2008-07-26, 11:57 PM
Epstar fut surpris en voyant la blessure de Khrys. Il n'avait pas réalisé que celle-ci était aussi profonde. Il était entre de bonnes mains aussi demanda-t-il où était le cabinet de toilette le plus proche.
Après s'être occupé de l'essentiel, il prit le temps de se laver le visage et les mains afin d'en rincer le sang. Sous la lueur un peu blanche des candélabres à impulsion il observa longuement ses mains qui tremblaient légèrement. Il ferma plusieurs fois avec force les poings, avant de fixer son reflet qui lui rendit un regard un peu hagard.
Quelques minutes après, les mains enfoncées dans les poches, abhorrant un masque ironique de circonstance, il se rendit dans le salon où madame Norjansk terminait de panser Khrys.
En passant, il posa la main sur l’épaule de Sémirande et la serra brièvement ; quand elle releva la tête il lui sourit dans un geste qui voulait dire « tout va bien / je vais bien / merci ».
Il continua jusqu’à s’asseoir en face de madame Norjansk
Vous m’aviez proposé un verre je crois ? Le raktagino pourra attendre : j’ai eu ma dose de caféine pour l’instant. Par contre si vous aviez quelque chose de plus corsé, c’est avec plaisir. Je peux faire le service, si vous m’indiquez où est le bar.
Il poursuivit d’un ton badin :
Des installations dangereuses ? Je vous crois volontiers, mais comment voulez-vous que nous le sachions si rien ne nous l’indique ? De plus j’ai un peu de mal à croire que vous ne nous aillez pas invité dans cette partie de chasse : votre télésiège privé ne s’est pas déclenché par hasard ; vous n’êtes pas du genre à ce qu’un visiteur, un de vos employés ou un innocent, soit victime de vos … loisirs.
Je ne permettrais pas d’exprimer mon opinion sur ces dits loisirs remarquez, sauf quand moi ou mes amis sommes la proie d’un de vos jouets génétiques.
Sinon je ne « fouinais » pas : j’étais à la recherche de mon amie et de ma pupille dont je ne savais rien. Et croyez moi sur parole : j’ai des raisons de m’inquiéter.
Après s'être occupé de l'essentiel, il prit le temps de se laver le visage et les mains afin d'en rincer le sang. Sous la lueur un peu blanche des candélabres à impulsion il observa longuement ses mains qui tremblaient légèrement. Il ferma plusieurs fois avec force les poings, avant de fixer son reflet qui lui rendit un regard un peu hagard.
Quelques minutes après, les mains enfoncées dans les poches, abhorrant un masque ironique de circonstance, il se rendit dans le salon où madame Norjansk terminait de panser Khrys.
En passant, il posa la main sur l’épaule de Sémirande et la serra brièvement ; quand elle releva la tête il lui sourit dans un geste qui voulait dire « tout va bien / je vais bien / merci ».
Il continua jusqu’à s’asseoir en face de madame Norjansk
Vous m’aviez proposé un verre je crois ? Le raktagino pourra attendre : j’ai eu ma dose de caféine pour l’instant. Par contre si vous aviez quelque chose de plus corsé, c’est avec plaisir. Je peux faire le service, si vous m’indiquez où est le bar.
Il poursuivit d’un ton badin :
Des installations dangereuses ? Je vous crois volontiers, mais comment voulez-vous que nous le sachions si rien ne nous l’indique ? De plus j’ai un peu de mal à croire que vous ne nous aillez pas invité dans cette partie de chasse : votre télésiège privé ne s’est pas déclenché par hasard ; vous n’êtes pas du genre à ce qu’un visiteur, un de vos employés ou un innocent, soit victime de vos … loisirs.
Je ne permettrais pas d’exprimer mon opinion sur ces dits loisirs remarquez, sauf quand moi ou mes amis sommes la proie d’un de vos jouets génétiques.
Sinon je ne « fouinais » pas : j’étais à la recherche de mon amie et de ma pupille dont je ne savais rien. Et croyez moi sur parole : j’ai des raisons de m’inquiéter.
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.