Les Etoiles Brisées

[Sémirande Chalmak]

Mouais :roll: Dis tout de suite, que ca te démangeais depuis longtemps :lol:

Je le voyais venirt depuis un moment déjà. J'ai fait durer le plaisir. :twisted:

Et la bulle qui devait venir nous chercher, elle est toujours a bord ou non?

Pas de bulle à l'horizon.

(khrys appuya sur sa ceinture antigrav' pour la mettre en position veille en cas d'urgence et fit signe à IAD de faire de même, la troisième dimension pourrait être utile en cas de récupération aérienne rapide)

Noté. T'aimes vivre dangereusement, toi ... :-)

// comment reagissent les gens sur la place, au son du Mephisto qui fait des sienne non loin de là ? //

Pendant la "balade" de Khrys et Itzak, l'attidude des marchands est faussement indifférente. Parce que Khrys voit tout de suite qu'ils aimeraient tous récupérer un peu de ce qui est dans ses poches. Les étals sont à vrai dire tentants, mais le Marchand se raisonne. A titre d'exemple, cette série de vases est superbe. Sur TF, elle doit se négocier à un paquet de fois sa masse en antimatière. Mais pas question d'acheter : trop gros, trop lourd, trop encombrant pour deux hommes qui vont peut-être devoir courir. Cela dit, ces vases n'étaient certainement pas originaires de Rubisse. Et ce n'était pas les seules marchandises importées qu'il vit lors de cette brève promenade. Intéressant, ça ... Il y avait peut-être plus d'échange avec l'extérieur qu'on le pensait par ailleurs.

Daykard, lui, a le temps d'inspecter tous les accès (rues et ruelles) et s'aperçoit que les mêmes "groupes d'amis" sont présents, "discutant" civilement. Maintenant il en est sur : il s'agit d'un comité d'accueil en bonne est due forme.

Puis un bruit se fait entendre, tout d'abord incongru, puis bien vite terrifiant. Bien loin dans le passé, des populations furent terrifiées par le son des sirènes de piqué des Stukas. Les fiers aristocrates de Caltradazome n'avaient certes jamais entendu une telle stridence barbare. L'étrave du Méphisto passe brièvement au-dessus de la place, avant de repartir vers l'arrière en hurlant.

Et puis ce sont les tirs. Le ciel clair de cette longue longue journée d'été boréal est zébré d'éclairs rouges, violets tandis que les "chtongs-chtongs" des paralyseurs lourds viennent en contrepoint du reste.

La réaction des habitants est à la hauteur de leur inexpérience. Panique. Panique noire. Tout le monde se rue vers les voies d'accès à la place, les uns bousculant les autres, ceux qui ont le malheur de tomber étant piétinés par une foule terrifiée.

Ca fait drôle, une grande place du marché quasi-désertique ; les seuls présence étant quelques très courageux, quelques très laches cachés soue les étals, quelques blessés et deux impériaux tout de même un peu surpris ...

Suite dès que j'ai les tirs de dés de Sandaahr, du MJ (vénéré) et d'Itzak Abbart Daykard