2008-02-23, 11:22 PM
Epstar s’admonesta : il avait laissé trop longtemps les enfants seuls, il était au dessous de tout. Certes ces dernière heures avaient été mouvementés, mais ça ne suffire à le dédouaner de ses responsabilités.
Pendant le voyage il essaya de passer le plus de temps possible avec eux et plus particulièrement avec Cyclamen.
Il appréciait les efforts de Daykhard à leurs justes valeurs eut égard à son comportement passé. Il pris soin de relever celui-ci de l’attention permanente que demandaient les enfants ; ces derniers méritaient une telle attention, mais avec un pincement au cœur Epstar espérait qu’ils ne s’attacheraient pas trop à eux et réciproquement : ils avaient encore un long voyage devant eux et bientôt ils devraient se quitter.
Le cas de Cyclamen était différent. Depuis tout jeune il avait eu la charge de sa parentelle, leur avait servi de modèle et de parent. Cela l’avait fait murir, heureusement sans l’aigrir ou le rendre cynique.
Il demanda, avec l’accord du principal intéressé et l’autorisation du commandant de lui permettre d’accomplir à bord quelques taches subalternes sous la supervision des membres de l’équipage. Autant qu’il découvre le fonctionnement d’un navire, et même si tous les membres de cet équipage étaient bon pour l’asile à un degré ou un autre, c’étaient tous de sacrés professionnels dans leur domaine. Epstar était certain qu’ils avaient beaucoup à lui apprendre.
Epstar essaya de se fixer une routine quotidienne tant il avait à faire.
Il passa du temps avec les enfants, essaya d’apporter à Cyclamen toute l’affection, l’attention et l’aide dont-il avait besoin, de faire progresser les échanges avec celui que tout de monde à bord appelait « Lenny » (bien que cela ne plut pas à Epstar) en utilisant en concomitance le traducteur, le dessin, les projections holographiques et la télépathie.
Quand Epstar fût certain que « Lenny » ne présentait pas de danger il lui fit visiter un peu le navire évitant avec soin les parties « sensibles » comme la passerelle, la salle des machines et les ateliers. Il lui présenta même les enfants, en commençant par Cyclamen qui méritait d’être tenu au courant de ce qui se passait à bord.
Il consacra aussi du temps au traitement médicale de Sémirande : elle ne faisait que peu ou pas de progrès, alors qu’elle avait un protocole à suivre pour sa rééducation. Les séances de sculpture sur glaise et d’autres expressions artistiques étaient au programme et Epstar ne la lâcha pas (quitte à se faire bombarder de glaise) tant qu’elle ne le suivrait pas.
Il intercepta Khrys un jour au détour d’une coursive :
Khrys, j’accepte votre proposition de se servir du coupon comme preuve à charge, pouvez vous me le remettre ? Je vais essayer de négocier ça en douceur sans vous impliquer si je peux l’éviter …
Pendant le voyage il essaya de passer le plus de temps possible avec eux et plus particulièrement avec Cyclamen.
Il appréciait les efforts de Daykhard à leurs justes valeurs eut égard à son comportement passé. Il pris soin de relever celui-ci de l’attention permanente que demandaient les enfants ; ces derniers méritaient une telle attention, mais avec un pincement au cœur Epstar espérait qu’ils ne s’attacheraient pas trop à eux et réciproquement : ils avaient encore un long voyage devant eux et bientôt ils devraient se quitter.
Le cas de Cyclamen était différent. Depuis tout jeune il avait eu la charge de sa parentelle, leur avait servi de modèle et de parent. Cela l’avait fait murir, heureusement sans l’aigrir ou le rendre cynique.
Il demanda, avec l’accord du principal intéressé et l’autorisation du commandant de lui permettre d’accomplir à bord quelques taches subalternes sous la supervision des membres de l’équipage. Autant qu’il découvre le fonctionnement d’un navire, et même si tous les membres de cet équipage étaient bon pour l’asile à un degré ou un autre, c’étaient tous de sacrés professionnels dans leur domaine. Epstar était certain qu’ils avaient beaucoup à lui apprendre.
Epstar essaya de se fixer une routine quotidienne tant il avait à faire.
Il passa du temps avec les enfants, essaya d’apporter à Cyclamen toute l’affection, l’attention et l’aide dont-il avait besoin, de faire progresser les échanges avec celui que tout de monde à bord appelait « Lenny » (bien que cela ne plut pas à Epstar) en utilisant en concomitance le traducteur, le dessin, les projections holographiques et la télépathie.
Quand Epstar fût certain que « Lenny » ne présentait pas de danger il lui fit visiter un peu le navire évitant avec soin les parties « sensibles » comme la passerelle, la salle des machines et les ateliers. Il lui présenta même les enfants, en commençant par Cyclamen qui méritait d’être tenu au courant de ce qui se passait à bord.
Il consacra aussi du temps au traitement médicale de Sémirande : elle ne faisait que peu ou pas de progrès, alors qu’elle avait un protocole à suivre pour sa rééducation. Les séances de sculpture sur glaise et d’autres expressions artistiques étaient au programme et Epstar ne la lâcha pas (quitte à se faire bombarder de glaise) tant qu’elle ne le suivrait pas.
Il intercepta Khrys un jour au détour d’une coursive :
Khrys, j’accepte votre proposition de se servir du coupon comme preuve à charge, pouvez vous me le remettre ? Je vais essayer de négocier ça en douceur sans vous impliquer si je peux l’éviter …
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.