2008-01-28, 08:46 PM
[Pogooooooooooooooooooooooooooo]
Sémirande s'installa sans hésiter une seule seconde à la console de tir, et activa les systèmes.
Pendant ce temps, Monsieur Lohnsöme, préoccupé jusqu'à l'obsession de réveiller les animaux nocturnes, prit une seconde pour chercher de quoi satisfaire son idée fixe. Bingo ! Il s'aperçut que le Méphisto disposait de sirènes extérieures. (Pour la petite histoire, cela avait été installé alors que ce navire servait de camp de transport / cantine / dortoir à une équipe de mineurs de transuraniens rares. Il permettait de rappeler tout le monde au casse-croute sans émettre d'onde d'aucune sorte : allez savoir pourquoi :roll: )
Avec une jubilation non dissimulée, il décolla en rase-mottes, en direction de la ville. Et activa les sirènes. Ce geste leur sauva tous la vie.
Le vaisseau passa au-dessus d'une décharge où l'on stockait visiblement toutes sortes de déchets. Dans cette poubelle à ciel ouvert, plusieurs monticules oblongs vaguement orientés selon un axe ville / champ d'atterrissage semblaient s'être composés au fil du temps et des caprices des gestionnaires du lieu. Le Méphisto passa au ras de ces débris, et les hommes richement vêtus qui servaient le laser et les deux paralyseurs lourds cachés sous ces trois tas d'immondice mirent leurs mains sur leurs oreilles, perdant ainsi cinq ou six précieuses secondes. Quand le navire fut passé, ils firent pivoter leur batteries, faisant s'écrouler sur eux des kilos de détritus.
Ikaar Lohnsöme et Sémirande Chalmak s'étaient immergés, et avaient donc l'impression de flotter à cinq mètres au-dessus des toits, vers la place du marché qui s'approchait rapidement. Ce fut Ikaar qui sentit comme un coup de poing dans l'estomac en reconnaissant les outils qui se pointaient vers son navire.
Petits jets de dés, tous. J'ai dit TOUS, monsieur Qruze :mrgreen:
Tiens; MJ (vénéré), tire-m'en pour Khrys Edelman aussi.
Et, accessoirement, qu'est-ce que vous faites ?
Sémirande s'installa sans hésiter une seule seconde à la console de tir, et activa les systèmes.
Pendant ce temps, Monsieur Lohnsöme, préoccupé jusqu'à l'obsession de réveiller les animaux nocturnes, prit une seconde pour chercher de quoi satisfaire son idée fixe. Bingo ! Il s'aperçut que le Méphisto disposait de sirènes extérieures. (Pour la petite histoire, cela avait été installé alors que ce navire servait de camp de transport / cantine / dortoir à une équipe de mineurs de transuraniens rares. Il permettait de rappeler tout le monde au casse-croute sans émettre d'onde d'aucune sorte : allez savoir pourquoi :roll: )
Avec une jubilation non dissimulée, il décolla en rase-mottes, en direction de la ville. Et activa les sirènes. Ce geste leur sauva tous la vie.
Le vaisseau passa au-dessus d'une décharge où l'on stockait visiblement toutes sortes de déchets. Dans cette poubelle à ciel ouvert, plusieurs monticules oblongs vaguement orientés selon un axe ville / champ d'atterrissage semblaient s'être composés au fil du temps et des caprices des gestionnaires du lieu. Le Méphisto passa au ras de ces débris, et les hommes richement vêtus qui servaient le laser et les deux paralyseurs lourds cachés sous ces trois tas d'immondice mirent leurs mains sur leurs oreilles, perdant ainsi cinq ou six précieuses secondes. Quand le navire fut passé, ils firent pivoter leur batteries, faisant s'écrouler sur eux des kilos de détritus.
Ikaar Lohnsöme et Sémirande Chalmak s'étaient immergés, et avaient donc l'impression de flotter à cinq mètres au-dessus des toits, vers la place du marché qui s'approchait rapidement. Ce fut Ikaar qui sentit comme un coup de poing dans l'estomac en reconnaissant les outils qui se pointaient vers son navire.
Petits jets de dés, tous. J'ai dit TOUS, monsieur Qruze :mrgreen:
Tiens; MJ (vénéré), tire-m'en pour Khrys Edelman aussi.
Et, accessoirement, qu'est-ce que vous faites ?
Par notre sainte patronne Rosalia Goutte de pluie, je jure d'assurer la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie.