pour causer plus qu’un cancer de la peau à une personne ne portant pas une crème de protection un million … son esprit se crispa sur la queue de détente virtuelle des canons : trop tard. La sale petite vermine venait de disparaître dans la cale.
// Djal ? trois jets de hab + combat distance + 1 (mod de l’arme) sous trois dés 6 (hab-2 si tu n’as pas la compétence) ?
Khaadaric se glissa entre les plaques coupantes. Au terme d’une contorsion il posa les pieds au sein du navire kiffish. Un rapide coup d’œil lui appris qu’il venait de pénétrer au sein d’une galerie technique, un tube d’inspection qui menait à une fleur de la mort. Le couloir était courbe, plongé dans l’obscurité en dehors de lampes de sécurité au sodium qui déversaient leur chiche lueur orangée de loin en loin. Pas le temps de s’attarder, monsieur Baser ne lui avait pas répondu, mais ce n’était guère étonnant. Il sentit chanter dans ses veines l’ichor de mars, résonner dans ses tempes le battement des tambours de la guerre de Teutatès au rythme de son cœur. Il était bien. Entier. Un. Dans l’instant..… Il se précipita en avant, bondissant alors que le sas qui lui faisait face s’ouvrait sur trois kiffs chargés de matériel de colmatage. Alors qu’un voile rouge sang tombait devant ses yeux, les griffes jaillirent dans un reflet composite.
// deux jets de combat contact sous trois dés ?