2008-02-26, 08:19 AM
// Si le voyage est long, j'imagine que Ikaar et Sémirande se relaient à intervalles fixes ? C'est en tout cas ce que je suppose pour la suite du post //
L'esprit embrouillé, saturé de sensations complexes, au bord même de la nausée, Ikaar céda son fauteuil à Sémirande à l'heure dite. Sans, bien évidement, échanger un mot, les deux navyborgs du bord échangèrent un bref regard. Abandonnant tout espoir de saisir les sentiments de l'ancienne Commandante, Ikaar, épuisé, se contenta d'aller se jeter sur sa bannette pour récupérer jusqu'au prochain quart.
//Je suppose qu'il ne se passe rien de notable pendant plusieurs heures. Dans le cas contraire, notre Déhèmette favorite reportera le post à plus tard...//
Quand il se réveilla, Ikaar constata à l'occasion de son premier branchement par PV sur le circuit du vaisseau que l'heure de la relève n'était pas encore tout à fait arrivée. Juste de quoi se restaurer un peu et, pourquoi pas ?, en profiter pour bavasser un peu avec les membres de l'équipage que, finalement, il ne connaissait quasiment pas.
Alors qu'il terminait de grignoter dans la cambuse, un café brûlant à la main, Ikaar (là ou ailleurs, peu importe...) se mit en quête de son Commandant :
"Ah, Commandant. Je vois que vous avez un moment, vous aussi. Je voulais vous parler.
Depuis les évènements survenus sur cette planète pourrie, nous sommes tous comme qui dirait reliés par les liens du sang et du feu. Et j'ajouterais : par l'argent sale et le trafic d'armes... Bref, de vrais poteaux, hein ? (coup de coude renversant quelques gouttes de café sur le sol)
Du coup, je me suis dit : ce serait pas mal qu'on arrête les cachoteries entre grandes personnes. accessoirement, ça évitera les coups foireux façon embuscade des familles.
Bref, qu'est-ce qu'on va faire sur Triple Grâce ? En vrai."
L'esprit embrouillé, saturé de sensations complexes, au bord même de la nausée, Ikaar céda son fauteuil à Sémirande à l'heure dite. Sans, bien évidement, échanger un mot, les deux navyborgs du bord échangèrent un bref regard. Abandonnant tout espoir de saisir les sentiments de l'ancienne Commandante, Ikaar, épuisé, se contenta d'aller se jeter sur sa bannette pour récupérer jusqu'au prochain quart.
//Je suppose qu'il ne se passe rien de notable pendant plusieurs heures. Dans le cas contraire, notre Déhèmette favorite reportera le post à plus tard...//
Quand il se réveilla, Ikaar constata à l'occasion de son premier branchement par PV sur le circuit du vaisseau que l'heure de la relève n'était pas encore tout à fait arrivée. Juste de quoi se restaurer un peu et, pourquoi pas ?, en profiter pour bavasser un peu avec les membres de l'équipage que, finalement, il ne connaissait quasiment pas.
Alors qu'il terminait de grignoter dans la cambuse, un café brûlant à la main, Ikaar (là ou ailleurs, peu importe...) se mit en quête de son Commandant :
"Ah, Commandant. Je vois que vous avez un moment, vous aussi. Je voulais vous parler.
Depuis les évènements survenus sur cette planète pourrie, nous sommes tous comme qui dirait reliés par les liens du sang et du feu. Et j'ajouterais : par l'argent sale et le trafic d'armes... Bref, de vrais poteaux, hein ? (coup de coude renversant quelques gouttes de café sur le sol)
Du coup, je me suis dit : ce serait pas mal qu'on arrête les cachoteries entre grandes personnes. accessoirement, ça évitera les coups foireux façon embuscade des familles.
Bref, qu'est-ce qu'on va faire sur Triple Grâce ? En vrai."